Tout virage serré sur la route, en montée ou en descente, augmente le danger de la conduite et la rend difficile à contrôler. Avant les virages serrés, en règle générale, la visibilité de la route est limitée.

Il est facile de se tromper lors de l'estimation de la pente d'un virage, même lorsque la route est visible sur une longue distance.
Sur les routes de montagne, vous devez conduire à basse vitesse avec une extrême prudence.

Dans les longues descentes, avant de descendre, ralentissez et rétrogradez. Lors d'un arrêt en pente, vous devez appuyer les roues contre un trottoir, une pierre ou un autre obstacle, engager la marche arrière et le frein de stationnement.

Pour vérifier l'état technique de la voiture et éliminer le dysfonctionnement apparu dans les montagnes, des passages supérieurs sont construits dans un endroit spécialement désigné.

• avec une pente d'au moins 23 o - pour les voitures et les bus;
• avec une pente de 31 o pour les camions et les trains routiers.

Il faut se rappeler qu'en quittant le viaduc, une rotation prématurée du volant peut provoquer la chute du véhicule hors du viaduc.

Conduire dans la circulation

Sur une route libre de véhicules, le conducteur choisit la vitesse du véhicule en fonction des circonstances de la route (largeur et nombre de voies, profil, qualité et état du véhicule). trottoir), les conditions de visibilité et les restrictions établies par les règles de circulation.

Dans chaque cas, la vitesse doit être combinée avec l'environnement, l'expérience du conducteur, le volume de la circulation et les conditions routières. Plus la vitesse est élevée, plus c'est difficile pour le conducteur, car il reste moins de temps pour prendre une décision.

Dans le flux de circulation, certains véhicules se succèdent avec une distance limitée, et les conditions de manœuvre sont extrêmement exiguës. Dans cette situation, le conducteur est privé de la possibilité de choisir la vitesse de déplacement.

La vitesse est réglée sous l'influence Limitation de vitesse de l'ensemble du flux et, surtout, de la voiture de tête - le leader. Ce mode de déplacement est typique de nombreuses routes à l'extérieur colonies et dans les villes.
Les actions du conducteur dans les flux de circulation denses sont très intenses. Se déplaçant dans des conditions exiguës, certains conducteurs perdent leur sang-froid, prennent des risques inutiles, essayant de devancer le flux de véhicules, ce qui conduit souvent à des situations dangereuses et d'urgence.
Dans des flux de circulation denses, le conducteur doit pouvoir continuer Longtemps prudence et persévérance.

Pour de tels flux, les plus typiques sont les accidents avec collisions de dépassement qui se produisent lorsque le leader freine, en particulier sur des routes mouillées et glissantes. Le plus souvent, les collisions se produisent en raison d'erreurs du conducteur dans le choix d'une distance, d'inattention, et également en raison des actions ineptes du conducteur-chef ou de ses inclinations égoïstes. Le pilote-leader doit être proactif vis-à-vis des pilotes qui le suivent et les avertir préalablement de ses intentions.

Le choix de la distance dans le flux de trafic est une tâche importante. Ceci est souvent associé à des risques, en particulier lors du déplacement dans un flux de véhicules de dimensions, de traction et de dynamisme de freinage différents. La distance de sécurité dépend de la vitesse du flux de trafic, de la taille du véhicule de tête, de la différence des caractéristiques des systèmes de freinage et de la charge des véhicules, ainsi que du type et de l'état de la surface de la route.

Compte tenu des facteurs ci-dessus, la distance de sécurité est choisie égale à la distance d'arrêt, en fonction de la vitesse de déplacement.
Dans les zones peuplées - elle doit être approximativement égale (en mètres) à la vitesse de la voiture, exprimée en m / s. Par exemple, à une vitesse de 60 km/h (17 m/s), une distance de 17 m doit être respectée.

En dehors des agglomérations - elle doit être approximativement égale (en mètres) à la vitesse (km / h). Par exemple : lorsque vous roulez à une vitesse de 50 km/h, la distance de sécurité doit être de 50 mètres ; à une vitesse de 70 km / h - 70 mètres, etc.

sur le mouillé route sale la distance de sécurité doit également être augmentée, sinon les éclaboussures eau sale peut monter pare-brise et réduire la visibilité.

Dans les circulations denses, notamment en ville, il est souvent nécessaire de se déplacer à une distance du leader inférieure à la distance de sécurité. Dans ces cas, le conducteur doit être préparé à un freinage instantané.
Vous pouvez déterminer le danger accru avec une vue fermée en différentes fonctionnalités, par exemple, les intersections - par le comportement des autres usagers de la route, l'emplacement des panneaux de signalisation, et aussi pour juger des intentions du conducteur qui avance par ces panneaux :

• Ralentissez et déplacez-vous vers la droite ou vers la gauche avec les indicateurs de direction allumés (s'arrêter, tourner, tourner).
• Une augmentation de la vitesse avec les clignotants allumés et le véhicule en mouvement - en tête ou en dépassement.
• Se déplacer vers la droite sans ralentir - à propos de la voie d'évitement venant en sens inverse.
• Se déplacer vers la gauche sans augmenter la vitesse et les clignotants inclus - environ un détour.
• Diminuer la vitesse et se déplacer vers le bord droit de la chaussée ou même sur le côté de la route avec le clignotant gauche allumé - environ un demi-tour.

Si la distance au leader est augmentée, les conducteurs d'autres véhicules plus courts avec une meilleure traction et maniabilité peuvent en profiter en s'alignant derrière le leader. Vous devez réagir calmement à cela.

Le conducteur doit également répondre calmement aux actions incompréhensibles ou incorrectes du leader et des autres usagers de la route.

Sur les routes à plusieurs voies à trafic dense, le changement de voie est un défi, en particulier pour les gros camions, les bus et les trains routiers. Il est plus facile de changer de voie dans laquelle les véhicules se déplacent plus lentement. Dans ce cas, il suffit que la distance entre l'arrière du véhicule et l'avant du véhicule qui précède soit de deux à trois fois la longueur de votre véhicule.

Pour changer de voie dans laquelle les véhicules se déplacent plus rapidement, la distance spécifiée doit être de trois à quatre fois la longueur de la voiture.

La reconstruction doit être claire et dans le strict respect des règles de circulation.

Conduite aux carrefours et aux passages pour piétons

On sait que le plus grand nombre Les accidents se produisent aux carrefours. Et comme les intersections, en particulier dans les zones peuplées, sont courantes et que leur passage est assez difficile, il est nécessaire d'élaborer avec soin des techniques de manœuvre sûres aux intersections, en les amenant à l'automaticité.
Grande importance pour la commodité et le passage en toute sécurité de l'intersection ont des conditions de visibilité.

Il est nécessaire de se rappeler la séquence d'actions lors de la conduite à travers une intersection non réglementée:

• Déterminer la nature de l'intersection (traverser des routes équivalentes ou inégales).
• Prendre en temps opportun la voie nécessaire, vérifier votre position sur la route.
• Réduisez la vitesse de conduite à une vitesse sûre en fonction des conditions de conduite réelles.
• Effectuez le passage de l'intersection conformément aux règles de passage des intersections non réglementées.
• Soyez prêt à éviter les accidents.
• Soyez prêt pour un freinage d'urgence.
• Lors d'une manœuvre à une intersection, vous devez :
• Regardez dans le rétroviseur, assurez-vous que la manœuvre est sécuritaire et signalez avec le clignotant.
• 2-3 secondes après que le signal est donné par l'indicateur de direction, vérifiez à nouveau la situation dans le rétroviseur et commencez la reconstruction.
• Aux intersections non réglementées, les situations dangereuses survenant :
• En cas de violation des règles Circulation. Le conducteur n'a pas cédé le passage à un véhicule prioritaire.
• Lorsque la visibilité est limitée en raison d'un véhicule tournant.
• Lorsqu'il est combiné avec une visibilité limitée avec une distraction de l'attention sur le bus ou un autre véhicule.
• Si vous ne souhaitez pas laisser passer les piétons à un passage piéton, faites un virage à droite ou à gauche.
• En tournant (train routier) pas de la voie d'extrême droite vers la droite en raison de grandes dimensions.
• Avec une combinaison d'infractions au code de la route et d'inattention.

La technique pour effectuer des virages et des demi-tours à une intersection réglementée est similaire à la technique pour effectuer ces manœuvres à des intersections non réglementées. Seules ces manœuvres sont effectuées avec les feux de circulation ou les contrôleurs de la circulation appropriés.

Les situations dangereuses typiques suivantes surviennent lors du passage à des intersections réglementées :

Collision à un feu permissif avec un véhicule qui n'a pas eu le temps de terminer le passage de l'intersection dans le sens transversal, tentant de traverser.

Une collision devant une intersection lors du changement de feu de circulation en raison de l'inattention et de l'incohérence dans les actions des conducteurs lors d'un freinage brusque à un signal clignotant vert.

Collision avec un piéton achevant la traversée de la chaussée avec un feu d'interdiction allumé pour lui.

Conduite à grande vitesse (en marche) à un signal permissif dans des conditions de visibilité insuffisante ou de visibilité limitée de la route lors des virages.

Passage des passages piétons et aires d'arrêt des véhicules de route

Ces lieux se caractérisent par une dangerosité accrue due à l'apparition soudaine et fréquente de piétons.

À l'approche d'un passage pour piétons, vous devez réduire votre vitesse à l'avance, augmenter votre attention, évaluer les conditions de visibilité et de visibilité sur celui-ci. De plus, plus la visibilité est faible ou mauvaise, plus la vitesse doit être réduite.

Une attention particulière doit être portée au comportement des piétons par mauvais temps, la nuit et dans des conditions de visibilité insuffisante (parapluie et col relevés, couvre-chef), etc., se précipitant en traversant, en raison desquels le danger n'est pas remarqué.

Erreur majeure du pilote- absence de prévision et incapacité à détecter à temps l'apparition d'un piéton.

Un signe de danger est l'accumulation de piétons au passage à niveau en attendant un intervalle de sécurité pour la fin du passage à niveau entre les voitures venant de violation du code de la route. Dans cette situation, il y a souvent un piéton impatient qui traverse soudainement chaussée.

Un trait caractéristique des situations dangereuses est la présence de lieux bondés, un arrêt de bus (véhicules d'itinéraire). Dans ces zones, les piétons ne sont pas suffisamment concentrés en raison de la distraction, ont tendance à traverser la route devant les véhicules à proximité. Le conducteur doit tenir compte de ces facteurs à l'avance lors du passage des arrêts des véhicules de l'itinéraire.

La sortie sur la chaussée dans un lieu indéterminé est assez typique pour les enfants. Le signe de danger le plus important est la visibilité limitée de l'espace en bordure de route le plus proche. Les clôtures, les espaces verts denses à proximité immédiate de la chaussée augmentent toujours significativement la probabilité d'apparition soudaine de piétons, en particulier d'enfants.

Besoin de ralentir à l'avance, augmenter l'attention, augmenter la distance jusqu'à l'atterrissage et être prêt pour un freinage d'urgence.

Situations dangereuses typiques aux arrêts de tramway :

• Le conducteur rate un premier signe de danger - un arrêt de tram.
• Ne prédit pas l'éventuelle apparition soudaine de piétons.
• Ne prend pas de mesures préalables pour le passage en toute sécurité d'un arrêt de tram.

Conditions particulières (TVS, UNV) et sécurité routière

Le travail du conducteur lors de la conduite d'une voiture se déroule dans diverses conditions routières et, non moins importantes, dans des conditions climatiques. De la façon dont il a préparé son lieu de travail dépend de la fatigue et de la productivité du travail.

Il y a des difficultés pour le conducteur, en particulier lors de la conduite de nuit et des VNU.

La nuit, les conditions de travail du conducteur se dégradent - la visibilité de la route et des objets environnants est réduite. Il est possible d'aveugler les phares des véhicules venant en sens inverse. Un conducteur travaillant dans un environnement plus stressant se fatigue plus vite.

A la tombée de la nuit, lorsque la visibilité de la route diminue d'une distance de 150 m, il est nécessaire d'allumer les feux de route. Il faut garder à l'esprit que l'éclairage de la route avec les phares, même lorsque les feux de route sont allumés, n'offre pas une bonne visibilité des alentours, donc les conducteurs doivent ralentir. Lors du dépassement de véhicules venant en sens inverse, le conducteur doit commuter les phares en feux de croisement à une distance d'au moins 150 m à l'avance.

En milieu urbain- sur les rues ou routes éclairées, lorsque la lumière des feux offre une bonne visibilité de la route et de l'environnement, allumez les feux de croisement ou les feux de position. L'état des phares et leur réglage sont d'une grande importance lors de la conduite à un tel moment. La route à proximité immédiate de la voiture est mieux éclairée par les feux de croisement, il est donc préférable à basse vitesse d'allumer les feux de croisement.
Plus la vitesse du véhicule est élevée, plus la distance à laquelle la route doit être visible est grande. Ainsi à une vitesse de 30 km/h la visibilité doit être de 30 m, à une vitesse de 60 km/h - 90 m, à une vitesse de 90 km/h - 180 m au moins.

A l'arrêt, stationnement dans des lieux avec UNV, il est nécessaire d'activer l'alarme, en cas de dysfonctionnement de l'alarme, installez un panneau d'arrêt d'urgence derrière la voiture à moins de 20 m dans les zones peuplées et à 40 m en dehors des zones peuplées.

Conduire sous la pluie le danger est que la surface de la route soit mouillée avec la poussière présente dessus, ce qui rend la route glissante. Pendant la pluie, la visibilité de la route se dégrade fortement, dans ce cas il faut réduire la vitesse de déplacement.

Lors du dépassement avec des véhicules venant en sens inverse et des dépassements, le pare-brise est éclaboussé. Par conséquent, l'utilisation d'un essuie-glace là où il n'y a pas de liquide de lave-glace nuit à la visibilité. Les flaques d'eau qui en résultent remplissent les nids-de-poule de la route, vous devez donc ralentir pour ne pas tomber dans la fosse. Lorsqu'il pleut, les plaquettes de frein se mouillent, ce qui réduit considérablement l'efficacité du freinage. Il est nécessaire de sécher les plaquettes de frein plus souvent, pour lesquelles, sur une courte distance, séchez les freins avec quelques pressions brusques sur la pédale de frein

Conduire dans le brouillard dangereux car la visibilité de la route se dégrade fortement. Si le brouillard est dense, il vaut mieux l'attendre en quittant la chaussée. Les objets dans le brouillard semblent toujours plus éloignés qu'ils ne le sont réellement. Lorsque vous conduisez dans le brouillard la nuit, allumez les feux de croisement, les phares antibrouillard et les feux de position pendant la journée.
Les arbres, poteaux et autres objets au bord de la route servent de guide pendant la conduite. Le feu de route ne doit pas être allumé, car il disperse et n'éblouit que les conducteurs venant en sens inverse. Le brouillard est toujours à une certaine distance de la surface de la route, donc les phares antibrouillard sont plus efficaces.

Conduite sur route de campagne a un certain nombre de caractéristiques que le conducteur doit prendre en compte. L'absence de circulation dense, moins d'intersections, une meilleure visibilité de la route - tout cela affaiblit l'attention du conducteur, cela le calme et il n'évalue pas immédiatement l'aggravation de la situation et ne peut pas prendre de précautions en temps opportun. Le paysage monotone a un effet soporifique sur le conducteur, et si le conducteur est fatigué et a roulé longtemps, il peut s'endormir. Pour éviter cela, il est nécessaire de s'arrêter, de se reposer, de s'étirer, de faire quelques mouvements brusques, et si l'échauffement ne vous aide pas, vous devez emmener la voiture sur le bord de la route et vous reposer.

Les statistiques montrent que près de la moitié de tous les accidents aux conséquences les plus graves se produisent pendant les heures d'obscurité.
La réduction du volume de trafic donne à de nombreux conducteurs la certitude qu'ils peuvent conduire plus vite et manœuvrer plus librement que pendant la journée, tandis que le relâchement du contrôle crée un sentiment d'impunité.

La nuit et dans des conditions de visibilité insuffisante, le conducteur est la plupart du temps dans un état de stress émotionnel, donc il se fatigue beaucoup plus vite que pendant la journée. Pour travailler sur une voiture dans l'obscurité, vous devez vous préparer soigneusement. La vitesse de déplacement dans l'obscurité dans presque tous les cas devrait être inférieure à la vitesse pendant la journée.

À l'approche d'un véhicule venant en sens inverse, le conducteur doit déterminer rapidement s'il est en mouvement ou s'il est immobile. Il est nécessaire de commuter les phares en feux de croisement lorsque le conducteur ressent une gêne ou lorsque le conducteur d'une voiture venant en sens inverse a commuté les phares, mais pas à moins de 250 m du véhicule venant en sens inverse. Après la commutation, réglez (réduisez) la vitesse en raison de la distance de visibilité réduite et observez le bord droit de la chaussée.

Si le conducteur d'un véhicule venant en sens inverse n'éteint pas les feux de route, les phares doivent être rallumés. Dans le cas où il continue à enfreindre les règles de circulation, il est nécessaire de ralentir, de prendre à droite et de s'arrêter dans sa voie.

Mouvement sur la route en présence d'une piste sur celle-ci.

La piste formée par les charrettes tirées par des chevaux est peu profonde et d'une profondeur considérable. La largeur de voie d'une charrette tirée par des chevaux est inférieure à celle d'une voiture, et si elle est peu profonde, une roue de la voiture peut être mise sur la voie. Si la piste est profonde, alors il vaut mieux la refuser.

Lorsque vous devez traverser la piste, vous devez diriger la voiture obliquement vers la piste à un angle de 45 degrés. si la piste est profonde, il est préférable d'abaisser d'abord ses bords à l'intersection.

Avant de quitter la piste après un arrêt, vous devez d'abord tourner le volant dans le sens opposé au côté de la sortie, puis dans le sens de la sortie. Il faut partir en vitesse inférieure, sans à-coups, en tournant doucement les roues directrices pour qu'elles n'interfèrent pas avec la sortie de piste. En mouvement, il faut sortir de l'ornière avec une légère accélération, dans un rapport inférieur.

Passage de flaques d'eau et tronçons de routes sales.

Ces zones doivent être surmontées très soigneusement. Avant d'y entrer, vous devez d'abord les repérer - il peut y avoir des zones marécageuses et sales sous l'eau. Il est préférable de traverser une flaque d'eau le long de la piste existante - le sol y est plus dense et il y a moins de chance de rester coincé.

Vous devez passer à une vitesse inférieure à l'avance, vous déplacer uniformément dans la flaque d'eau, sans ralentir ni accélérer la voiture.

Déplacement sur des terrains sablonneux.

En surmontant les zones sablonneuses, vous devez choisir à l'avance la direction de déplacement la plus sûre.

• Sur du sable visqueux ou une longue section sablonneuse, dégonflez préalablement les pneus à la moitié de la pression Р = 1,8 - 2,0.
• Engagez un rapport inférieur et ne le changez pas pendant la conduite.
• Essayez de conduire tout droit, car les virages peuvent entraîner l'arrêt ou le dérapage de la voiture.
• Sur le sable humide, vous devez conduire plus vite, car une faible vitesse entraîne la nage des roues.

Fossés peu profonds et étroits, fossés doit être surmonté à angle droit en petite vitesse.

Pour surmonter la barrière de l'eau, vous devez :

• Avancez dans l'eau sans accélération, en première vitesse, légèrement incliné par rapport à la rive et en aval.
• Conduisez en douceur, en augmentant le régime moteur après avoir surmonté le gué, séchez les freins sur une surface plane.
• Pour assurer la sécurité lors de la traversée des glaces, il faut :
• Explorer les pentes les plus douces sur la glace et les sorties vers la côte, déterminer l'épaisseur de la glace et son état,

• Lors de la mesure de l'épaisseur de la glace, seule une couche de glace vitreuse pure et continue est prise en compte.
• S'il y a une lame d'air entre la glace et la surface de l'eau, la traversée de cette glace doit être abandonnée.
• Déplacez-vous constamment sur la glace à une vitesse de 10 à 15 km / h.
• Avant le début de la traversée, débarquez les passagers, ouvrez la porte de la cabine et ne la fermez pas pendant toute la traversée.

Conduire une voiture sur des traversées de glace et des routes couvertes de glace ne pardonne pas les erreurs et les imprécisions de conduite. Il s'agit le plus souvent d'un dérapage. La cause du dérapage peut être une forte accélération du véhicule et un freinage brusque.

Le dérapage latéral se produit à partir de l'impact de la force d'inertie centrifuge (dans un virage) ou transversale.

Les causes de dérapage latéral peuvent être:

• freinage non simultané et irrégulier des roues dû à un mauvais réglage, un huilage ou une usure des garnitures de friction des patins ;
• pression d'air inégale dans les pneus ou usure importante de la bande de roulement; crevaison de pneu;
• vitesse trop élevée dans les virages ;
• accélération soudaine sur routes glissantes; freinage brusque, et en particulier sur les sections de route mouillées, boueuses, enneigées et verglacées ;
• virage serré du volant à grande vitesse.

Ainsi, le facteur principal ici est la vitesse de déplacement, de sorte que le conducteur doit accorder une grande attention au choix de la bonne vitesse pour une situation particulière.

Le dérapage, en règle générale, est l'essieu arrière et moins souvent - l'avant. Une façon d'arrêter un dérapage d'essieu arrière consiste à tourner les roues avant dans la direction du dérapage. Dans ce cas, le volant doit être tourné doucement sous un petit angle. Un virage serré et large du volant peut provoquer un dérapage dans la direction opposée. Au moment initial d'un dérapage, il n'est pas recommandé de relâcher immédiatement la pédale d'accélérateur, de débrayer et de freiner fort, ce qui ne peut qu'augmenter le dérapage.

Conduire une voiture tout en traversant des passages à niveau, des ponts, des tunnels. Remorquage de véhicule.

Les conducteurs de véhicules peuvent traverser les chemins de fer, uniquement aux passages à niveau. Lorsqu'il commence à se déplacer après s'être arrêté devant la voie ferrée, le conducteur doit s'assurer qu'aucun train ou autre installation ferroviaire ne s'approche.

Laissez-vous guider par la barrière, les alarmes lumineuses et sonores, les panneaux de signalisation, les marquages ​​routiers et les instructions et signaux de l'agent de service pour le passage à niveau. Le conducteur doit s'arrêter au marquage 1.12 ou devant un panneau de signalisation 2.2, un feu de signalisation ou une barrière afin qu'il puisse voir les signaux. S'il n'y en a pas, pas à moins de 10 m du rail le plus proche du véhicule.

La circulation dans la gare est interdite dans les cas suivants :

• L'officier de service à la gare donne un signal d'interdiction de circulation.
• La barrière est abaissée ou a commencé à s'abaisser.
• Le signal d'interdiction du feu tricolore est allumé (quelle que soit la position de la barrière).
• Un embouteillage s'est formé derrière le passage à niveau, ce qui obligera le conducteur à s'arrêter au passage à niveau.
• Si vous voyez une locomotive approcher.

Les véhicules et mécanismes agricoles, routiers, de construction et autres ne sont autorisés à se déplacer sur le chemin de fer qu'en position de transport.

En cas d'arrêt forcé du véhicule au passage à niveau, débarquer immédiatement les personnes et prendre des mesures pour libérer le passage par le véhicule. Envoyez des personnes dans les deux sens à une distance d'au moins 1000 m pour signaler et arrêter le train. Restez à proximité du véhicule et donnez l'alarme, prenez toutes les dispositions pour dégager le véhicule du franchissement. Lorsqu'un train apparaît, courez vers lui en signalant un arrêt avec un mouvement circulaire de la main pendant la journée et une lanterne ou une lampe de poche la nuit.

Caractéristiques du passage des ponts, viaducs.

Lors du passage sur des ponts étroits, des viaducs, des viaducs, il faut se rappeler que l'absence de bords de route sur eux donne au conducteur une fausse impression d'un rétrécissement important de la route, et donc ils ont tendance à rouler le plus près possible de la ligne médiane, ce qui rend difficile le dépassement du trafic venant en sens inverse. Dans de nombreux cas, aux entrées de ponts, de viaducs, la visibilité se détériore de la même manière que l'état de la chaussée, de sorte que la vitesse doit être réduite à l'avance à des limites de sécurité.

Avec l'arrivée du froid, à l'entrée du pont, il faut se méfier du grésil, bien qu'il ne soit pas sur les routes. Cela est dû au fait que les structures de travée du pont sont rapidement refroidies. Le givrage contribue également humidité élevée l'air de l'évaporation de l'eau.

Sur les autoroutes, la capacité portante des ponts est déterminée par la signalisation routière. S'il y a un pont en bois sur la voie de circulation, dont la capacité de charge n'est pas déterminée par le panneau de signalisation et que la possibilité de rouler dessus est incertaine, il est préférable de le contourner par un itinéraire différent. Il n'est pas nécessaire de déterminer la capacité portante du pont.

Remorquage et exploitation de véhicules.

Le remorquage est effectué :

• Sur un attelage rigide (pas plus de 4 m), le véhicule tracté doit avoir une bonne direction.
• Sur un attelage flexible (de 4 m à 6 m) - le véhicule tracté doit avoir un système de freinage et une direction en état de marche.
• Avec chargement partiel sur une plate-forme ou un véhicule spécial.

L'absence de conducteur au volant d'un véhicule tracté est admise si un attelage rigide assure au véhicule tracté une répétition de la trajectoire de déplacement.

Avant le début du remorquage, les chauffeurs coordonnent la signalisation.
Transporter des personnes lors du remorquage dans la carrosserie du véhicule tracteur, ainsi que dans la cabine et la carrosserie du remorqué un camion interdit
Il est permis de transporter des personnes dans une voiture de tourisme et dans la cabine d'un camion de remorquage.

Lors du remorquage, le véhicule tracteur a un feu de croisement et le véhicule remorqué a une alarme. Si l'alarme est défectueuse, sécuriser l'arrière du ZAO. L'accouplement flexible est indiqué par des drapeaux de signalisation tous les mètres.

mouvement dans une colonne.

Chaque véhicule doit être équipé de feux de croisement.
Conduire une voiture en convoi est beaucoup plus difficile que de conduire une seule voiture et nécessite que le conducteur soit extrêmement concentré et attentif. Se déplaçant en convoi, le conducteur est privé de la visibilité nécessaire. Il doit conduire la voiture en suivant strictement les véhicules qui le précèdent. Par conséquent, de nombreux obstacles surgissent devant le conducteur de manière inattendue. Cela nécessite une disponibilité constante pour une action immédiate.

Au début de la colonne, les véhicules lourds et à basse vitesse doivent se déplacer, ce qui évitera leur arrêt et une forte augmentation de la distance.

Au début, la voiture principale démarre à une vitesse de 15-20 km/h, puis la vitesse augmente progressivement (30-40 km/h sur des routes non goudronnées, 40-50 km/h sur des routes goudronnées).
Chaque véhicule a un signe. Le mouvement d'une colonne de plus de 5 voitures dans celle-ci est conforme à la police de la circulation.

Sur les chemins de terre la résistance au mouvement des véhicules est beaucoup plus grande que sur les routes goudronnées. Par conséquent, au démarrage, il est nécessaire de donner plus d'accélération et de changer de vitesse plus rapidement.

En entrant sur une route difficile, le rétrogradage doit être effectué plus rapidement, plus le sol est mou, moins le virage de la voiture sera correct et précis. Il peut traverser une grande courbe.

Un freinage brusque force les roues dans un sol meuble et le volant peut être retiré de vos mains et nécessiter plus de force pour maintenir le véhicule dans la direction souhaitée. Lorsque vous conduisez dans des descentes abruptes de chemins de terre, vous devez engager une vitesse inférieure et freiner principalement avec le moteur.

La combinaison d'un virage raide et glissant avec une descente est particulièrement dangereuse.. Ici, vous ne pouvez pas freiner et tourner le volant en même temps. La voiture ne peut pas réagir au virage et avance tout droit. Dans ce cas, il faut desserrer le frein et essayer de ralentir avec le frein de stationnement.

En cas de levage par temps humide, terrain glissant, il est préférable de mettre les chaînes à neige à l'avance.

Conduite sur routes forestières réserve de nombreuses surprises en raison d'une visibilité limitée et, par conséquent, des difficultés d'orientation du conducteur lors de la conduite. Dans tous les cas où l'on est amené à circuler sur un chemin forestier sans qu'une bonne piste y ait roulé, il faut reconnaître le chemin, chercher s'il est possible de contourner un tel tronçon.

S'il n'existe pas, alors :

• si la route est étroite, vous devez vous déplacer à faible vitesse, ce qui permet un freinage d'urgence ;
• si vous entendez le bruit d'un véhicule qui approche, il est préférable de prendre à droite en plus large zone et arrêtez-vous, laissez passer le véhicule;
• s'il y a des zones avec un sol humide, il est préférable de les contourner ou de les couvrir de branches et de rouler à une vitesse plus élevée, mais sans casser les ressorts;
• s'il y a des zones de boue profonde, surmontez-les à la 2e vitesse avec accélération;
• si la zone est recouverte d'eau, la voiture doit être conduite avec précaution afin de ne pas tomber dans une fosse ou de heurter des souches et des pierres cachées sous l'eau, et en cas de doute, vérifier la profondeur de la fosse;
• si vous devez circuler sur une route de piste, vous devez rouler à sens unique sur une section sèche et non éculée.

Conduire sur une route enneigée ne présente aucune difficulté. Il faut seulement se rappeler que l'adhérence des roues de la voiture avec la route est faible, donc:

• ne tournez pas le volant brusquement et freinez avant de tourner ; il est nécessaire de réduire la vitesse de la voiture à l'avance;
• les petites congères et les congères de neige doivent être surmontées par l'accélération sans changement de vitesse ni rotation du volant;
• si longue section la voiture n'est pas passée et commence à glisser, puis, en l'empêchant de rester complètement bloquée, vous devez vous arrêter et commencer à reculer le long de l'ancienne piste, puis disperser la voiture et surmonter la section restante.

Zones avec de la neige profonde mieux surmonter avec des chaînes à neige. Pour surmonter la route couverte de neige meuble et mouillée à basse vitesse, en douceur et avec précaution.

Sur les sections de route avec un sol visqueux vous devez être prudent et choisir le chemin le plus pratique et le plus sûr.

Zones couvertes d'eau ou de boue, il faut préférer les endroits avec de la boue épaisse, car il y a moins de résistance au roulement des roues.

Piste non roulée, laissé par la voiture précédente convient au voyage. La présence d'eau dans les ornières indique qu'il y a un sol dense à leur fond. Si la piste s'est soudainement élargie, cela signifie qu'elle a une grande profondeur à cet endroit.

Conduire un tronçon de route avec un sol visqueux il est nécessaire d'arrêter la voiture à une distance d'accélération possible, d'engager une vitesse inférieure et de maintenir la voiture en mouvement en douceur, en douceur, sans à-coups ni freinage brusque, sans changer de vitesse et sans s'arrêter. Lorsque vous arrêtez la voiture, utilisez la méthode du swing.

État des routes et sécurité routière Ces notions sont indissociables les unes des autres. Complexe conditions routières est l'un des facteurs affectant directement sécurité routière.

Les conditions routières comprennent à la fois la qualité de la surface de la route elle-même (creux, bosses, nids-de-poule, marquages) et les conditions météorologiques, ainsi que le terrain (par exemple, rouler le long d'un serpentin en montagne). sur les subtilités de la conduite d'une voiture dans les conditions routières les plus difficiles.

État des routes et sécurité routière

Conduire une voiture dans des conditions routières difficiles affecte tous les conducteurs d'une manière ou d'une autre. Malgré le fait que la majorité de la population vit dans les villes, le réseau routier urbain est loin d'être idéal. Par conséquent, même dans grandes villes des conditions météorologiques difficiles et un hiver traditionnellement « brutal »

Selon les règles de circulation le conducteur est tenu de respecter les mesures de sécurité nécessaires, pour éviter la survenance de situations d'urgence jusqu'à l'arrêt complet du véhicule.

Parallèlement, les services routiers sont tenus de réagir à temps aux changements des conditions météorologiques, de la qualité de la chaussée et de prendre toutes les mesures pour assurer une circulation sans accident.

Dans la pratique, cependant, le tableau apparaît quelque peu différent.

Dans des conditions routières difficiles, la sécurité routière dépend avant tout de l'habileté du conducteur, de son attention, alliée à la prudence.

Conformité règles simples, réduira de plusieurs fois la probabilité d'un accident.

Conduire dans la glace

L'une des conditions routières les plus dangereuses est la glace. Il se caractérise par un revêtement vitreux sur la route, composé de glace, de poussière et d'eau. En raison de l'état particulier de l'eau à températures inférieures à zéro, tout objet sur la glace glisse facilement le long d'une trajectoire arbitraire. La voiture, sur une chaussée verglacée, perd presque toujours le contrôle en raison d'une adhérence insuffisante. Les conditions sont particulièrement dangereuses : glace + neige fraîche, glace + eau. Avec la glace, les avantages incontestables seront :

Pointes de haute qualité et pointes qualifiées ;

Système de freinage antiblocage ABS ;

Faible vitesse de déplacement ;

Quatre roues motrices;

Terrain lisse.

La glace comprend également le run-up de la neige, qui a une structure similaire et un faible coefficient d'adhérence.

Conduite dans des conditions glaciales :

Le démarrage est fluide, sans secousses vers l'avant ;

Le freinage est doux, sans désengager l'embrayage, si nécessaire, en passant aux vitesses inférieures;

Utilisation de la réception de freinage intermittent (pour les véhicules sans ABS) ;

Ne faites pas tourner le moteur, "gazez" doucement et progressivement. Il en va de même pour les changements de vitesse. Toute secousse et regazage est presque garanti pour entraîner la défaillance des roues motrices et le dérapage de la voiture.

Avec une boîte de vitesses manuelle, le passage des vitesses doit être le plus rapide possible, avec des régimes moteur parfaitement adaptés ;

La conduite en montée doit se faire à un régime moteur plus élevé, environ + 20 % de la valeur nominale. Cela vous permettra de basculer plus précisément, empêchant les roues de patiner.

Si vous avez déjà calé, vous devriez secouer la voiture. En aucun cas ne "gazez" ! La roue s'enfoncera très rapidement dans la glace et il sera impossible de démarrer sans aide. Les périodes critiques sont le printemps et l'automne, l'heure de la journée est le matin et le soir.

Conduire dans la neige

C'est aussi assez courant dans notre pays. Il comporte deux dangers principaux - une détérioration de la visibilité et un changement de traction. Le premier est très dangereux, surtout la nuit. Les phares sont instantanément dispersés par les flocons de neige qui tombent, les faisceaux des phares deviennent informes et la surface de la route n'est pratiquement pas éclairée. Avec de fortes chutes de neige la nuit, l'effet d'auto-éblouissement est possible - lorsqu'un point lumineux aggrave la visibilité à presque zéro.

Les chutes de neige menacent de réduire l'efficacité de la traction. Pour cette raison, il vaut la peine de réduire la vitesse au maximum possible. Au préalable, dès les premiers signes de chute de neige, vérifiez le fonctionnement des essuie-glaces et du lave-glace.

Le style de conduite est similaire à la conduite dans des conditions glaciales. Il est très dangereux de freiner sur une surface lisse et/ou inégale - sur des trottoirs pavés, des voies de tramway, Marques routières etc. Presque toujours, cela se traduit par une perte de contrôle.

Il convient de noter que la neige obstrue presque toujours rapidement les optiques lumineuses. Sans surprise, après une demi-heure de conduite, vos phares risquent de ne plus éclairer le chemin, et les feux stop et indicateurs de direction seront totalement invisibles ! C'est très dangereux !

Le radiateur doit être en bon état de fonctionnement - lors d'une chute de neige, les fenêtres s'embuent rapidement et vous pouvez presque instantanément « devenir aveugle ».

Nous passons les congères et même les petites congères lentement pour ne pas se faire toucher dans le pare-chocs.

En hiver, il est utile d'avoir des ceintures ou des chaînes à neige - cela peut aider à situation difficile. Prévoyez également une pelle et un bon câble.

Conduire sous la pluie

Pluie, averse. Il existe également deux dangers principaux - une diminution de la visibilité et un changement d'adhérence. La pluie est un peu plus facile à supporter que les chutes de neige, du moins parce qu'elle ne provoque pas, en règle générale, de changement brusque de la température de l'air et qu'elle n'obstrue pas les luminaires. Cependant, il y a des "surprises" désagréables sous la pluie. Il a tendance à remplir des trous de taille et de profondeur considérables, qui deviennent indiscernables d'une flaque d'eau ordinaire. Entrer dans un tel trou avec une roue est au moins désagréable, et au plus cela menace d'une suspension déchirée et de basculer.

Sur une route inconnue, vous devez être très prudent et ne pas dépasser la limite de vitesse. Tout d'abord, vous pouvez entrer dans le trou déjà mentionné "déguisé" par l'eau. Deuxièmement, vous pouvez "attraper" l'aquaplanage. C'est un effet très désagréable, qui se caractérise par une perte totale ou partielle de contact entre la roue et la route. La physique du phénomène est simple. À une certaine vitesse, la roue ne peut plus "extraire" une couche d'eau sous elle-même à temps et commence littéralement à nager. L'adhérence à la chaussée est nulle et la voiture perd presque toujours le contrôle. Et c'est une catastrophe potentielle.

En raison du fait que l'aquaplanage se produit à une vitesse assez élevée, les conducteurs le rencontrent souvent sur les routes de campagne ou les autoroutes urbaines. Qu'est-ce que cela signifie de perdre le contrôle d'une voiture dans un trafic passant et venant en sens inverse, nous pensons qu'il n'est pas nécessaire de l'expliquer. De plus, le même aquaplaning rend impossible un freinage rapide et efficace. Et si, en plus, la moitié des roues roulent sur de l'asphalte dur, et l'autre moitié « flotte » ? Une pression sur la pédale de frein garantit presque un dérapage instantané.

Si vous entrez dans une flaque d'eau, vous ne devez pas modifier la trajectoire du mouvement et freiner brusquement. La meilleure façon de s'en sortir est de relâcher doucement le gaz pendant le freinage.

Conduire dans le brouillard

Le brouillard est un phénomène de complexité intermédiaire entre les chutes de neige et les averses, qui a cependant ses propres caractéristiques. Le brouillard peut rendre la visibilité nulle, ce qui signifie que vous ne pouvez rien voir d'autre que le capot de votre voiture. Le brouillard est souvent appelé un "trompeur" ou un "générateur d'illusions" - il absorbe la lumière et sonne bien. De plus, il peut déformer les sons, par exemple en rapprochant illusoirement les sons éloignés et en éloignant considérablement les sons proches. Le brouillard matinal ou soudain est particulièrement dangereux, généralement dans les zones de lacs et de rivières. L'entrée dans le brouillard peut être soudaine pour le conducteur, ce qui entraîne de graves accidents.

A l'approche du brouillard, il faut réduire la vitesse à presque zéro, car il est impossible de comprendre et de ressentir la densité du brouillard à distance. Assurez-vous d'allumer toutes les lumières. Certains experts recommandent d'ouvrir les fenêtres et de servir périodiquement signaux sonores. Si la visibilité est nulle, il est préférable de ne pas continuer à conduire et de trouver une opportunité de quitter complètement la route. Le brouillard n'est pas un phénomène très long, cependant, il est extrêmement dangereux. Chaque année, nous voyons de terribles accidents non seulement sur les routes nationales, mais aussi sur les autoroutes étrangères avec des dizaines voire des centaines de voitures cassées et des conducteurs estropiés. Une bonne aide sera des phares antibrouillard de haute qualité et correctement réglés.

Rouler la nuit

Période de conduite difficile. Cela est particulièrement vrai pour les routes de campagne non éclairées. Malgré le fait que l'intensité du trafic décuple la nuit, la probabilité d'avoir un accident, au contraire, augmente considérablement. L'attention faiblit, le mode habituel d'éveil et de sommeil est perturbé,

Les principaux dangers de la conduite de nuit :

éclairage insuffisant,

Fatigue et fatigue accrues

Risque de s'endormir au volant

Aveuglement par le trafic venant en sens inverse et de passage,

Distorsion de la visibilité, évaluation biaisée de la distance, de la couleur et de la structure des objets.

Il existe des règles et des restrictions pour la conduite de nuit :

Réduisez toujours votre vitesse au minimum, surtout en hiver et sur des routes inconnues.

Ne regardez jamais les phares venant en sens inverse ! Si vous avez accidentellement "attrapé" le faisceau, ralentissez immédiatement et arrêtez-vous en douceur sans changer de voie.

Regardez attentivement le bord. Cela vous permettra de ne pas bouger de la surface (en l'absence de balisage) et de remarquer à temps une voiture stationnée sur le bord de la route ou un piéton qui marche.

Si une voiture venant en sens inverse vous aveugle, faites clignoter vos feux de route plusieurs fois. Le véhicule venant en sens inverse doit clignoter en réponse. Si cela ne se produit pas, le conducteur de la voiture venant en sens inverse ne vous a pas compris ou ne remarque tout simplement pas vos signaux. Il y a trois options ici : arrêter et sauter, continuer à conduire avec les feux de croisement, continuer à conduire, mais allumer les feux de route. Chaque scénario a ses partisans et ses adversaires, décidez vous-même. Notre recommandation est de ralentir jusqu'à l'arrêt.

Les virages sont lents, surtout en terrain inconnu. De nuit, sans balisage lumineux, il est très difficile d'évaluer la courbure des virages, donc ça ne vaut pas le risque.

L'heure la plus dangereuse est vers 4 heures du matin. Assurez-vous de demander à quelqu'un de vous remplacer, et si vous êtes le seul conducteur, cela vaut la peine de dormir un peu. Trouvez un endroit sûr et dormez au moins une demi-heure. Habituellement, cette période est suffisante pour restaurer la force.

Enfin, vu le début des vacances, quelques recommandations pour rouler en montagne.

Serpentins de montagne

Parfois, par exemple, en voyageant vers le sud, un conducteur non préparé peut rencontrer des routes de montagne. La gestion en montagne a aussi ses propres caractéristiques. L'essentiel est le respect des consignes de sécurité. Les incidents courants sur les routes de montagne sont les sorties de piste, les dépassements en côte, les excès de vitesse dans les descentes et la perte de contrôle correspondante avec un « rebond » hors de l'autoroute ou une collision frontale.

La règle principale est de ralentir. Si la serpentine est suffisamment haute, une privation d'oxygène inhabituelle peut affecter la perception de la vitesse et de la distance et provoquer des illusions. Si vous n'avez aucune expérience de conduite dans les zones montagneuses, il vaut mieux éviter de dépasser - c'est assez dangereux. Le ralentissement est également nécessaire car les virages en montagne sont généralement très raides.

Si vous devez vous arrêter, essayez de l'éviter à la hausse. Arrêtez-vous toujours sur une pente descendante, quelle que soit la quantité de montée ou de descente.

Faites le plein de coins de recul à l'avance, ou au moins quelques pavés plats - cela peut être nécessaire.

Faites le plein de liquide de frein et d'antigel. Sur les routes de montagne, les freins lâchent souvent et les voitures bouillonnent. Ceci est particulièrement critique dans la chaleur de l'été.

Évitez de changer de vitesse en côte.

Si vous remarquez une voiture qui avance lentement, ne vous en approchez pas et continuez à vous déplacer à distance. Ceci est nécessaire en cas de perte de contrôle des sujets.

S'il y a un obstacle visible à la montée, passez à une vitesse inférieure à l'avance, mais ne tordez pas le moteur - vous surchaufferez très rapidement !

Considérez les "zones mortes", en particulier pour les poids lourds.

La sécurité routière dans des conditions routières difficiles dépend principalement du conducteur lui-même, de ses compétences, de sa prudence, de son attention et d'un choix judicieux de style de conduite.

En conclusion, je vous propose de lire l'article du blog : ce qui affecte directement à la fois la sécurité routière et la conduite dans des conditions routières difficiles.

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Conduite dans des conditions routières difficiles

Université d'État de Dnepropetrovsk

affaires internes

Département de "Formation tactique et spéciale"

abstrait

sur le sujet: „Conduire dans des conditions routières difficiles”

Terminé:

cadet 301 ans

officier de police

Krut S.Yu.

Vérifié:

prof

département de formation tactique et spéciale

Makarevitch V.V.

Dnepropetrovsk, 2007

Plan

Introduction

1. Route glissante.

2. Mouvement sur l'eau.

3. Conduire sur une mauvaise route

4. Longue route

Littérature

Introduction

Environ 1/3 de tous les accidents de la circulation surviennent sur des routes mouillées, verglacées ou enneigées. Ces routes présentent des conditions d'adhérence dégradées. Cela signifie que la probabilité que les roues glissent sur la surface de la route augmente, ainsi que leur retrait sur le côté. Dans ces conditions, la voiture devient souvent incontrôlable.

La glissance de la route est caractérisée par le coefficient d'adhérence. Le coefficient d'adhérence normal des chaussées en béton bitumineux varie de 0,6 à 0,8. Sous l'influence des conditions météorologiques, les revêtements routiers perdent leurs qualités, le coefficient d'adhérence diminue jusqu'à des limites dangereuses. Le coefficient de frottement de 0,4 est adopté comme minimum admissible en termes de sécurité routière.

Selon l'état de la surface de la route, la distance d'arrêt peut varier de 3 à 4 fois. Ainsi, la distance d'arrêt à une vitesse de 60 km/h sur une surface en béton bitumineux sec sera d'environ 37 m, sur une surface mouillée - 60 m, sur une route verglacée - 152 m. l'embrayage peut différer d'un facteur 2 ou Suite.

La vitesse de conduite a également un effet sur l'adhérence des pneus, car à grande vitesse, des forces de portance aérodynamiques commencent à apparaître, ce qui réduit l'adhérence du véhicule sur la route.

1. Route glissante.

Les routes glissantes ne sont pas seulement en hiver. Un tel phénomène est observé lorsqu'un liant agit sur la surface de la chaussée en béton bitumineux par temps chaud ou que l'humidité de l'air ou du givre par temps froid se dépose le matin. Lorsqu'il commence à pleuvoir, un mélange d'eau, de matériaux d'usure des pneus et de la chaussée et de produits pétroliers se forme sur la chaussée. Le résultat est un excellent lubrifiant. Par conséquent, sous une pluie légère bruine, la route est plus glissante que sous une forte averse.

Glissant peut être une route pavée, surtout lorsqu'elle est mouillée, une route pendant la chute des feuilles ou une route sèche ordinaire polie par des milliers de voitures qui la parcourent.

Il est important que le conducteur apprenne à déterminer (sentir) une route aussi dangereuse pour la conduite et à changer le mode et la tactique de déplacement en temps opportun. Une analyse des accidents impliquant des taxis passagers menée par le NIIAT a révélé que 49,6% d'entre eux se sont produits sur des routes mouillées, boueuses ou glissantes. La principale erreur des pilotes a été de ne pas tenir compte de la glissance de la route et du mauvais choix de vitesse.

Il est clair que les sections glissantes de la route doivent être évitées autant que possible, en essayant de les contourner ou en utilisant des techniques de conduite spéciales. Examinons de plus près les zones dangereuses que vous devriez essayer d'éviter.

Évitez les zones qui ont des taches d'huile grasse. Une route huileuse ou recouverte de liants frais (par exemple de l'asphalte frais et fraîchement posé) est très glissante. Cherchez toutes les occasions de contourner un tel site. Par temps chaud, la tache d'huile sur la route est bien visible, contournez-la.

Essayez d'éviter les sections de la route cachées sous l'eau. Il existe divers dangers sous l'eau. De plus, après avoir traversé une flaque d'eau profonde, les plaquettes de frein peuvent être mouillées et les freins peuvent tomber en panne, le moteur peut caler, etc.

Déplacez-vous le long de la piste. Si vous pouvez clairement voir la piste tracée par d'autres véhicules, déplacez-vous le long de celle-ci. Dans une ornière, l'adhérence des pneus à la route est meilleure.

Lorsque la route est recouverte de glace fondante, évitez de conduire dans les voies à circulation dense. Sur les voies à circulation plus dense, la glace fond plus rapidement, et donc la conduite sur ces voies est plus sûre que là où il y a peu de voitures, par conséquent, la croûte de glace sur la surface de la route dure plus longtemps.

Vous devez également vous méfier des zones où la glace non fondue se trouve à l'ombre des arbres ou des bâtiments. Gardez à l'esprit que la glace dans ces zones abritées du soleil fond plus lentement et le soir, elle gèle à nouveau plus rapidement, même si elle a dégelé un peu pendant la journée.

Soyez particulièrement prudent lorsque vous vous approchez de ponts ou de viaducs. Là, la croûte de glace sur la route apparaît plus tôt que partout ailleurs, et disparaît plus tard. Dans ces zones de danger accru, évitez les mouvements brusques du volant, de l'accélérateur, du frein.

Ne dépassez pas à moins que cela ne soit absolument nécessaire. Mieux vaut rester dans votre voie. Même un simple changement de voie sur une route glissante est une menace, et un dépassement encore plus. Cette manœuvre est dangereuse même dans de bonnes conditions routières, et devient extrêmement risquée avec une mauvaise motricité.

Conduisez autour des congères de sable et de neige, des congères, de la boue ou des feuilles humides. Les feuilles humides rendent la chaussée aussi glissante que la glace. Si vous essayez, par exemple, de freiner sur une route recouverte de feuilles mouillées, vous perdrez presque certainement le contrôle de votre voiture.

Si vous devez vous arrêter, cherchez un endroit sur la route exempt des dangers énumérés ci-dessus : verglas, neige, feuilles, sable. S'il n'y a pas de telles sections, par exemple lors de la conduite sur une route de campagne en hiver, il serait préférable de s'arrêter sur de la neige tassée et sèche. S'il y a eu des arrêts fréquents avant vous, la neige peut être polie jusqu'à l'état de glace. Méfiez-vous de cela. Et s'arrêter et repartir de cet endroit sera très difficile.

Ne vous arrêtez pas dans les montées. Il vaut mieux s'arrêter avant le début de l'ascension ou derrière celle-ci. N'oubliez pas qu'un démarrage en côte avec une mauvaise adhérence est difficile et dangereux.

Quand les montées et les descentes n'en finissent pas, mieux vaut s'arrêter dans la descente. Il vous sera plus facile de vous déplacer.

Si la conduite sur une route glissante ne peut être évitée, essayez de déterminer le degré de glissance. Pour ce faire, vous pouvez utiliser plusieurs méthodes: visuellement, freiner, changer l'alimentation en carburant, appuyer sur la pédale d'accélérateur. Une personne ayant une vision normale verra presque toujours une surface glissante, mais ne pourra pas toujours apprécier à quel point elle est dangereuse. Si la route est dégagée, vous pouvez essayer d'évaluer la glissance en appuyant fortement sur la pédale de frein. Dans d'autres conditions, vous devez vérifier l'adhérence des roues en appuyant fortement sur la pédale d'accélérateur. Si les roues motrices patinent, la route est assez glissante et, lors de la conduite, les recommandations suivantes doivent être suivies.

Conduisez à vitesse réduite, augmentant la marge de sécurité de tous les côtés de votre véhicule. Une grande marge de sécurité est nécessaire du fait que sur une telle route il faut beaucoup plus d'espace pour avoir le temps de s'arrêter. Nous avons parlé plus tôt de la nécessité de maintenir une distance de 2 secondes par rapport au leader. Mais cela s'applique aux conditions routières normales, chaussée sèche. Et s'il pleut ? Pour plus de sécurité, ajoutez 2s. Dans la neige - encore 2 s, donc maintenant ce sera 6 s. Sur une route verglacée, où la distance de freinage est la plus longue, ajoutez 2 secondes supplémentaires - vous obtenez 8 secondes.

Essayez de garder une vitesse constante, utilisez la pédale très prudemment, doucement, doucement. Pas de mouvements supplémentaires. Réduisez votre vitesse avant les virages et les intersections bien à l'avance. Les carrefours, lorsque la route est glissante, sont particulièrement dangereux pour deux raisons: il existe un risque de collision avec d'autres véhicules dont les conducteurs, se déplaçant dans le sens traversé, n'ont pas calculé la vitesse et ont perdu le contrôle; la surface près de l'intersection peut être particulièrement glissante en raison du freinage constant des voitures.

Maintenez une vitesse constante pendant la montée. Vous devez sélectionner le rapport et la vitesse appropriés à l'avance afin de ne pas les changer lors de la montée elle-même. Le calcul doit être très précis pour ne pas rajouter de gaz lors de la remontée.

Dans les descentes verglacées, freinez avec le moteur en engageant la deuxième vitesse en haut. Si vous appuyez sur le frein, la voiture se révélera être un traîneau avec un ancien coût de plusieurs milliers de roubles. La même chose peut se produire avec un virage serré du volant : la voiture roulait tout droit et continuera à rouler.

Dans les voitures à traction avant, bien que rarement, il arrive que les roues avant sur une pente glissante commencent à patiner; essayez de prendre l'ascenseur en sens inverse, cela aide souvent.

Il est dangereux de changer de vitesse sur une pente glissante, cela doit être fait avant de monter. Vous devez également faire attention au gaz, sinon vous commencerez à glisser et même à reculer. Si la route est dégagée et que personne ne voit la « honte », mieux vaut, en ralentissant prudemment, redescendre et essayer de reprendre la montée en tenant compte des erreurs de la première fois. Dans d'autres cas, reculez prudemment sur le bord de la route, ralentissez, en mettant l'accent sous n'importe quelle roue et réfléchissez à la façon de vivre. Essayez très probablement de poser une piste de sable et de ciment sec, dont vous avez mis un sac avec parcimonie dans le coffre depuis l'automne.

Que faire en cas de freinage urgent sur verglas ? Les débutants appuient généralement à fond sur la pédale de frein: sur la glace, les roues se verrouillent instantanément sur le dérapage, et ... la voiture glisse avec succès sur la glace sur des roues gelées, comme sur des patins, et n'obéit même pas au volant. Il est donc impossible de ralentir sur le dérapage.

Pour un arrêt d'urgence sur route glissante, trois modes de freinage peuvent être utilisés : frein à gaz, freinage intermittent et par paliers.

Vous avez remarqué un obstacle tardivement, vous devez ralentir et il y a de la glace sous les roues. L'expérience de conduite est minime. Essayez d'appliquer doucement mais fermement le frein et le gaz en même temps. Ensuite le couple fourni par le moteur aux roues empêchera celles-ci de se bloquer et de déraper, et le freinage sera plus efficace que lors d'un freinage jusqu'au dérapage. Mais rappelez-vous: si le moteur commence à caler à cause d'une telle violence, vous devez relâcher la force du pied sur le frein.

Celui qui a les nerfs plus forts et plus d'expérience, dans la même situation, appuie doucement mais de manière décisive sur le frein. Dès que vous sentez que le dérapage des roues a commencé, forcez-vous à relâcher un instant la pédale avec un effort de volonté. Les roues « rattraperont » à nouveau la route. Appuyez à nouveau (mais déjà plus faiblement) sur le frein et relâchez lorsque les roues se bloquent. Et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il s'arrête, en desserrant à chaque fois la pression. Avec cette technique, vous ne laisserez pas les roues patiner constamment, la distance de freinage de la voiture sera donc beaucoup plus courte. Avec cette méthode de freinage, les actions nécessaires avec le volant doivent être effectuées au stade «relâché», lorsque la pédale de frein n'est pas enfoncée et que les roues tournent librement. Ainsi, le conducteur a le contrôle total de la voiture, effectue les manœuvres nécessaires et freine en même temps.

Si vous freinez brusquement, les roues complètement bloquées, vous perdez immédiatement le contrôle de la voiture, car les roues ne tournent pas, la voiture n'obéit pas au volant et fonce vers l'avant par inertie, glissant comme un traîneau sur une chaussée glissante.

Ainsi, freinez sans braquer les roues, utilisez la méthode de freinage par intermittence et au moment où vous relâchez la pédale de frein, réalisez les gestes nécessaires avec le volant. N'oubliez pas : frein-gouvernail-frein-gouvernail est un moyen efficace de s'arrêter sur des surfaces glissantes, combiné à l'évitement simultané du danger dans une situation critique. Dans le même temps, la distance d'arrêt sur les surfaces glissantes, comme vous vous en souvenez, augmente considérablement. Par conséquent, lors du freinage, vous devez toujours choisir une section de la route sur laquelle il y a beaucoup d'espace libre devant vous.

Pour les personnes formées, la meilleure façon est de procéder par étapes. Il ne diffère de l'intermittence que par le fait que lorsque le frein est relâché, la pédale n'est pas complètement relâchée, mais partiellement. Le pied est tout le temps sur la pédale, prêt à relâcher un peu la pression en cas de blocage, pour ensuite appuyer à nouveau sur les freins. C'est un travail très délicat. Mais il deviendra disponible après une formation dans des zones sûres. Alors, comparons les distances de freinage sur glace avec différentes méthodes de freinage (vitesse du véhicule 60 km/h).

Dans les virages, une force latérale commence à agir sur la voiture, tendant à éloigner la voiture du virage. Elle est d'autant plus grande que la vitesse est élevée et que le virage est raide. Par conséquent, avant un virage glissant, vous devez ralentir davantage. Le freinage est dangereux !

Si la voiture dérape, suivez les règles de conduite suivantes :

Ne ralentissez jamais. Cela n'aidera pas, mais ne fera qu'aggraver le dérapage. Il est très difficile de ne pas le faire : une force inconnue tire irrésistiblement votre pied vers le frein, mais vous devez résister, sinon vous perdrez votre dernière chance...

N'appuyez pas sur l'embrayage. Appuyer sur l'embrayage est tout aussi inutile que, disons, appuyer sur le bouton de l'allume-cigare lors d'un dérapage.

Ne laissez pas tomber la pédale d'accélérateur, laisser tomber la pédale d'accélérateur signifie aggraver le dérapage. Mais si vous abaissez doucement l'accélérateur sur une voiture à traction arrière et que vous l'augmentez légèrement sur une voiture à traction avant, cela peut réduire le dérapage.

Tourner le volant dans le sens du dérapage. L'arrière de la voiture est allé à gauche, le volant suit le même chemin, et vice versa. Cela doit être porté à l'automatisme, exécuté sans à-coups, mais rapidement. Les mains font tourner la roue sur le secteur latéral.

Notez que les roues avant pointent toujours dans le sens de la marche. C'est important. Un tour de volant supplémentaire en cas de panique peut ne pas «se calmer», mais «bavarder» encore plus la voiture. Par conséquent, le volant doit être tourné dans le sens du dérapage rapidement, mais avec modération.

Ainsi, résumant nos recommandations, nous vous rappelons que tout mouvement que vous effectuez sur une route glissante doit être plus doux, plus maîtrisé, plus maîtrisé que sur une route sèche. Évitez les virages serrés, les freinages brusques, les changements de vitesse brusques. Une conduite douce, douce et mesurée lui donnera une plus grande stabilité, réduira la probabilité de dérapage, qui existe toujours sur les surfaces glissantes.

Vous pouvez améliorer votre position sur les routes glissantes en augmentant l'adhérence de vos pneus sur la route. Pour ce faire, vous pouvez utiliser des pneus spéciaux ("flocons de neige", avec des pointes ou des chaînes à neige) et charger en plus les roues motrices.

Les pneus Snowflake, comme leur nom l'indique, sont bons pour la conduite sur neige meuble. Lorsqu'il s'agit de conduire sur de la glace ou de la neige tassée, ils ne sont presque pas meilleurs que les pneus ordinaires. De bons "flocons de neige" et lors de la conduite dans la boue. Il convient de noter que si vous roulez "flocons de neige", cela ne signifie pas du tout que vous êtes complètement en sécurité. Vous devez respecter toutes les règles de conduite sur route glissante : ne faites pas de mouvements brusques, pensez à la vitesse. Et pas seulement pour réfléchir, mais aussi pour ne pas dépasser sa limite raisonnable, etc.

Les pneus cloutés facilitent le démarrage et l'arrêt sur la glace ou la neige tassée. Cependant, il ne faut pas non plus trop leur faire confiance, surtout dans les virages, surtout s'ils ne sont utilisés que sur les roues arrière.

Les chaînes antidérapantes offrent la meilleure adhérence. En présence de chaînes, la distance d'arrêt d'une voiture sur la glace est considérablement réduite. Cependant, les chaînes nécessitent une attention particulière : assurez-vous toujours que les chaînes sont mises et montées correctement. Périodiquement, ils doivent être vérifiés pour le freinage ; en présence de chaînes, vous devez vous déplacer lentement; lors de la conduite sur une route sans verglas ni neige, les chaînes doivent être retirées. Sur les surfaces sèches, ils sont non seulement inutiles, mais aussi nocifs - ils peuvent endommager les pneus et la surface de la route.

Pour améliorer les propriétés de traction de la voiture sur des routes glissantes, vous pouvez augmenter la charge sur les roues motrices. Cela se fait comme suit: une cargaison supplémentaire, telle que du sable et une pelle (que vous devriez avoir en cas d'élimination du patinage des roues), est située dans le coffre au-dessus des roues arrière (pour une voiture à propulsion).

En général, vous ne devez pas surcharger la voiture lorsque vous conduisez sur des routes glissantes - cela ne fera qu'aggraver la traction. Et notre premier conseil ne se réfère pas tant à l'augmentation de la charge, mais à l'emplacement correct de la charge dans la voiture. Tout cela est vraiment très important. C'est important sur n'importe quelle route, et surtout sur les routes glissantes. Les cargaisons en vrac sont particulièrement dangereuses.

Ce qu'il ne faut pas faire sur une route glissante :

Ne surchargez pas le véhicule. Cela n'améliorera pas l'adhérence des pneus sur la route.

Ne réduisez pas la pression des pneus pour améliorer la traction sur les routes glissantes. Certains conducteurs pensent que la réduction de la pression améliore soi-disant la traction. Ce n'est pas vrai. Vos pneus s'useront tout simplement rapidement.

Les pneus cloutés, les pneus flocon de neige, les chaînes à neige aident à améliorer la traction, mais ils ne fournissent pas conditions de conduite, égales à celles qui existent sur une surface sèche. Par conséquent, ne perdez pas les avantages acquis grâce à ces pneus en développant une plus grande vitesse.

2. Mouvement sur l'eau.

Si l'eau inonde la route à une profondeur supérieure à la profondeur de la bande de roulement des pneus de la voiture, alors à grande vitesse, les pneus peuvent commencer à glisser sur la surface de l'eau sans toucher la surface de la route. Ce "flottage" de la voiture sur l'eau s'appelle "l'aquaplanage". Lorsque ce phénomène se produit, la voiture devient incontrôlable, n'obéissant pas au volant.

L'aquaplaning est un phénomène désagréable, indésirable et très dangereux. Cela peut se produire lorsqu'il y a une couche d'eau de seulement 1 cm d'épaisseur au-dessus de la surface de la route. Si la réflexion des objets environnants est clairement visible dans les flaques d'eau, sur une surface de route mouillée, il y a un risque d'aquaplaning.

Un autre signe du danger de ce phénomène est que la voiture qui se déplace devant ne laisse aucune trace. Ces panneaux doivent vous inciter à prendre les mesures nécessaires, à savoir la réduction immédiate de la vitesse.

D'une manière générale, l'apparition d'un phénomène d'aquaplaning dépend de plusieurs conditions :

De la vitesse de votre voiture. À des vitesses inférieures à 80 km/h, ce phénomène est peu susceptible de se produire. Dans tous les cas, un aquaplaning complet est peu probable et un aquaplaning partiel peut survenir dans certaines conditions à des vitesses inférieures à 40 km/h.

De l'épaisseur de la couche d'eau sur la route. Plus l'eau est profonde, plus les roues sont susceptibles de se détacher de la surface de la route.

Du type de bande de roulement du pneu, sa profondeur, de la pression des pneus, l'alignement des roues.

La meilleure façon d'éviter l'aquaplanage est de ralentir dans le temps, d'avancer lentement. Lorsque vous voyez une route dans l'eau, essayez de ne pas la heurter du tout si possible, si possible, contournez cette section. Si ce n'est pas possible, ralentissez immédiatement et roulez lentement dans l'eau.

Enfin et surtout, surveillez vos pneus. Évitez une usure excessive, vérifiez constamment la pression - ne vous écartez pas de la norme établie.

3. Conduire sur une mauvaise route

Ceux qui vont acheter une voiture rêvent souvent de la façon dont ils iront à la campagne, pêcher, chasser, cueillir des champignons. Le silence retentissant de la forêt, le coude de la rivière, pas une âme, juste une voiture à l'ombre des arbres... Pourquoi pas une idylle ? Ensuite, pour beaucoup, tous ces rêves sont brisés par la dure réalité : il n'y a pas d'issue de la route, et s'il y en a, alors vous ne descendrez pas sans parachute ou un tel trou, argile, neige, sable, marécage, etc., etc. conduire.

Faisons attention aux capacités techniques de la voiture, à savoir la capacité de cross-country. Les voitures "Zaporozhets", "Zhiguli", "Moskvich", "Volga" sont, en principe, conçues pour rouler sur de bonnes routes. Et seuls LuAZ, UAZ et Niva peuvent se déplacer hors route. Vous vous souvenez de la mystérieuse formule « 4x4 » ? Cela signifie que les deux essieux sont en tête. C'est la chose principale pour augmenter la capacité de cross-country. Voyons fig. 63. On peut en déduire que les voitures ordinaires sont ruinées par une faible garde au sol, une longue base et de grands porte-à-faux, en particulier pour les carrosseries de type berline. Ils heurtent facilement les obstacles. D'où le premier principe de la conduite tout-terrain : mesurez sept fois - puis partez.

Nous savons que pour surmonter un obstacle, vous devez appliquer une grande force. Sur une voiture, c'est la force de traction, plus le rapport est bas, plus il est important. D'où le deuxième principe: à travers les obstacles - sur la vitesse la plus basse.

Sur les routes non goudronnées et visqueuses, dans une ornière, vous devez tenir fermement le volant pour qu'il ne se cogne pas. Donc, le troisième principe : tenir le volant à deux mains avec les pouces vers l'extérieur.

Les chemins de terre. Essayez de changer de vitesse moins souvent, car démarrer sur de telles routes est souvent un problème. Pour ce faire, le conducteur doit évaluer attentivement la route afin de réguler en douceur le trafic. Parfois, pour améliorer la visibilité, il faut même mettre un oreiller sous le siège. Sur terre battue glissante, la voiture peut ne pas obéir au volant et aller tout droit. N'ayez pas peur. Premièrement, la voiture ralentit parfaitement sur un tel sol, et deuxièmement, après 10-15 m, elle continuera à contrecœur, mais commencera à tourner. Par conséquent, si un tel phénomène est observé, il est nécessaire de commencer à tourner plus tôt, avec une marge de glissement.

Le long de la piste. Tout dépend de la profondeur de la piste. Des difficultés surviennent souvent lorsque vous essayez de sortir de l'ornière - la voiture recule. Il est nécessaire d'appliquer un mouvement de pendule avec un volant avec un virage serré vers la sortie et d'appuyer sur le gaz. Il vaut mieux traverser la piste obliquement à un angle de 45-60°. Si la piste va dans une flaque d'eau, de la boue, alors, curieusement, il vaut mieux aller dans la boue, car le fond de la piste est percuté. Cependant, il existe des options ici. Il est nécessaire de vérifier la profondeur et le sol avec un bâton. Ensuite, conduisez prudemment dans la flaque d'eau avec seulement les roues avant. Si une plongée complète a commencé, reculez rapidement et cherchez un détour. La recommandation est valable pour les véhicules à traction arrière et à traction intégrale.

Lors de la conduite dans une ornière, de forts chocs latéraux se produisent, la vitesse doit donc être faible, sinon la voiture risque de basculer. Il est préférable que les passagers saisissent les poignées élastiques situées au-dessus des portes.

Pierres sur la route. Les gros valent mieux faire le tour. Si ce n'est pas possible, « mesurez » avec le pare-chocs en roulant près de l'obstacle. Rappelez-vous qu'une pierre peut non seulement endommager les pneus, les tirants, l'entraînement, les flexibles de frein, mais aussi percer le carter d'huile moteur. Et il contient de l'huile. Par conséquent, il vaut mieux ne pas être trop paresseux et retirer la pierre de la route. Rappelez-vous, une personne paresseuse fait un double travail.

A travers la boue mieux avec l'accélération, mais surtout - sans s'arrêter, puisque la deuxième fois, vous ne pouvez même pas démarrer - les roues caleront. Et pour éviter cela, il n'est pas nécessaire de donner une vitesse trop élevée. Si, néanmoins, cela se produisait, vous ne devriez pas glisser jusqu'à ce que la fumée sorte sous les roues. Les roues creusent encore plus profondément, et vous ne sortirez certainement pas vous-même. Il est préférable d'essayer de revenir sur vos propres pistes. En cas d'échec, vous devrez creuser les roues, leur créer une piste artificielle et mettre des broussailles, des planches, un tapis de sol.-Certaines personnes mettent des couvertures sur les sièges, des vêtements. Parfois, il est utile de placer les passagers sur le siège arrière ou sur le capot (si la voiture est à traction avant). Si cela n'aide pas, il reste à prendre le câble de remorquage.

Les automobilistes, complètement bouleversés, s'accrochent souvent au câble du pare-chocs au lieu de crochets spéciaux. C'est extrêmement frivole. Le pare-chocs sera probablement froissé et il saisira les ailes. Tirants, stabilisateur, bras de suspension, essieu arrière est également préférable de ne pas toucher. Seul le ressort arrière (c'est pour la Volga et la Moskvich) descendra encore pour amener le câble, et la chose la plus correcte est les points de fixation standard.

Avant de démarrer en remorque, les deux conducteurs doivent se mettre d'accord sur les signaux. Par exemple, un long bip - ralentir, deux courts - stop. Portez une attention particulière aux angles afin que le câble ne déborde pas et n'endommage pas la gaine.

Équitation à flanc de coteau ne fait pas plaisir. On dirait que la voiture est sur le point de basculer. Mais pour les voitures particulières, cela est peu probable ; plutôt, la voiture glissera. Si la pente est humide, il vaut mieux ne pas rouler, la voiture glissera, à la fois latéralement et vers l'arrière.

A travers une petite rivière avec des berges non visqueuses et non raides, vous pouvez vous déplacer. Mais tout d'abord, vous devez mesurer la profondeur et déterminer si le fond n'est pas visqueux. Pour une voiture de tourisme ordinaire, la profondeur autorisée ne dépasse pas la moitié de la hauteur de la roue. Inspectez soigneusement la rive opposée - si la voiture la prendra. Pour les véhicules à traction avant, cette tâche est plus facile. Descendez prudemment dans l'eau et en douceur, avec une augmentation du gaz (pour éviter que l'eau ne pénètre dans le silencieux), nous surmonterons le gué. Certains essaient de le faire avec l'overclocking. En conséquence, une haute vague se lève, ce qui éteint le moteur. Et encore une fois, le mettre à l'eau, en règle générale, est une entreprise vaine.

Dans la neige profonde comme dans le sable, la voiture s'enlise, les roues glissent facilement. C'est bien s'il y a une piste, mais se déplacer comme ça - sans chaînes sur roues, et même sur des pneus ordinaires (pas de «flocons de neige») - est une entreprise désespérée et dangereuse. Les pointes ici ne donnent pas beaucoup d'effet. Au fait, à propos des pneus. Les conducteurs expérimentés améliorent la capacité de leur véhicule à gérer les routes boueuses en réduisant de moitié (et même plus) la pression des pneus. Ils s'aplatissent et, comme les skis, empêchent la voiture de s'enfoncer dans la neige et le sable. Vous pouvez donc essayer cette ancienne méthode.

4. Longue route

Conduire sur une route de campagne est différent de conduire en ville. Ici, la vitesse est plus élevée, il y a moins de voitures et les piétons sont rares. Cela détend souvent le conducteur. Tous les conducteurs ne savent pas qu'une longue route droite est très dangereuse, s'étendant sur des dizaines de kilomètres à travers un paysage monotone. Cela met beaucoup de pression sur le conducteur. Les yeux sont ouverts et les pensées sont loin, très loin ... Le salut est d'écouter de la musique entraînante ou de chanter soi-même, de parler aux autres voyageurs. Assurez-vous de faire un arrêt de 3 à 5 minutes toutes les 2 à 3 heures de mouvement : sortez de la voiture, échauffez-vous, faites 4 fois le tour de la voiture, en même temps inspectez les pneus, etc., lavez à l'eau froide , etc.

Soyez conscient des éventuels vices cachés de la route. Des sillons longitudinaux de 30 à 80 m de long ou des ondulations transversales (« en peigne ») peuvent écarter de la route un conducteur qui pense à un étranger. Salut - à l'avance pour réduire la vitesse. Une tranchée étroite, imperceptible de loin, peut traverser inopinément la route. L'erreur de nombreux conducteurs est que, ayant remarqué un obstacle tardivement, ils ralentissent désespérément. Dans ce cas, la roue avec le ressort de suspension avant comprimé à la limite (pic de corps lors du freinage) sans amortissement heurte les limiteurs des leviers de sorte que des creux caractéristiques apparaissent sur les ailes (Fig. 64). Et les leviers se plient vraiment. Un conducteur expérimenté ralentit également, mais juste avant l'obstacle, donne un fort gaz. La voiture "s'accroupit" sur les roues arrière, les ressorts avant et l'amortisseur tendus, prêts à bondir et à encaisser le coup. Dans ce cas, les dommages à la suspension seront moindres. Cependant, n'oubliez pas : avant de freiner brusquement, regardez-vous dans le rétroviseur. Sinon, il peut y avoir une collision avec une autre voiture par derrière.

Une erreur similaire est commise par les conducteurs, tombant soudainement dans un échec en douceur de la route. Il semble que la voiture vole dans l'abîme, le pied appuie par réflexe sur le frein, les ressorts avant sont comprimés, et ... alors vous savez déjà. Pour ne pas "décoller" en montée, comme d'un tremplin, ralentissez en haut.

La route descend, en bas il y a un pont avec une bordure haute, il y a une longue montée devant... Accélérer plus pour faciliter la montée est une erreur typique. Après tout, un pont n'est pas seulement un pont, mais aussi un rétrécissement de la route, bien qu'à première vue, cela semble être le même. Il s'avère que de hautes bordures, parapets, travées, pour ainsi dire, rétrécissent la route de 1,5, voire 2 m.De plus, le pont en plaine a souvent une toile cassée (boue, flaques d'eau, glace, etc.). C'est une autre raison pour ne pas trop accélérer dans la descente. Cela ne fait pas de mal de regarder plus souvent dans les rétroviseurs lors de la descente. Il peut être nécessaire de se déplacer vers la droite pour laisser passer le conducteur malchanceux qui n'a pas retenu cette leçon et qui se précipite vers l'aventure avec une vitesse croissante. Il n'a pas voulu prêter attention à vos avertissements de feux stop.

Avant un long voyage, ils évaluent généralement l'itinéraire, scrutant attentivement l'Atlas des autoroutes. Quelle route prendre ? Le long de cette ligne rouge audacieuse sur la carte - une autoroute ou un mince réseau de routes locales, qui au total fait 200 km de moins que l'autoroute ?.. Oui, la tâche... Essayons de définir des moyens de le résoudre. Habituellement, le but du voyage est le même pour tout le monde - s'y rendre en toute sécurité, rapidement et confortablement. Informations à méditer :

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Définition : véhicule, route, voie, intervalle de sécurité. Règles pour garantir la sécurité du trafic. Déplacement sur la chaussée en bicyclettes, cyclomoteurs, charrettes tirées par des chevaux. Règles du tramway.

MINISTERE DES TRANSPORTS ROUTIERS
FÉDÉRATION RUSSE

COLLECTION D'INSTRUCTIONS POUR LES CONDUCTEURS
POUR LA SÉCURITÉ DU TRAFIC

INSTRUCTIONS N° 1

Devoirs généraux des chauffeurs

Le conducteur d'un véhicule à moteur doit avoir :

Certificat pour le droit de conduire un véhicule de cette catégorie ;

Documents d'immatriculation du véhicule (certificat technique, certificat d'immatriculation, etc.);

Suivre ou feuille de route, des documents pour la cargaison transportée, ainsi qu'une carte de licence.

Le chauffeur doit :

Avant de partir, vérifiez et assurez-vous que le véhicule est en bon état technique sur le chemin.

Il est interdit de se déplacer en cas de dysfonctionnement du système de freinage de service, de la direction, du dispositif d'attelage (dans le cadre d'un train), des phares et des feux arrière éteints (sur les routes sans éclairage artificiel la nuit ou dans des conditions de visibilité insuffisante), un essuie-glace inopérant côté conducteur (en cas de pluie ou de neige)

Passer, à la demande des officiers de police judiciaire, un examen d'état d'ébriété ;

Prévoir véhicule :

A) aux policiers pour le transport de véhicules endommagés lors d'accidents, se rendre sur le site d'une catastrophe naturelle ;

b) les policiers organismes fédéraux sécurité de l'état, police fiscale en cas d'urgence;

C) les travailleurs médicaux voyageant dans la même direction pour prodiguer des soins médicaux ;

D) les travailleurs médicaux, les policiers et les agences de sécurité de l'État fédéral, les combattants et pigistes milice pour transporter les citoyens ayant besoin de soins médicaux urgents vers les établissements médicaux.

Le conducteur des personnes qui ont utilisé le véhicule doit exiger une attestation ou inscrire dans feuille de route indiquant la durée du voyage, la distance parcourue, le nom, le poste, le numéro de certificat de service, le nom de l'organisation et des travailleurs médicaux - recevez un coupon du formulaire établi.

En cas d'accident de la circulation, le conducteur impliqué dans celui-ci doit :

Arrêtez immédiatement le véhicule, activez l'alarme d'urgence et installez un panneau d'arrêt d'urgence ;

Ne déplacez pas les objets liés à l'incident ;

Prendre des mesures pour prodiguer les premiers soins aux victimes ;

Appelez une ambulance ou envoyez les blessés par transport de passage, et si cela n'est pas possible, amenez-les à l'établissement médical le plus proche dans votre véhicule ;

Signalez l'incident à la police et à votre entreprise;

Notez les noms et adresses des témoins oculaires et attendez l'arrivée de la police de la circulation.

Il est interdit au chauffeur de :

Conduite en état d'ébriété, sous l'influence médicaments qui altèrent la réaction et l'attention, dans un état douloureux ou fatigué ;

Transférer le contrôle du véhicule à des personnes qui ne sont pas inscrites sur la feuille de route et qui ne possèdent pas de permis de conduire pour cette catégorie de véhicule ;

Laissez des objets (cargaison) sur la route qui interfèrent avec le mouvement des autres véhicules.

INSTRUCTION N° 2

Obligations du conducteur avant de partir et pendant les travaux sur la ligne

Avant de quitter la ligne, le chauffeur doit :

Passer un examen médical avant le vol ;

Assurez-vous de l'exhaustivité et de l'état de fonctionnement technique de la voiture ;

Dès réception des documents de voyage, présentez au répartiteur votre attestation de droit de conduire un véhicule.

Lors de la vérification de l'état de fonctionnement technique de la voiture Attention particulière payer pour:

Le fonctionnement du moteur, du système de freinage, de la direction équipement auxiliaire(essuie-glaces, dispositifs d'éclairage, alarmes lumineuses et sonores), dispositifs d'attelage et de support (comme partie d'un train, d'un tracteur), serrures de porte de carrosserie ou de cabine, serrures latérales de plate-forme de chargement, entraînement de commande de porte (pour bus), système de chauffage, compteur de vitesse ;

État des roues, pneus, suspension, vitres, plaques d'immatriculation, apparence auto;

Aucune fuite de carburant, d'huile, d'eau;

La présence d'un panneau d'arrêt d'urgence, d'une trousse de secours complète, d'un extincteur (le bus dispose de 2 extincteurs), de marteaux pour briser la vitre ;

2 cales de roue (pour bus et voitures avec poids maximal plus de 3,5 tonnes).

En cas de détection de dysfonctionnements, en présence desquels, selon le code de la route, la circulation des véhicules est interdite, il est interdit d'entrer dans la ligne jusqu'à leur élimination.

Le conducteur n'a pas le droit de prendre un vol si son repos entre les quarts était inférieur à deux fois la durée de travail du quart précédent, ainsi qu'avec un certificat d'examen médical périodique expiré.

En ligne:

Suivez uniquement l'itinéraire indiqué. Respectez les normes établies pour la capacité du bus et la capacité de charge de la voiture;

Commencez à bouger et déplacez-vous uniquement avec derrière des portes closes véhicule, sauf dans les cas de déplacement avec portes ouvertes(sur les traversées de glace);

Évitez les manœuvres brusques, démarrez en douceur et freinez également en douceur, augmentez et ralentissez progressivement la vitesse de déplacement, ne faites pas de virages serrés ;

Maintenir la vitesse de déplacement en tenant compte de la route, des conditions météorologiques et des panneaux de signalisation ;

En cas de dysfonctionnement de la voiture menaçant la sécurité routière, prenez des mesures pour l'éliminer et, si cela n'est pas possible, appelez l'assistance technique;

Pendant la conduite, ne soyez pas distrait de la conduite, n'engagez pas de conversation avec les passagers, ne quittez pas votre lieu de travail tant que la voiture ne s'est pas complètement arrêtée ;

Lorsque vous êtes obligé de vous arrêter, assurez-vous que la voiture est sûre et n'interfère pas avec les autres véhicules, éteignez le moteur, freinez la voiture avec un frein de stationnement et mettez une vitesse inférieure, et dans des conditions montagneuses, en plus, mettez des chaussures sous les roues (mieux - en forme de coin);

Dans les descentes, ne débranchez pas la transmission du moteur, avant de longues descentes - montées, arrêtez-vous pour vérifier le fonctionnement des freins ;

Si vous êtes aveuglé par la lumière d'un véhicule venant en sens inverse et que vous perdez la visibilité, sans changer de voie, ralentissez immédiatement, allumez les feux de détresse et arrêtez-vous ;

En cas d'accident de la circulation, portez secours aux blessés et signalez l'incident à votre entreprise et à la police dans les meilleurs délais ;

Suivez les instructions de la police, arrêtez la voiture sur demande et présentez les documents de voyage, en respectant les règles d'arrêt ;

Dans l'obscurité et avec une visibilité insuffisante, allumez les feux de route ou de croisement ;

Si un état de somnolence survient lorsque vous travaillez sur un itinéraire la nuit, arrêtez-vous, sortez de la voiture, échauffez-vous et faites des exercices physiques ;

Pendant la conduite, n'utilisez pas l'accélération en roue libre, ne déconnectez pas le moteur de la transmission, sauf à l'approche de l'arrêt prévu à une vitesse ne dépassant pas 40 km par heure;

Passage à l'arrêt transport public et passages pour piétons, le conducteur doit se déplacer à une vitesse qui assure la sécurité de la circulation, ou s'arrêter pour laisser passer les piétons qui sont entrés dans le passage à niveau ;

Immédiatement à l'arrivée à l'installation, chez l'entreprise automobile, notez l'heure réelle d'arrivée avec le répartiteur et informez-le des conditions de circulation sur le parcours, aux zones de chargement et de déchargement, présentez la voiture au mécanicien de service pour vérifier son état technique, l'informant des conditions techniques découvertes lors des travaux sur les défauts de la ligne. Passez un examen médical après le vol.

Il est interdit au chauffeur de :

Dépasser vitesse de pointe défini spécifications techniques de la voiture, ainsi qu'indiqué sur le panneau d'identification "Limite de vitesse" installé sur la voiture ;

Transport de personnes dans un bus remorqué et à l'arrière d'un camion remorqué.

En cas de brouillard, de pluie, de grêle, de tempête de neige, de tempête de poussière, lorsque la visibilité depuis le poste de conduite est inférieure à 50 m, le conducteur des circuits d'autobus interurbains et suburbains décide d'arrêter temporairement la circulation.

INSTRUCTION N°3

Travailler dans des conditions routières difficiles

1. Lorsque vous travaillez sur des routes de montagne :

Avant de quitter la ligne, assurez-vous de vous renseigner auprès du répartiteur sur l'état de la route, la météo et les conditions de circulation sur le parcours;

Sur les tronçons de route signalés par le panneau "Descente raide", où la circulation venant en sens inverse est difficile, en descente, céder le passage aux véhicules qui montent ;

Rappelez-vous l'interdiction:

A) conduite avec l'embrayage ou la vitesse débrayée dans les zones signalées par le panneau "Descente raide" ;

B) remorquage sur un attelage flexible ;

C) tout remorquage dans des conditions glaciales.

2. Lorsque vous traversez des traversées de glace et des traversées de traversier :

Le transport de passagers en autobus sur les traversées de glace est strictement interdit;

Commencez à traverser les traversées de glace sur les ferries uniquement si la feuille de route contient l'autorisation écrite du répartiteur, débarquant les passagers ;

Avant de partir pour un vol sur une route où il y a de telles traversées, faites un briefing spécial.

3. Lorsque vous traversez des passages à niveau :

Dans tous les cas, à l'approche d'un passage à niveau, le conducteur doit s'assurer qu'il n'y a pas de train en approche (locomotive, chariot) en vue, suivre les exigences de la signalisation routière, des feux de circulation, du balisage, la position de la barrière et les consignes des l'officier de service pour le passage à niveau ;

Sur les trajets hors de la ville, avant de se déplacer, il est nécessaire de s'arrêter et de continuer à se déplacer seulement après s'être assuré qu'aucun train ne s'approche du passage à niveau;

En cas d'arrêt forcé à un passage à niveau, débarquez immédiatement les passagers et prenez toutes les mesures pour libérer le passage à niveau. S'il n'est pas possible de retirer la voiture du passage à niveau, il faut alors:

A) si possible, envoyer deux personnes le long des voies dans les deux sens à partir du passage à niveau sur 1000 mètres ou une personne dans le sens de la pire visibilité de la voie, en leur expliquant comment transmettre un signal d'arrêt au conducteur du train qui approche ;

B) rester près de la voiture et donner un signal d'alarme général ;

C) lorsqu'un train apparaît - courez vers lui en donnant un signal d'arrêt, un tel signal est circulation de rond-point mains: pendant la journée avec une tache de matière brillante ou un objet clairement visible, la nuit - avec une torche ou une lanterne.

Il est interdit au chauffeur de :

a) transporter des machines et mécanismes agricoles, routiers, de construction et autres à travers le passage à niveau dans une position de non-transport ;

B) traverser des voies ferrées en un lieu indéterminé ;

C) ouverture non autorisée de la barrière ou contournement de celle-ci ;

D) aller au croisement :

Lorsque la barrière est fermée ou commence à se fermer ;

À un feu de signalisation interdisant ;

Au signal d'interdiction de l'officier de service pour le passage à niveau ;

S'il y a un embouteillage avant le déménagement;

Faire le tour avec sortie sur la voie des véhicules venant en sens inverse se tenant devant le passage à niveau ;

D) s'arrêter au passage à niveau ;

E) débarquer (embarquer) des passagers et stationner à moins de 50 m du passage à niveau;

G) pour dépasser au passage à niveau et à moins de 100 m devant celui-ci.

INSTRUCTION N° 4

Conduire et se garer la nuit

Lors de la conduite de nuit ou dans d'autres conditions de visibilité insuffisante de moins de 300 mètres (brouillard, fortes pluies, blizzard, ainsi que dans les tunnels), les voitures doivent allumer les feux de route ou de croisement, le panneau d'identification du train routier, et les feux latéraux de la remorque.

L'adaptation du conducteur au mouvement dans l'obscurité ne se produit pas immédiatement. À l'heure actuelle, le nombre de violations des règles d'utilisation des appareils d'éclairage augmente une fois et demie par rapport aux autres mois.

Une faible circulation nocturne s'accompagne d'une fausse impression de sécurité : le conducteur pense que la route de nuit est d'excellentes conditions pour rouler vite.

Mais les repères routiers que le conducteur a utilisés pendant la journée sont mal ou pas du tout visibles dans l'obscurité, vous pouvez donc conduire dans un fossé, voler sur le côté de la route ou la voie venant en sens inverse.

Conduire avec une voiture venant en sens inverse est particulièrement dangereux, bien que le danger ne vienne pas d'elle, mais d'une sorte d'obstacle : un cycliste, un piéton, qui peut se trouver sur la route. Les feux de route doivent être commutés en feux de croisement au moins 150 m avant que le véhicule ne se dirige vers vous. Lorsqu'il est aveuglé, le conducteur doit, sans changer de voie, déclencher l'alarme, ralentir ou s'arrêter. Il est très dangereux de fumer en conduisant une voiture. la flamme d'un briquet ou d'une allumette peut vous aveugler. Si vous fumez, aérez la voiture : les substances contenues dans fumée de tabac, réduire l'acuité visuelle.

Au retour d'un long trajet de nuit, faites de courts arrêts qui rompent la monotonie de la circulation dans l'obscurité.

Quelques minutes suffisent pour rétablir le niveau d'attention nécessaire à la sécurité routière.

Lors de l'arrêt et du stationnement sur des sections de route non éclairées dans l'obscurité ou dans des conditions de mauvaise visibilité, les feux de position doivent être allumés sur la voiture, et dans des conditions de visibilité insuffisante, les feux de croisement, les feux antibrouillard avant et arrière peuvent également être allumé. Pour un train routier - illumination du panneau d'identification "Train routier".

En cas d'arrêt forcé du véhicule, le secours signalisation lumineuse et un panneau d'arrêt d'urgence est immédiatement installé à une distance d'au moins 15 m du véhicule (en agglomération) et 30 m hors agglomération.

Le conducteur n'est pas autorisé à laisser la voiture sur la chaussée. Il doit prendre toutes les mesures possibles pour le sortir de la chaussée.

INSTRUCTION N° 5

Caractéristiques du travail du conducteur au printemps-été

Avec le début de la fonte des neiges, beaucoup d'eau de source s'accumule sur les routes. Sous une couche d'eau sur la chaussée, des bosses et des creux peuvent être cachés. Lors de la conduite sur de telles routes, il est nécessaire de conduire avec une extrême prudence afin de ne pas endommager la voiture, d'endommager le châssis et d'éviter les accidents.

Une fois que le conducteur a traversé l'eau, le fonctionnement du frein doit être vérifié immédiatement.

Lors de la conduite dans l'eau, les plaquettes de frein sont mouillées, le coefficient de frottement diminue fortement et les freins ne fonctionnent pas. Appuyez lentement sur la pédale de frein et maintenez-la enfoncée jusqu'à ce que le freinage soit rétabli. Dans ce cas, vous devez vous déplacer à faible vitesse.

Les bords de route en terre d'une grande quantité d'humidité s'imprègnent et deviennent visqueux. Par conséquent, il est nécessaire d'éviter les sorties sur un bord de route mouillé, car. Le véhicule peut s'éloigner du trottoir et se renverser, en particulier à grande vitesse. La vitesse minimale est sélectionnée.

Avec le début des journées chaudes dans les rues et les routes apparaît un grand nombre de piétons, cyclistes et conducteurs de véhicules individuels. Conducteur, soyez particulièrement prudent sur les routes !

Les piétons, les cyclistes et les conducteurs de véhicules individuels ont une très faible connaissance des règles de circulation et des compétences de conduite. Ils peuvent soudainement effectuer une manœuvre inattendue, soyez donc particulièrement prudent lorsque vous voyagez avec cette catégorie de conducteurs.

Le givre du matin recouvre la route fine couche verglas, les pneus n'ont quasiment pas d'adhérence, le coefficient d'adhérence, qui sur une bonne route peut varier entre 0,7 ou 0,9, chute à 0,05 en conditions verglacées. Que faut-il faire pour se déplacer en toute sécurité lorsque la voiture semble flotter sur la route ?

Si vous roulez sur du verglas, notre conseil est le suivant : ne freinez pas fort, c'est non seulement inutile, mais aussi dangereux. Un freinage brusque entraîne un blocage des roues et une augmentation de la distance de freinage, et le plus souvent la perte d'un dérapage contrôlé ; lorsque vous traversez une zone dangereuse, essayez de maintenir une vitesse constante, utilisez la pédale d'accélérateur très prudemment, doucement, doucement. Pas de mouvements inutiles, particulièrement brusques du volant. S'il est nécessaire de s'arrêter, utilisez le frein moteur ou le freinage intermittent, c'est-à-dire "pressé-publié".

En cas de dérapage, les roues avant doivent être braquées dans le sens du dérapage à l'aide du frein moteur.

À l'approche de ponts ou de viaducs, soyez particulièrement prudent. Là, la croûte de glace sur la route apparaît plus tôt que partout ailleurs, disparaît plus tard. Dans ces zones, évitez les mouvements brusques avec le volant, les gaz, les freins. Sur une route glissante, les changements de voie peuvent être gênants, et les dépassements encore plus. Il est donc préférable de rester dans votre voie.

Dans le sens venant en sens inverse et passant sur une route mouillée depuis les roues de la voiture, des éclaboussures sales tombent sur le pare-brise et le rendent difficile à voir. Par conséquent, vous ne pouvez pas accéder à la ligne avec des essuie-glaces inactifs.

L'été c'est le temps des vacances scolaires. Le "pic" des accidents de la route chez les enfants tombe à cette époque. Conducteur, rappelez-vous - vous devez être particulièrement prudent lorsque vous passez devant des écoles, des terrains de jeux, ainsi que sur des sections de rues et de routes où l'apparition soudaine d'enfants est possible.

INSTRUCTION N° 6

Le travail du conducteur dans la période automne-hiver

L'automne est arrivé. Pluie, brouillard, chute des feuilles, légères gelées matinales - tout cela rend la route d'automne dangereuse et difficile pour ceux qui conduisent. Et seul un conducteur qui prend toutes les précautions peut habilement surmonter les sections difficiles de la route.

Sur une chaussée mouillée et une route recouverte de feuilles, les dépassements et les freinages brusques sont dangereux.

Conducteur, rappelez-vous : totalement inacceptable grande vitesse virages, sur routes mouillées et verglacées. Avant de tourner, il est nécessaire de réduire la vitesse au minimum sans appliquer de freinage brusque. Mais si un dérapage se produit, les mesures suivantes doivent être prises sans agitation ni nervosité: sans engager l'embrayage, tournez le volant dans le sens du dérapage, freinez lentement et sortez la voiture de la situation.

Les intersections et les arrêts des transports en commun sont particulièrement dangereux, lorsque la route est enneigée, ils deviennent particulièrement glissants en raison du freinage constant des voitures.

Règles générales pour la conduite sur routes glissantes

1. Ralentissez.

2. Augmentez votre distance et votre espacement latéral par rapport aux autres véhicules.

3. Effectuez toutes les actions en douceur, ne faites aucun mouvement brusque.

Il faut se rappeler qu'en automne-hiver, les heures de clarté sont plus courtes et le conducteur doit utiliser plus de phares. Respectez scrupuleusement le code de la route, mais ne vous aveuglez pas aux carrefours, mettez les phares en feux de croisement.

Lorsque vous conduisez sous la pluie et la neige, vous devez vous rappeler que la visibilité est réduite, car les essuie-glaces ne nettoient qu'une partie de la vitre avant.

La distance de freinage augmente, ce qui signifie que le danger général de mouvement augmente. Lorsque vous conduisez en côte, sélectionnez une vitesse de sorte que vous n'ayez pas à changer de vitesse tant que la côte n'est pas terminée.

En descente, n'appuyez pas sur l'embrayage, conduisez la voiture à grande vitesse en ralentissant doucement.

Ne partez pas avec un véhicule en panne. Freins, direction, pneus et dispositifs d'éclairage en état de marche - la clé d'un travail en toute sécurité sur la ligne.

Conducteur, ne faites pas de signaux sonores et lumineux aigus lorsque des piétons apparaissent sur la chaussée, car pressé de sortir de la chaussée, un piéton peut faire un mouvement brusque, glisser et tomber devant une voiture en mouvement.

Conducteurs! La sécurité de conduite sur une route glissante ne dépend que de vous. L'expérience et la compétence, l'attention et la discipline sont une garantie fiable d'un travail sans problème pendant la saison automne-hiver.

INSTRUCTION N° 7

Procédure d'évacuation d'urgence des passagers
dans les accidents de la circulation
pour les chauffeurs d'autobus effectuant le transport de passagers

En cas d'accident de la circulation menaçant la vie et la santé des passagers, la responsabilité d'assurer leur évacuation d'urgence de l'habitacle incombe au conducteur.

Le chauffeur d'autobus doit :

Arrêtez le bus, freinez-le avec un frein à main, coupez immédiatement le moteur et ouvrez toutes les portes de l'habitacle ;

Gérer l'évacuation des passagers de l'habitacle ;

Donner une commande aux passagers, en fonction du degré de danger menaçant, sur l'ordre d'évacuation du bus, ce qui crée le plus Conditions favorables et prévenir la panique.

Pour les passagers du bus, l'ordre d'évacuation doit comprendre :

Séparation des passagers, à partir du milieu de la cabine, en deux groupes et sens de sortie pour chaque groupe par la porte la plus proche ;

Sortie prioritaire des passagers située dans les zones d'accumulation et dans les couloirs entre les sièges ;

Sortie des passagers blessés, des passagers handicapés et des passagers avec enfants ;

Sortie des autres passagers.

Pour les passagers des bus à une seule sortie, la commande d'évacuation doit prévoir la sortie prioritaire des passagers blessés, des passagers handicapés et des passagers avec enfants, puis la sortie des passagers, en commençant par les sièges arrière du bus.

Dans les cas où, en raison de la nature de l'accident de la circulation (renversement du bus, incendie dans l'habitacle, etc.), il n'est pas possible d'ouvrir les portes, ou si l'évacuation par les portes n'assure pas le sauvetage de tous les passagers, le conducteur de bus:

Donne l'ordre aux passagers d'ouvrir les écoutilles, de retirer les marteaux spéciaux existants des supports de fenêtre, de briser le verre avec eux et d'effectuer l'évacuation de l'habitacle par les écoutilles, les ouvertures des fenêtres, en s'apportant mutuellement toute l'assistance possible ;

Si le bus n'est pas équipé de marteaux spéciaux, il transfère de l'argent aux passagers pour détruire les vitres, ouvertures de fenêtres salon (marteaux, montures, clés, etc.);

Participe personnellement à l'évacuation des passagers du bus;

Organise, à la fin de l'évacuation des passagers, la fourniture des premiers soins aux victimes et l'appel de "l'ambulance" ou leur envoi à l'établissement médical le plus proche et utilise à ces fins tout l'argent sur les lieux et les véhicules qui passent.

INSTRUCTION N° 8

Pour les chauffeurs transportant des enfants dans les bus

Le chauffeur de bus doit se rappeler que lors du transport d'enfants, il se voit confier le plus cher, le plus précieux, et par conséquent, il doit être en parfaite santé, serein, se sentir en confiance et, en plus, remplir les conditions suivantes :

1. Vérifier l'état technique du véhicule, c'est-à-dire se conformer à tous les articles du Code de la route, qui fait référence à l'état technique et à l'équipement des véhicules.

2. N'oubliez pas que la nuit, par temps venteux, pluvieux, avec des chutes de neige, avec l'essuie-glace ne fonctionnant pas, la circulation est interdite.

3. Ramassez et déposez les enfants uniquement dans des endroits sûrs.

4. Toutes les fenêtres doivent être fermées pour éviter que l'enfant ne se penche, ce qui est dangereux lors du dépassement ou de l'évitement des véhicules.

5. Les bus doivent avoir un senior (représentant de l'organisation qui envoie les enfants), qui est obligé de surveiller l'embarquement, le transport et le débarquement des enfants.

Le nom de famille de l'aîné doit obligatoirement figurer sur la feuille de route du chauffeur. Le conducteur doit informer l'aîné des règles de transport des enfants. Ce dernier est tenu de se conformer à toutes les exigences et assume en même temps la responsabilité des conséquences.

6. Selon le code de la route, lors du transport d'un groupe d'enfants, des barres carrées doivent être installées à l'avant et à l'arrière du véhicule. Marques d'identification couleur jaune(taille du côté 250-300 mm selon le type de véhicule) avec une bordure rouge (largeur 1/10 du côté) et avec une image noire du symbole panneau de signalisation 1.21 "Enfants".

7. Le transport de personnes doit être effectué sur des véhicules spécialement conçus à cet effet (bus). Avant de démarrer le bus, le conducteur doit s'assurer que toutes les conditions pour le transport de passagers sont remplies. Le conducteur est obligé de commencer à conduire uniquement avec les portes fermées et de ne les ouvrir qu'à l'arrêt complet.

8. Le nombre d'enfants transportés ne doit pas dépasser le nombre des places dans le bus.

9. La vitesse de déplacement ne doit pas dépasser 40 km/h.

12. Lors du transport d'enfants en convoi, le dépassement est strictement interdit.

13. Sur asphalte humide, avec une visibilité limitée, la vitesse ne doit pas dépasser 20 km/h. L'intervalle de mouvement est choisi par le conducteur lui-même, en fonction de la vitesse de déplacement, conditions climatiques, l'état des transports.

14. Il est interdit au répartiteur en service d'émettre une feuille de route sans avis écrit du médecin sur l'état de santé du conducteur.

15. Le chef du service d'exploitation, et en son absence, le répartiteur principal doivent personnellement instruire le conducteur sur l'itinéraire, sur l'état de la chaussée le long de cet itinéraire, sur les endroits dangereux et les précautions, lorsque longue distance sur les heures et les lieux de repos.

16. Lors du transport d'enfants, le chef d'exploitation, en collaboration avec le chef de colonne, doit déterminer à l'avance les conducteurs parmi les plus expérimentés, ainsi que leur attribuer les bus ayant la durée de vie la plus courte (de préférence la première, la deuxième année).

17. Le responsable du QCD (mécanicien) est personnellement tenu de vérifier ces autobus, leur état technique. Si un dysfonctionnement technique est détecté, déposez une demande de RMM. Le responsable de l'atelier de réparation est personnellement tenu de vérifier l'élimination des dysfonctionnements identifiés et de le remettre au responsable du QCD (mécanicien) contre signature.

18. Lors de la libération des bus sur la ligne pour le transport d'enfants d'une durée de vie supérieure à 2 ans Ingénieur en chef est obligé de vérifier personnellement et de donner l'autorisation pour l'exploitation de ces bus.

19. Le chef du service d'exploitation est tenu de doter ces autobus de tout l'équipement nécessaire.

20. Lorsque le bus circule hors de la ville, le chef d'entreprise désigne la veille le chef de colonne. Le doyen de la colonne reçoit la colonne selon exigences spécifiées et porte l'entière responsabilité.

21. Le départ est autorisé à la fin de l'embarquement dans tous les bus. Le débarquement est autorisé lorsque tous les bus s'arrêtent complètement sur le parking.

INSTRUCTION N° 9

Responsabilités du conducteur d'un véhicule
dans le transport de personnes et les besoins en matériel roulant

Le chauffeur doit :

1. Avant de quitter la ligne :

Vérifiez l'état technique de la voiture, en accordant une attention particulière aux unités de commande et de freinage ;

Vérifiez l'état des côtés, leurs serrures, la fiabilité de la fixation de l'auvent (cabine), la solidité de la fixation des dossiers et des sièges, le fonctionnement de l'alarme de la caisse à la cabine et l'éclairage de la caisse ;

Passez un examen médical avant le voyage, ainsi qu'un briefing sur les règles de transport des personnes et l'état de l'itinéraire.

2. À l'arrivée au véhicule du client, présenter la lettre de voiture.

3. L'embarquement et le débarquement des personnes doivent être effectués dans des endroits spécialement aménagés ou au bord du trottoir (bord de la route) uniquement après l'arrêt de la voiture.

4. Le débarquement des personnes ne doit être effectué qu'en présence de la personne responsable du transport (dont le nom est indiqué sur la feuille de route), surveiller le placement des passagers dans le corps (cabine), leur interdire de se tenir debout dans le corps et de s'asseoir sur les côtés lors du transport par camion.

5. Ne pas autoriser le passage de personnes dans le corps (salon) en quantité supérieure à norme établie, ainsi que les personnes qui ne sont pas liées au travail effectué et les passagers en état d'ébriété.

6. Exiger des personnes dans la voiture qu'elles respectent inconditionnellement les règles de sécurité et la sécurité routière.

7. Avant de commencer le mouvement, assurez-vous que toutes les conditions sont réunies pour le transport en toute sécurité des passagers. Il est interdit au conducteur de commencer à se déplacer lorsque des personnes se trouvent sur les marches, les ailes et sont assises sur les côtés de la voiture.

8. Déplacez la voiture de sa place et arrêtez-vous en douceur, sans à-coups, traversez les bosses, les nids-de-poule à vitesse réduite. Il est interdit de couper le moteur et de passer en "roue libre" lors de la conduite en descente et dans le verglas sur une route glissante.

9. Lorsque vous conduisez un camion, soyez particulièrement prudent, assurez-vous de son déplacement, quel que soit le nombre de passagers, à une vitesse ne dépassant pas 60 km / h.

10. Soyez extrêmement attentif et prudent dans le domaine des panneaux d'avertissement.

11. Lorsque la voiture est forcée de s'arrêter, prenez des mesures pour empêcher son mouvement spontané.

12. Le transport de personnes à l'arrière d'un camion doit être effectué par des chauffeurs de catégorie "C" (lorsqu'ils transportent plus de 8 personnes, y compris des passagers dans la cabine, ayant des catégories "C" et "D") et l'expérience de conduite de véhicules de cette catégorie depuis plus de 3 ans.

besoins en matériel roulant

1. Les passagers sont transportés, en règle générale, par des bus. Le transport de passagers sur des camions spécialement équipés est autorisé.

2. Le transport de passagers est autorisé sur des véhicules avec un fonctionnement fiable des composants, des assemblages et des équipements qui garantissent la sécurité routière dans toutes les conditions. Utilisation pour le transport de personnes camions avec un expiré terme normatif l'exploitation (par années et kilométrage) est interdite.

3. Tous les véhicules destinés au transport de personnes doivent être munis d'une trousse de premiers soins, d'un panneau d'arrêt d'urgence et d'un équipement d'extinction d'incendie conformément au code de la route.

4. État technique véhicules doivent garantir la sécurité du véhicule.

Il est interdit d'installer des pneus :

Avec des dommages traversants ou une rupture des fils du cordon ;

Ne correspondant pas au modèle de véhicule en termes de taille et de charge autorisée ;

Avoir une hauteur de bande de roulement résiduelle inférieure à : voitures particulières - 1,6 mm, camions - 1 mm, bus - 2 mm ;

Il n'y a pas de fixation de boulon (écrou) ou il y a des fissures dans le disque de roue ;

Goujons sur un essieu différents types ou avec des motifs de bande de roulement différents.

5. Le dispositif de chauffage de la cabine doit fonctionner sans interruption.

Application pour chauffer la cabine d'un camion, l'intérieur d'un bus et voiture de voyageurs, les cabines de transport de passagers (pour camion) les gaz d'échappement sont interdits. Concentration produits dangereux aux emplacements des passagers ne doit pas dépasser norme sanitaire(monoxyde de carbone - 20 mg mètres cubes, acroléine - 0,7 mg mètres cubes).

6. Les autobus et les voitures doivent répondre aux exigences suivantes :

A) les portes de la carrosserie doivent être équipées de dispositifs de verrouillage utilisables qui excluent la possibilité de leur ouverture spontanée pendant la conduite, ainsi que de dispositifs d'ouverture et de fermeture forcées par le conducteur ;

B) des réflecteurs supplémentaires (miroirs) doivent être équipés pour permettre au conducteur d'observer l'embarquement des passagers et l'ordre dans la cabine ;

C) le capot moteur (pour les autobus de type wagon) doit être solidement scellé;

d) le tuyau du silencieux doit dépasser de 3,5 cm les dimensions hors tout de la caisse ;

D) Les voitures doivent être équipées de ceintures de sécurité.

7. La capacité totale des bus (nombre de sièges) est de :

RAF-977DM, UAZ-452A, "Kubanets" - 10 personnes.

RAF-2203 - 11 personnes

Voiture de rotation "Spetsselstroymontazh" - 17 personnes.

"Kuban" - 20 personnes.

KAVZ-685 - 21 personnes

PAZ-627 - 23 personnes

PAZ-3201 - 26 personnes

LAZ-3202, OBIAZ-677 - 28 personnes

LAZ-699N - 41 personnes

8. Le nombre de passagers transportés dans les camions ne doit pas dépasser le nombre de sièges équipés pour s'asseoir.

9. Un camion doit être équipé d'un auvent (cabine amovible), d'une échelle pour l'embarquement et le débarquement des passagers, d'un éclairage de caisse, d'un système d'alarme de la caisse à la cabine.

10. Lors du transport de personnes, un camion avec une plate-forme embarquée doit être équipé de sièges fixés à une hauteur de 0,3 à 0,5 m du sol et à au moins 0,3 m du bord supérieur du côté, et lors du transport d'enfants, en plus, les côtés doivent avoir une hauteur d'au moins 0,8 m par rapport au niveau du sol. Sur le mur de la cabine faisant face à la carrosserie, il devrait y avoir des inscriptions: "Ne vous tenez pas à l'arrière!", "Ne vous asseyez pas sur les côtés!".

Le passage dans la caisse d'un camion non équipé pour le transport de personnes n'est autorisé qu'aux personnes accompagnant la cargaison ou suivant sa réception, à condition qu'elles disposent d'une place commode située sous le niveau des côtés.

Dans le même temps, des mesures doivent être prises pour empêcher les personnes de tomber du corps. Les matériaux transportés sont placés sur toute la surface du corps, et matériaux de la pièce sont pliés et fixés de manière à exclure la possibilité de leur déplacement arbitraire lorsque la voiture est en mouvement.

11. Lors du transport de groupes d'enfants en bus ou en camion, des panneaux d'identification "Transport d'enfants" doivent être installés à l'avant et à l'arrière, et pendant la journée, en plus, les feux de croisement doivent être allumés.

12. Lors du transport de groupes d'enfants sur un camion à carrosserie fourgon, il est nécessaire qu'au moins 2 adultes accompagnant ces enfants soient à l'arrière de celui-ci.

À l'extérieur de la cabine d'un camion à benne basculante, d'un camion-citerne, d'un tracteur et d'autres véhicules spécialisés, machines et mécanismes automoteurs dont la conception ne convient pas au transport de personnes, ainsi que dans la carrosserie d'une moto cargo ;

Sur une remorque cargo (semi-remorque);

Au-delà du montant prévu par les caractéristiques techniques du véhicule, à l'exclusion des enfants de moins de 12 ans.

INSTRUCTION N° 10

Sur la sécurité routière et la sécurité
pour les chauffeurs en déplacement professionnel
et vols long-courriers (plus d'un quart de travail)

1. Lorsqu'il travaille sur la ligne et sur le parcours, le conducteur doit :

Suivez les règles de la route, incl. maintenir la vitesse en tenant compte des conditions routières et de l'intensité du trafic ;

Surveiller les lectures des instruments, le fonctionnement de tous les mécanismes de la voiture ;

En cas de dysfonctionnement de la voiture menaçant la sécurité routière, prenez des mesures pour éliminer les dommages et, si cela n'est pas possible, rendez-vous à la base de réparation la plus proche ou retournez au garage avec précautions;

Lorsque vous arrêtez la voiture, prenez des mesures pour éviter les collisions avec les véhicules qui passent, choisissez la zone la plus sûre pour vous arrêter et vous garer ou quittez la chaussée, allumez et essuyez les feux de signalisation, placez un panneau d'arrêt d'urgence. En quittant la cabine, assurez-vous qu'il n'y a pas de véhicules venant en sens inverse ;

Sur les routes de campagne, après chaque heure de déplacement, faites un court arrêt, sortez de la cabine pour vous réchauffer et inspectez visuellement les principaux composants de la voiture ;

Soyez particulièrement prudent lorsque vous conduisez dans des conditions de verglas, de brouillard, de visibilité limitée, dans les virages, en montée et en descente, sur voie ferrée. passages à niveau, ponts et passages à niveau, lors de la conduite de nuit et sur un itinéraire inconnu, et en cas de changements météorologiques soudains du temps (forte tempête de neige, ouragan) capturés en cours de route, conduisez jusqu'à la colonie la plus proche et restez-y jusqu'à la sécurité sur l'autoroute est entièrement dégagée.

2. Il est interdit au chauffeur de :

Conduire une voiture sous l'influence de l'alcool ou de la drogue, malade ou fatigué ;

Transférer la conduite à des personnes qui n'ont pas de permis de conduire ou qui sont en état d'intoxication alcoolique et médicamenteuse ;

Chauffage du moteur, de la boîte de vitesses, de l'essieu arrière et d'autres composants du véhicule à feu ouvert ;

Utiliser la voiture à des fins personnelles ;

Transport de passagers sur camions, s'ils ne sont pas enregistrés dans la feuille de route ;

Autoriser les personnes qui n'ont pas le droit de réparer la voiture, effectuer des réparations sur les sites de chargement et de déchargement, dans le domaine des mécanismes;

Reposez-vous ou dormez dans la cabine et la carrosserie des voitures avec le moteur en marche.

3. Lorsque vous conduisez la nuit avec un seul phare, la lumière doit être du côté gauche.

4. Si, lors de certains travaux, le conducteur se trouve conditions dangereuses, il est tenu d'arrêter le travail, d'informer son administration ou celle à sa disposition, d'inscrire une annotation sur la lettre de voiture et de ne reprendre le travail qu'après élimination du danger.

5. Des précautions particulières doivent être observées lors des travaux sur les trains routiers lors de leur chargement et déchargement, lors de l'attelage et du dételage, en veillant à la fiabilité des dispositifs d'attelage, en fixant les câbles de sécurité, en respectant la vitesse de circulation et en prenant des précautions lors du franchissement des virages.

6. Lors de la réparation de la voiture sur la ligne, le conducteur est tenu de respecter les règles de sécurité et la sécurité incendie ensemble pour la réparation et l'entretien de la voiture dans le garage.

Si le volume des réparations dépasse la ligne autorisée et que le conducteur n'a pas accessoires nécessaires et outils, les réparations sont interdites.

7. Lorsque vous travaillez sur le bord de la route, travaillez uniquement à droite dans le sens de la marche.

8. Lors de la restitution de la voiture, le conducteur doit s'assurer qu'il n'y a pas de véhicules, de personnes ou d'objets. En cas de mauvaise visibilité, marche arrière avec un signaleur.

9. Le passage des voitures à gué et sur la glace n'est autorisé qu'aux endroits marqués de panneaux et de panneaux spéciaux.

10. Lors du gonflage des pneus sur la ligne, assurez-vous d'utiliser une fourche ou une roue de sécurité, qui doit être placée avec l'anneau de verrouillage vers le sol.

11. N'essuyez pas ou ne lavez pas le moteur avec de l'essence ou n'aspirez pas d'essence éthylique dans votre bouche.

12. Lors du démarrage du moteur avec la poignée, vérifiez la position neutre du levier de vitesses, ne saisissez pas la poignée.

13. Ouvrez soigneusement le bouchon du radiateur d'un moteur en marche, en protégeant votre visage et vos mains des brûlures de vapeur.

14. Par temps de pluie, lors de chutes de neige, soyez prudent lorsque vous entrez et sortez de la cabine, enlevez rapidement la saleté, la neige et la glace des marches de la cabine.

15. Lors du chargement d'une voiture, le conducteur est tenu de surveiller le placement correct de la cargaison dans la carrosserie, le respect des dimensions autorisées, son rangement, sa fixation et sa liaison, garantissant la fiabilité et la sécurité du transport.

INSTRUCTION N° 11

Apporter les premiers soins aux blessés
dans un accident de la circulation

Lors d'un accident de la route, différents types de blessures peuvent survenir.

Première soins de santé, fournies correctement et en temps opportun sur les lieux, peuvent être de la plus haute importance pour le sort de la victime. Ceci est d'autant plus important que de nombreux accidents de la route se produisent sur des routes très éloignées des zones peuplées et des installations médicales.

Pour la bonne fourniture de l'auto-assistance et de l'assistance mutuelle, il est nécessaire une formation et compétences, ainsi que la disponibilité d'un ensemble de pansements et de médicaments.

I. Soins des plaies

Avec tout dommage à la peau et aux tissus profonds, il est nécessaire de traiter les bords de la plaie et d'appliquer un pansement.

1. Ne lavez pas la plaie, ne retirez pas les corps étrangers de la plaie. Essuyez la peau le long des bords de la plaie avec un matériau stérile, en faisant des mouvements de la surface blessée à la peau intacte.

2. Lubrifiez la peau autour de la plaie avec de l'iode avec les mêmes mouvements, ne remplissez pas la plaie d'iode.

3. Fermez la plaie avec du matériel stérile, sans toucher la partie du matériel adjacente à la plaie avec vos mains. Mettre un pensement.

II. Arrêter le saignement d'une blessure

A. Artériel (sang d'une couleur écarlate brillante) éclabousse avec un flux pulsé.

1. Prenez des mesures pour arrêter le saignement avec un bandage compressif. Pour ce faire, un matériau stérile est placé sur la plaie, un bandage bien enroulé ou un morceau de caoutchouc mousse, ou de caoutchouc éponge est placé sur ce matériau, un bandage serré est effectué.

2. Si un bandage serré n'aide pas, un garrot en caoutchouc est appliqué au-dessus du site de l'endommagement du vaisseau. En l'absence de garrot, une torsion est appliquée à partir d'une ceinture, d'un foulard, etc., qui est serré et fixé avec un bâton.

Il est préférable d'appliquer le garrot sur des vêtements ou un coussinet souple sans plis. Le garrot ne peut pas être conservé plus de 1,5 à 2 heures.

3. En cas de saignement très grave, vous devez immédiatement appuyer sur le vaisseau au-dessus du site de saignement avec vos doigts jusqu'à l'os. Cela vous donnera le temps de vous orienter et de choisir un moyen d'arrêter le saignement. Le vaisseau doit être pressé contre l'os avec le pouce ou quatre autres doigts afin qu'ils reposent le long de l'artère.

4. Lorsque le vaisseau saignant est situé dans un endroit où il est impossible d'appliquer un garrot (région axillaire, région inguinale), le saignement peut être arrêté en pliant brusquement le membre dans les articulations les plus proches et en serrant ainsi le vaisseau. Le membre doit être fixé dans cette position avec un bandage fait d'un foulard ou d'un autre matériau durable.

B. Veineux et capillaire (flux de sang rouge foncé ou suintement de sang rouge).

Un pansement stérile, modérément pressant, est appliqué.

Signes : gonflement, ecchymose et douleur, une certaine limitation des mouvements est possible. Aide - paix, froid.

IV. élongation

Signes : gonflement, ecchymose et douleur intense dans la zone articulaire, limitation des mouvements actifs dans l'articulation.

Aide : calme, froid. Un bandage de fixation souple est appliqué sur les articulations de la cheville, du genou et du coude (en forme de 8).

Avec une luxation, les surfaces articulaires sont déplacées, souvent avec une rupture du sac articulaire. Signes : modification de la forme de l'articulation (longueur des membres), douleurs aiguës, surtout en essayant de bouger. actif, mouvements passifs dans l'articulation sont pratiquement impossibles. Aide: créer une immobilité complète dans les articulations, comme dans une fracture (voir ci-dessous). N'essayez pas de corriger la luxation !

VI. fracture

Une fracture se produit lorsque l'intégrité de l'os est brisée. Des fragments d'os peuvent rester en place (fractures non déplacées) ou être déplacés. Fractures sans dommage pour la peau - fermées. Lorsque la peau est endommagée sous le site de fracture - fractures ouvertes. Les principaux signes d'une fracture: douleur aiguë, gonflement, ecchymose. Violation du mouvement dans le membre avec fractures avec déplacement - déformation des membres. Il peut y avoir un craquement au site de la fracture, une mobilité anormale, mais ces signes ne doivent pas être spécifiquement identifiés. Un certain nombre de signes d'une fracture ressemblent à ceux d'une ecchymose et d'une entorse. Au moindre soupçon de fracture, la prudence doit être la même que pour une fracture évidente.

1. Aide avec un membre cassé. Ne réglez pas la fracture ! Avec une fracture ouverte, ne touchez pas les fragments d'os. Appliquer un pansement stérile (voir rubrique « Plaies »). L'essentiel est d'assurer l'immobilité complète des os endommagés. Pour ce faire, un pneu de transport spécial, une planche, un ski, un bâton, une plaque métallique, etc. est attaché au membre blessé avec un bandage, une écharpe ou tout autre moyen improvisé. Pneu ou outil pratique doit être appliqué de manière à capturer les articulations au-dessus et au-dessous du site de fracture. Un membre cassé peut être fixé à un membre (jambe) ou à un torse (bras) sain.

2. Aide aux fractures de la clavicule, de l'omoplate. Accrochez votre main à un foulard, il en va de même après avoir réparé une fracture de la main, de l'avant-bras.

3. Aide aux fractures du bassin et de la colonne vertébrale. Les principaux symptômes : douleurs dans le bassin, la colonne vertébrale, mouvements souvent limités dans les membres. Danger si aucune aide n'est apportée : dommage les organes internes, choc, lésion médullaire.

Aide de base : allonger la victime en position horizontale sur le dos, sur une surface dure et lisse. Pour les douleurs dans la colonne cervicale - fixez la tête et le cou en les enveloppant sur les côtés avec des objets mous. Lorsque vous déplacez la victime, fixez la tête et le cou.

VII. fracture de la mâchoire

Signes : douleur intense, gonflement, possibilité de saignement de la bouche ou du nez. Aide : un bandage en forme de fronde qui passe sur le menton et appuie la mâchoire inférieure vers la partie supérieure. En cas de perte de conscience de la victime - position sur le côté.

VIII. Lésion cérébrale traumatique

Il comprend une commotion cérébrale et une contusion du cerveau, une fracture des os du crâne.

1. Signes de commotion cérébrale : perte de conscience à court terme, maux de tête, étourdissements, nausées, faiblesse générale. Premiers secours : position couchée, transport en position couchée. Avec une lésion cérébrale, une perte de conscience prolongée, des vomissements et un état de perte de conscience avec pénétration de vomi dans les voies respiratoires, une rétraction de la langue, qui rend la respiration difficile, est possible. Aide à empêcher le vomi de pénétrer dans les voies respiratoires, ainsi que le sang et à réduire la rétraction de la langue (en l'absence de fracture du bassin): le patient doit être allongé sur le côté, en mettant quelque chose sous sa tête pour que la tête ne ne pas pendre, mais n'est pas soulevé (voir ci-dessous la section "Respiration altérée").

2. Une fracture du crâne peut ne pas différer dans ses signes d'une commotion cérébrale et d'une ecchymose cérébrale, mais dans certains cas, elle se manifeste par la présence d'une plaie dans la zone de la fracture, une légère ou écoulement abondant de sang ou d'un liquide clair du nez, de la bouche ou de l'oreille. L'aide est la même que pour une lésion cérébrale : appliquez un pansement stérile sur la plaie.

IX. Conditions qui mettent directement la vie en danger

1. Choc. Se produit avec des blessures graves, accompagnées d'une irritation douloureuse intense. Avertissement : exclusion des stimuli douloureux répétés dus au déplacement, aux mouvements des membres cassés, etc., forte fixation de la fracture. Aide: créez la paix, donnez à la victime de l'analgin ou du pyramidon, par temps froid - réchauffez la victime.

2. Violation de la respiration. Elle peut être due à une rétraction de la langue, à une obstruction des voies respiratoires par des corps étrangers : vomi, sang, mucus, eau, et également à un arrêt respiratoire. Signes d'arrêt respiratoire : pas de mouvements respiratoires visibles, la victime peut devenir bleue ou pâle.

Aide au blocage des voies respiratoires: gaze ou chiffon propre enroulé autour d'un doigt ou d'un instrument, nettoyer la bouche et les parties profondes du pharynx des corps étrangers, tourner la tête ou toute la victime sur le côté. Lorsque la langue s'enfonce, vous pouvez insérer un tube en caoutchouc dense d'un diamètre de 1 à 1,5 cm et un conduit d'air spécial le long du doigt derrière la racine de la langue de 1 à 2 cm.

Attention : - lors du nettoyage de la bouche et de l'insertion du tube avec un doigt, contrôler la position de la langue afin de ne pas la pousser en profondeur ;

Lors du nettoyage de la bouche et de la gorge, veillez à ne pas laisser de chiffon ou de gaze dans la gorge.

Aide à l'arrêt de la respiration. La respiration artificielle est effectuée "bouche à bouche" ou par le tube ci-dessus. Lors de la respiration artificielle, le nez de la victime doit être pincé. La respiration artificielle chez les enfants est effectuée immédiatement par le nez et la bouche. Pour des raisons d'hygiène, vous pouvez mettre une serviette en gaze sur la bouche de la victime.

Technique de respiration artificielle "bouche à bouche" ou à travers un tube respiratoire. L'interprète de la respiration artificielle, après une respiration suffisamment profonde, appuie sa bouche sur la bouche de la victime ou prend un tube respiratoire dans sa bouche et expire vigoureusement. Dans ce cas, il faut s'assurer que l'air ne sort pas de la bouche de la victime. La sortie se produit indépendamment, la fréquence de la respiration artificielle est de 14 à 18 fois par minute.

3. Arrêt cardiaque. Signes : perte de pouls, pâleur la peau en arrêtant de respirer. Aide - massage cardiaque indirect. La victime est couchée sur le dos surface dure, plus pratique - en plus table à manger. La personne qui assiste se place à gauche, pose paume gauche sur l'extrémité inférieure du sternum et avec force serre la poitrine strictement verticalement, en appuyant en outre sur main gaucheà droite. Ces compressions sont effectuées 60 fois par minute, la poitrine est comprimée de 3 à 4 cm et une respiration artificielle est pratiquée en même temps. Si l'assistance est fournie par une seule personne, toutes les 4 à 5 compressions, 1 respiration est prise.

Avec l'efficacité de cet événement, un pouls apparaît, la pâleur diminue, les pupilles se rétrécissent et, enfin, l'activité indépendante du cœur est restaurée.

Cet événement est particulièrement important en cas de blessure électrique, dans les cas où la victime était en train de se noyer.

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"Recueil d'orientations pour garantir
sécurité routière et licences
véhicules quelle que soit la forme
biens et biens,
1997

Procédure générale de circulation des véhicules

Lorsque les véhicules sont en mouvement, les conducteurs émettent des signaux d'avertissement avec des indicateurs lumineux sur le véhicule ou des signaux sonores. Les conducteurs donnent des clignotants et d'autres signaux, qu'il y ait ou non d'autres véhicules à proximité. L'opportunité du signal est qu'il a été déposé avant le début de la manœuvre.

Dans les tunnels avec éclairage artificiel, allumez les feux de stationnement ou les feux de croisement, lors du remorquage, allumez les feux de croisement et les feux de position du véhicule tracteur s'allument. Lorsque vous vous arrêtez dans des conditions de visibilité insuffisante ou lorsque vous êtes obligé de vous arrêter dans des endroits où l'arrêt est interdit, ainsi qu'en cas d'accident de la circulation, activez l'alarme sur la voiture.

Les véhicules sur la chaussée doivent être placés dans un certain ordre. Ainsi, sur les routes à double sens à quatre voies ou plus, il n'est pas permis de conduire du côté de la route destiné à la circulation venant en sens inverse. En dehors des agglomérations, les conducteurs doivent conduire leurs véhicules le plus près possible du bord droit de la chaussée.

Les véhicules dont la vitesse ne doit pas dépasser 40 km/h ou qui, pour des raisons techniques, ne peuvent pas atteindre une telle vitesse doivent circuler uniquement dans la voie la plus à droite. La circulation sur les voies de tramway en sens inverse n'est pas autorisée. le long des trottoirs et les sentiers seuls les véhicules routiers ou les véhicules desservant des commerces ou autres situés directement à côté de ces trottoirs ou chemins sont autorisés.

Avant de démarrer, le conducteur doit s'assurer que les portes de la cabine ou de la caisse sont bien fermées, que les charges sont bien fixées et que les personnes sont arrimées en toute sécurité. Au démarrage, le conducteur, sans interférer avec le mouvement des autres véhicules, allume les indicateurs de direction appropriés. Le conducteur est encore plus prudent lors du démarrage de la voiture à partir d'un endroit en marche arrière, si nécessaire, en utilisant l'aide d'une autre personne.

La vitesse de déplacement est d'une importance primordiale pour la sécurité routière. Le conducteur doit conduire le véhicule à une vitesse qui assure un déplacement sûr dans presque toutes les situations de circulation. Si la vitesse d'une voiture est trop faible, la circulation des autres véhicules devient difficile. Dans le même temps, une voiture qui se déplace rapidement représente un grand danger pour les véhicules et les piétons, car elle a une masse importante et peut causer de gros dégâts en cas de collision. Par conséquent, dans les colonies, la limite de vitesse de -60 km / h est fixée. Lors du choix de la vitesse de déplacement, le conducteur doit tenir compte de l'intensité du mouvement des véhicules et des piétons, de la largeur et de l'état de la chaussée, de la visibilité dans le sens de la marche, des conditions atmosphériques, du terrain, des caractéristiques et de l'état du véhicule et la cargaison transportée. En dehors des agglomérations, il est permis de conduire des voitures et des camions d'un poids brut allant jusqu'à 3,5 tonnes, ainsi que des interurbains, des bus touristiques et des motos à une vitesse allant jusqu'à 90 km / h, et d'autres bus, voitures lors du remorquage d'une remorque , les camions d'un poids brut supérieur à 3, 5 tonnes sont autorisés à se déplacer à une vitesse ne dépassant pas 70 km / h. Sur les autoroutes, la circulation de ces véhicules est autorisée à des vitesses allant jusqu'à 110 et 90 km/h, respectivement. Les conducteurs ayant une expérience de conduite allant jusqu'à deux ans sont dans tous les cas autorisés à conduire à une vitesse ne dépassant pas 70 km / h.

Les véhicules quittent vitesse différente, par conséquent, il devient souvent nécessaire de manœuvrer - devant un ou plusieurs véhicules en mouvement, associés à la sortie de la rangée occupée, appelée dépassement. Le dépassement est autorisé à condition qu'il n'y ait pas d'obstacle aux véhicules venant en sens inverse. Le dépassement n'est pas autorisé aux intersections, aux passages à niveau, dans les virages serrés et les pentes, et dans les zones à visibilité limitée. En cas de conduite venant en sens inverse sur des pentes en présence d'un obstacle, le conducteur d'un véhicule roulant en descente cède le passage. Sur une section horizontale de la route, si le dépassement en sens inverse est difficile, alors le conducteur du côté duquel il y a un obstacle cède le passage.

Il est permis de dépasser des véhicules uniquement par bonne visibilité et de manière libre, sans gêner les autres véhicules en toute confiance dans la mise en œuvre de la manœuvre en cours. Il est interdit de gêner le dépassement ou d'augmenter la vitesse lors d'un dépassement. Il convient de garder à l'esprit que le dépassement dans la voie venant en sens inverse est toujours associé à un risque accru de collision avec les véhicules venant en sens inverse. La distance de dépassement ou distance de dépassement dépend de la vitesse du véhicule dépassé et du véhicule qui dépasse. Le temps de dépassement est calculé en secondes. En tableau. 32 montre les valeurs approximatives du temps et de la distance de dépassement, en fonction de la vitesse du dépassement et des voitures dépassées.

Souvent, le véhicule qui dépasse se trouve dans la voie venant en sens inverse ou dans la zone dangereuse. Dans ce cas, pour un dépassement en toute sécurité, il est nécessaire que le temps passé dessus soit inférieur au temps d'approche des voitures dépassant et venant en sens inverse (tableau 33).

L'arrêt d'un véhicule en mouvement doit être prévu, si nécessaire, à presque n'importe quel intervalle de temps, et le conducteur doit être prêt à cela. Il doit tenir compte du fait que même avec des freins fonctionnant correctement, le véhicule ne peut pas être arrêté immédiatement ; sous l'influence de l'inertie, il continuera à se déplacer du début du freinage jusqu'à l'arrêt complet sur une certaine distance, appelée distance de freinage.

32. Valeurs de temps (s) et de distance (m) de dépassement d'une voiture
La vitesse de la voiture dépassée, km/h
	30	40	50	60	70	80	90	100
20	14,3 / 119	8,2 / 91	6,1 / 85	4,5 / 87	4,1 / 90	3,8 / 93	3,5 / 98
30		18,3 / 204	10,2 / 141	7,3 / 122	6,1 / 118	5,3 / 117	4,7 / 112	4,2 / 117
40			23,3 / 310	12,0 / 199	8,8 / 170	7,1 / 157	6,1 / 151	5,4 / 150
50				25,9 / 432	14,2 / 275	10,1 / 224	8,1 / 202	6,1 / 184
60					29,9 / 581	16,0 / 343	11,3 / 280	9,0 / 249
70						34,3 / 762	18,2 / 453	12,8 / 343
80							38,3 / 958	20,2 / 560

Noter. Le numérateur indique le temps de dépassement, le dénominateur indique la distance de dépassement.

33. La vitesse de la voiture lors du dépassement et le temps qu'il faut pour s'approcher du matériel roulant venant en sens inverse.
Vitesse du véhicule de dépassement, km/h		Temps d'approche à une distance de 1300 m, s	Vitesse d'approche des véhicules venant en sens inverse, km/h	Temps d'approche à une distance de 1600 m, s
	à une vitesse de voiture venant en sens inverse de 100 km/h		à une vitesse de camion venant en sens inverse de 70 km/h
40	140	33,4	110	52,4
50	150	31,1	120	48,0
60	160	29,2	130	44,3
70	170	27,5	140	41,2
80	180	26,0	150	38,5
90	190	24,1	160	36,0 " :
100	200	23,3	170	33,9

La distance d'arrêt est supérieure à la distance de freinage et est égale à la distance totale que le véhicule parcourra à partir du moment où le conducteur aperçoit l'obstacle jusqu'à l'arrêt complet de la voiture. La distance d'arrêt dépend de la vitesse du véhicule, du poids de la cargaison transportée, de l'état de la chaussée, du type de frein. Sur la fig. 51 Lignes solides indique la distance d'arrêt d'un véhicule chargé d'une capacité de charge de 4,5 tonnes avec freins hydrauliques, et les lignes en pointillés indiquent la distance d'arrêt du même véhicule avec freins pneumatiques.

Riz. 51. Dépendance de la longueur de la distance d'arrêt d'une voiture chargée d'une capacité de charge de 4,5 tonnes à la vitesse et à l'état de la chaussée :

1 - revêtement en béton bitumineux sec ; 2 - revêtement d'asphalte humide ; 3 - chaussée en béton bitumineux avec de la glace sur sa surface