Prévention de la grippe et du rhume. Prévention du rhume avec des remèdes populaires. Prévention du rhume et des maladies infectieuses

Introduction.
La science médicale ne connaît pas le concept de "froid". Dans l'esprit populaire, un «rhume» désigne une variété de phénomènes: des conséquences de l'hypothermie banale, du SRAS, de la grippe aux manifestations de l'herpès simplex sur le visage. Dans cet article, nous ne parlerons pas de "rhume aux lèvres", mais de la prévention du SRAS/grippe.
Pourquoi le SRAS est-il appelé un rhume ? Apparemment, de la manifestation d'ARVI avec des frissons (gelées) et de la connexion d'ARVI avec le froid et la saison froide. Avec la saison froide, tout est clair : les gens se cachent dans des pièces fermées et chauffées, ce qui entraîne un processus épidémiologique. Avec le froid lui-même, tout est plus difficile. Le SRAS est causé par des virus, la grippe est le SRAS causé par le virus de la grippe, le froid ne cause pas ces maladies. De nombreuses études ont été menées sur l'effet du froid sur la susceptibilité aux virus respiratoires et sur le développement des symptômes du SRAS. Les résultats des études sont contradictoires - il n'y a pas de consensus à ce sujet.
Dans une étude, les pieds des volontaires ont été plongés dans de l'eau froide. Il s'est avéré que le refroidissement des pieds provoque l'apparition de symptômes d'infections respiratoires aiguës chez environ 10 % des personnes soumises au refroidissement. Par conséquent, il existe des preuves du développement possible de symptômes d'ARVI à la suite d'une exposition au froid. Les mécanismes de cette influence sont l'influence sur le système immunitaire, le tonus des vaisseaux du nasopharynx, la réactivation d'une infection latente (latente).

Les personnes atteintes d'affections susceptibles d'affecter la sensibilité au rhume ou la gravité ou la durée des symptômes du rhume ont été exclues de l'étude. Les personnes ayant reçu des médicaments connus pour affecter la rhinorrhée, la toux ou la congestion nasale dans les 7 jours précédant l'entrée dans l'étude ont été exclues. Les femmes enceintes ou allaitantes et les participants qui ont signalé une sensibilité à l'un des ingrédients du produit à l'étude ont également été exclus. Les participants ont reçu une compensation financière.

Actif médicaments et le placebo étaient identiques en termes de apparence, le goût et l'odorat et étaient conditionnés dans des flacons identiques de 100 ml. Les participants ont été randomisés pour recevoir soit de l'échinacée soit un placebo, 5 ml 3 fois par jour pendant 14 jours. Il a été demandé à chaque participant de ne pas se moucher pendant 30 minutes après avoir été infecté par le virus. Avant utilisation, le pool de virus a été testé pour sa sécurité. Pendant leur séjour à l'hôtel, les participants ont poursuivi le traitement avec de l'échinacée ou un placebo, comme indiqué précédemment.

Soit dit en passant, le terme anglais correspondant à notre concept de SARS - common cold peut être littéralement traduit par "banal cold", ou par "ordinary cold". Le terme lui-même indique également un lien avec le froid.

1. Déconnexion de la source de l'agent pathogène. Ce moyen évident de prévention n'est facile à mettre en œuvre que sur île déserte. Il est impossible d'éviter complètement le contact avec divers agents pathogènes ARVI. Étant avec la société, nous sommes constamment en contact avec des personnes porteuses d'ARVI sous des formes symptomatiques et asymptomatiques. Si le premier peut être évité, le second ne peut être reconnu. Le plus grand risque d'infection par contact avec le patient se produit à l'intérieur. Le risque d'infection dans la rue tend vers zéro. Une personne qui tousse dans la rue n'infectera pas, mais dans un tram, elle peut devenir une source d'infection. En même temps, il ne faut pas considérer une personne qui tousse comme un ennemi du peuple et une source de menace mortelle. Premièrement, la toux et le nez qui coule ne reflètent pas toujours une maladie contagieuse. Deuxièmement, il existe de nombreux individus apparemment en bonne santé porteurs d'une infection asymptomatique. Troisièmement, le virus respiratoire n'est pas aussi terrible qu'il est peint. La plupart des personnes en bonne santé ne tombent pas malades après avoir été en contact avec une personne malade, et la plupart des personnes malades n'attribuent pas leur maladie au contact. Bien sûr, cela dépend beaucoup de l'agent pathogène spécifique. Mais en général, statistiquement, cela se passe comme ça.

Des échantillons de culture virale ont été obtenus par lavage nasal pendant le séjour à l'hôtel du sujet pour identifier la présence de rhinovirus. Mesures cliniques de la maladie. Les symptômes reconnus étaient la rhinorrhée, la congestion, les éternuements, la toux, les maux de gorge, les maux de tête, les malaises et les frissons. Par la suite, les symptômes ont été évalués une fois par jour jusqu'à la fin de l'étude.

Méthodes de prévention du rhume

La maladie clinique, c'est-à-dire la présence d'un rhume, a été définie comme un score total de symptômes sur 5 jours de ⩾5 et 1 ou les deux des éléments suivants : 3 jours consécutifs de rhinorrhée ou une réponse positive à la question de savoir s'il avait développé un rhume depuis l'exposition au virus. Les paramètres démographiques ont été testés pour les différences dans les différences de groupe par le test t de Student ou l'analyse χ 2. Les proportions de traitement correspondantes ont également été comparées avec le test exact de Fisher et l'analyse χ 2.

Éloignez-vous des personnes présentant des signes évidents d'infection respiratoire. Ceci est particulièrement important pour les groupes à risque de complications : jeunes enfants, personnes âgées, femmes enceintes, personnes souffrant de graves maladies chroniques mi. Afin de ne pas infecter les autres lorsque des signes d'infection respiratoire apparaissent, vous ne devez pas vous rendre au travail, vous couvrir le nez et la bouche en toussant et en éternuant, en utilisant des mouchoirs jetables avec les yeux, le nez et la bouche ;

L'utilisation de médicaments

L'étude a été conçue comme la première étape d'une conception adaptative en deux étapes basée sur la méthodologie décrite par Bauer et Koehne. Le critère d'évaluation principal, défini a priori, était le développement d'un rhume, défini séparément comme une infection de laboratoire et une maladie clinique. Lorsque ~ 50 sujets ont terminé l'étude et que les paramètres cliniques et virologiques étaient connus pour chaque sujet, une analyse statistique intermédiaire adaptative des données a été effectuée pour déterminer la taille finale de l'échantillon d'étude et redéfinir le paramètre d'efficacité principal.

2. Mesures d'hygiène personnelle. Le lavage des mains vient en premier ici. Un rôle énorme dans la transmission des infections respiratoires est joué par la voie de contact de transmission par les mains. Sur les mains des virus respiratoires peuvent vivre jusqu'à un jour, le virus pénètre dans les mains du patient par contact direct avec le visage ou avec des gouttes de salive / crachats dans l'air. Le simple fait de couvrir votre visage avec un mouchoir lorsque vous éternuez et toussez empêche également la propagation de l'infection.

Sinon, l'étude a dû être interrompue à ce stade. Lorsque l'infection était utilisée comme critère d'évaluation principal, la puissance pour l'étape 2 était estimée à 5 %. Lorsque le critère clinique de la maladie a été utilisé, la puissance pour le stade 2 a été estimée à 94 %. Compte tenu de l'importance primordiale accordée par le promoteur de l'étude au critère d'infection, le promoteur a décidé d'arrêter l'étude au stade.

Un total de 48 volontaires, 24 dans chaque groupe de traitement, ont été recrutés et randomisés pour recevoir le médicament à l'étude. Tous les participants ont terminé l'étude. Deux participants, tous deux du groupe placebo, ont été exclus de l'analyse d'efficacité. Une participante a eu un épisode d'éternuements modérés dans son journal quotidien avant l'inoculation du virus, et 1 participante avait un titre de sérum neutralisant positif à l'inoculation. Il n'y avait pas de différences significatives en termes de sexe ou d'âge moyen entre les groupes échinacée et placebo.

3. image saine vie, mode de travail et de repos, éducation physique, endurcissement. Une alimentation variée et riche en vitamines, la consommation de légumes et de fruits est la clé de la santé et la prévention de nombreuses maladies, dont le rhume. Humide, air fraisà l'intérieur contribuera à la préservation de la fonction protectrice des muqueuses. Il est raisonnable de compléter cet effet pendant la saison froide par une hydratation régulière de la muqueuse nasale avec une solution saline. sel de table. Aération réelle, régulière nettoyage humide locaux. Il est sage de passer plus de temps à l'extérieur.

Le rhinovirus a été isolé chez 88 % et 95 % des volontaires des groupes échinacée et placebo, respectivement. La fréquence de récupération du virus était similaire dans les deux groupes. Dans l'ensemble, la proportion de participants qui ont démontré des preuves d'infection en laboratoire était de 92 % pour les receveurs d'échinacée et de 96 % pour les receveurs de placebo.

Des rhumes se sont développés chez 58 % des receveurs d'échinacée et 82 % des receveurs de placebo. La différence de taux était de 24 %. Le score global des symptômes sur 7 jours était de 34 ± 43 pour les receveurs d'échinacée et de 17 ± 56 pour les receveurs de placebo. Les scores de symptômes individuels n'étaient pas significativement différents entre les groupes de traitement.

4. Porter un masque. L'utilisation d'un masque a un effet protecteur prouvé sur la transmission des infections respiratoires.
Le but principal du masque est de mettre le patient et d'empêcher la libération de l'agent pathogène dans l'environnement. Il a également été constaté que le port d'un masque personnes en bonne santé, en contact étroit avec les patients, donne un certain effet protecteur. Par conséquent, dans le foyer familial de l'infection, vous pouvez porter un masque pour tout le monde. Il est inutile de porter un masque dans la rue !

Six participants ont signalé 8 événements indésirables. Il n'y avait pas Effets secondaires traitement limitant. Les 2 événements indésirables signalés par les sujets traités par l'échinacée étaient l'insomnie et les ulcères aphteux buccaux sévères, qui ont disparu spontanément avec le traitement. Les deux événements ont été jugés inefficaces ou incroyablement liés à l'étude de traitement.

À propos de la nutrition pendant la saison des rhumes

Les résultats de l'étude montrent que l'échinacée n'est pas efficace pour prévenir l'infection par le rhinovirus, tel que déterminé par les critères de laboratoire. Parmi ceux qui ont été infectés et ont reçu de l'échinacée, il y avait une tendance à une réduction du nombre de rhumes cliniques par rapport à ceux qui ont été infectés et ont reçu un placebo. Dans un certain nombre d'études utilisant différents plans d'étude et différentes parties de plantes telles que les racines ou les composants aériens de certains types l'échinacée, seule ou en combinaison avec d'autres herbes, ont rapporté divers effets, bien que généralement non significatif - dans la prévention des rhumes naturels.

5. Vitamines et microéléments. La vitamine C n'est pas recommandée pour la prévention du SRAS dans la population générale. Cependant, des études montrent que les individus exposés au froid et à des activité physique l'apport prophylactique de vitamine C réduit le risque de développer des ARVI de 50 % et raccourcit quelque peu la durée des ARVI, s'ils se développent.
Le rôle de la vitamine D dans la prévention des infections respiratoires a été établi dans une étude de population menée aux États-Unis, où un taux sanguin élevé de vitamine D était associé à une faible incidence du SRAS. Une vaste étude randomisée a été menée sur l'effet de la vitamine D sur la prévention du SRAS. Le groupe expérimental pendant 18 mois (deux saisons d'hiver) a reçu mensuellement injection intramusculaire de vitamine D, le taux moyen de vitamine D dans le sang était de 48 ng/ml dans le groupe expérimental contre 25 ng/ml dans le groupe témoin, ce qui n'a eu aucun effet sur l'incidence des infections respiratoires.
La vitamine E (200 UI/jour) a été étudiée comme moyen de prévention du SRAS dans un essai contrôlé randomisé. Une analyse rétrospective de l'étude a montré une réduction statistiquement significative mais très modeste en valeur absolue du risque d'infections virales respiratoires aiguës dans le groupe expérimental, ce qui ne justifie pas utilisation pratique vitamine E comme moyen de prévention du SRAS. Il convient également de garder à l'esprit que des doses de vitamines supérieures à 400 UI / jour peuvent augmenter la mortalité globale et le risque de développer un cancer de la prostate chez les hommes.
Les suppléments de multivitamines et de minéraux n'affectent pas l'incidence et la gravité du SRAS dans la population générale, cependant, chez les patients âgés hospitalisés et chez les patients chroniques souffrant de polyhypovitaminose, ces suppléments réduisent le risque de SRAS.
Zinc. Des études cliniques montrent une certaine efficacité des préparations de zinc dans les ARVI lorsqu'elles sont administrées dans les premières 24 heures suivant le début de la maladie, cependant, l'efficacité préventive des préparations de zinc n'a pas été prouvée de manière convaincante.
Une revue systématique de deux essais randomisés a montré que les enfants qui prenaient du sulfate de zinc pendant cinq mois étaient moins susceptibles d'avoir le SRAS. Il n'est pas possible de transférer des données à des adultes. Il convient également de noter les effets secondaires des préparations de zinc, à savoir la capacité de provoquer une violation de l'odorat (anosmie).

Les receveurs des comprimés avaient 38 % moins de symptômes nasaux que les receveurs du placebo, mais les autres résultats étaient similaires. Ils ont rapporté une réduction de 15% de l'incidence qui n'a pas atteint la signification statistique. Ils n'ont trouvé aucune différence significative dans le taux d'infection ou le délai avant la première infection. Il n'y avait aucune différence significative dans la fréquence, la gravité ou la durée du rhume entre l'échinacée et un placebo comparable chez 108 sujets. Les diverses définitions des maladies respiratoires, les critères d'évaluation, les méthodes de collecte de données et les différences dans le moment du début du traitement pendant la maladie rendent difficile la comparaison des études.

6. Ail. À Plusieurs études de très grande qualité réalisées par des auteurs japonais ont prouvé l'efficacité préventive de l'ail. Les personnes qui consomment quotidiennement de l'ail ou de l'extrait d'ail sont beaucoup moins susceptibles de contracter des ARVI. Cette stratégie permet coûts additionnels réduire les risques rhumes.

7. Probiotiques. L'effet des probiotiques sur la réponse immunitaire est associé à une augmentation de la protection locale des muqueuses et à un effet immunotrope général (augmentation de la phagocytose, augmentation de la production de cytokines). Une revue Cochrane a passé en revue 14 études, montrant que les probiotiques réduisent considérablement l'incidence du SRAS. La base de preuves sur les sondes ne peut être attribuée à haut niveau fiabilité, mais la raison de les utiliser est tout à fait des moyens sûrs il y a. L'utilisation de probiotiques est particulièrement pertinente dans les cas où il existe des problèmes gastro-intestinaux concomitants, tels que le SCI avec une tendance à la diarrhée. Il n'est pas possible de mettre en évidence l'efficacité particulière de probiotiques spécifiques. Tous les probiotiques avec lacto- et bifidobacrie peuvent être utilisés dans ce contexte.

L'efficacité clinique a été notée dans de nombreuses études de traitement, suggérant que l'échinacée est associée à plus d'avantages dans le traitement du rhume que dans la prévention de l'infection. Une explication des tendances à l'amélioration de la maladie clinique sans affecter les taux d'infection est que ces observations pourraient être le résultat d'un effet bénéfique de l'échinacée associé au traitement des infections établies plutôt qu'à la prévention, puisque le traitement a été poursuivi pendant 7 jours après l'inoculation du virus au niveau de la moment où les sujets étaient symptomatiques.

8. Vaccination. La vaccination n'est efficace que pour prévenir la grippe, il n'existe pas encore de vaccin pour se protéger des autres infections virales respiratoires aiguës. Le vaccin donne le plus grand effet prouvé dans les groupes à risque de complications grippales. De plus, la vaccination est nécessaire pour ceux qui vivent ou travaillent avec des personnes appartenant à des groupes à risque. Les autres peuvent se faire vacciner contre la grippe s'ils le souhaitent pour leur propre protection. Des études montrent que la vaccination contre la grippe chez les adultes en bonne santé réduit légèrement le risque de contracter la grippe et soulage les symptômes de la grippe lorsqu'elle se développe, mais ne prévient pas les complications telles que la pneumonie.
Il convient de noter l'importance de la vaccination contre l'infection hémophilique incluse dans le calendrier vaccinal et l'utilisation du vaccin antipneumococcique pour les groupes à risque pour le développement de complications. La grande majorité des gens sur terre sont en bonne santé porteurs transitoires ou permanents d'Haemophilus influenzae. Haemophilus influenzae se manifeste par un rhume avec développement fréquent de pneumonie et de méningite sévères, principalement chez les enfants de moins de 2 ans. Tout enfant qui ne bénéficie pas d'une dispense de vaccination doit être vacciné selon le calendrier, y compris la vaccination contre l'Haemophilus influenzae. Vaccination contre infection pneumococcique nécessaire pour les groupes à risque de développer une pneumonie grave (personnes âgées, personnes souffrant de maladies chroniques graves des systèmes cardiovasculaire, respiratoire et endocrinien).
Les lysats bactériens sont une sorte de préparations vaccinales orales qui ont un effet prouvé en termes de prévention des infections bactériennes récurrentes des voies respiratoires supérieures et du SRAS. Ils préviennent le SRAS en stimulant la réponse immunitaire locale et générale non spécifique.

L'utilisation d'un modèle expérimental de rhume a peut-être permis une évaluation précoce des symptômes qui était plus précise que pour les essais associés aux rhumes naturels. Malheureusement, notre étude a été compromise par son petite tailleéchantillons. Les résultats sont cohérents avec la plupart des données présentées précédemment concernant le manque d'efficacité de l'échinacée dans la prévention des rhumes naturels ou expérimentaux. Des recherches plus poussées sur l'échinacée pour le traitement d'infections expérimentales à rhinovirus, avec grande quantité sujets et avec des préparations d'échinacée standardisées spécifiques d'efficacité connue, devrait clarifier l'efficacité de l'échinacée dans le traitement du rhume.

9. Chimioprophylaxie. Deux médicaments ont un effet prouvé à cet égard et uniquement par rapport à la grippe. Ce sont le zanamivir et l'oseltamivir. Ils sont prescrits dans un but de prévention à court terme uniquement aux personnes à risque de complications ayant été en contact avec un malade grippé.

10. Correction des maladies et conditions qui provoquent des rhumes fréquents. Rejet mauvaises habitudes améliore les fonctions protectrices des muqueuses des voies respiratoires. Voies aériennes concernées fumée de tabac sont plus sensibles aux agents pathogènes respiratoires, conduisent plus souvent à la manifestation d'ARVI sous forme de bronchite. L'abus d'alcool est également préjudiciable aux organes du système respiratoire, l'alcool éthylique, étant un dissolvant de graisse, détruit les membranes cellulaires, endommage les muqueuses et augmente le risque de développer des rhumes et des complications. Attention particulière doit être administré au traitement de l'asthme bronchique, de la BPCO et de l'anémie ferriprive.
La carence en fer et l'anémie ferriprive, particulièrement fréquentes chez les femmes en âge de procréer, se manifestent souvent par des rhumes fréquents. Avec une hémoglobine basse-normale, il existe souvent une carence en fer tissulaire latente, dont l'élimination sera bénéfique en général et par rapport à la prévention du rhume en particulier. Par conséquent, il est raisonnable d'inclure dans le plan de mesures préventives analyse générale du sang. Si une hémoglobine basse ou basse-normale est détectée, une analyse doit être effectuée pour l'échange de la glande : fer sérique, TIBC (Total Serum Iron-Binding Capacity), ferritine. Le traitement est planifié en fonction du résultat.
L'année dernière, le Japon a terminé une étude sur l'alcool et l'incidence du SRAS. Il a été démontré que la consommation fréquente de doses raisonnables d'alcool est très bénéfique en termes de prévention du SRAS. Auparavant, une étude américaine avait montré que le vin rouge, contrairement aux autres boissons alcoolisées, contribuait à la prévention du SRAS. Il est dangereux pour « notre » personne de rapporter les résultats de telles études, car « notre » personne ne se limitera pas à un verre de vin rouge !

Habitude saine : Vous chargez beaucoup de fruits et légumes colorés. Préparez-la : Des aliments confiants et vibrants comme les choux et les oranges ont nutriments avec eau froide mais ne perdez pas de vue leurs pâles homologues. Incluez des boules dans les omelettes, les pâtes et les brochettes. Pendant que vous y êtes, jetez un peu d'ail. Et n'oubliez pas d'ajouter l'ail en fin de cuisson pour éviter qu'il ne se neutralise.

Habitude saine : Vous enregistrez sept à huit heures de sommeil la nuit. Augmentez le volume : la quantité de votre sommeil est importante, mais la qualité l'est tout autant. "Un sommeil interrompu peut augmenter la production d'hormones de stress qui usent système immunitaire dit Michael Brace, Ph.D., auteur du régime alimentaire Doctor's Sleep. Exemple : Lorsque des chercheurs de l'Université Carnegie Mellon ont exposé le virus du rhume aux participants à l'étude, ceux qui ne faisaient pas aussi la fête étaient six fois plus susceptibles de tomber malades que les personnes qui dormaient comme un roc.

La prévention du rhume est un ensemble de mesures visant à réduire les rhumes. Plus de 30 % des visites annuelles à l'hôpital sont liées au rhume. Les rhumes sont particulièrement sensibles aux personnes âgées, aux enfants et aux femmes enceintes. Ces catégories, en raison des fonctions affaiblies du système immunitaire, présentent le risque le plus élevé de complications, pouvant même entraîner la mort.

Air frais et exercice

Pour maximiser vos yeux fermés, attachez vos baskets la plupart des jours de la semaine : il a été prouvé que l'exercice régulier vous aide à vous endormir plus rapidement et à passer plus de temps dans un sommeil profond réparateur. Si vous craignez d'être éveillé, écrivez tout ce qui vous inquiète, ainsi qu'une solution pour chacun, avant d'entrer, suggère Breus. Cela permettra à votre esprit et à votre corps de se reposer.

Habitude saine : Toujours, toujours se laver les mains. Ramassez-le : si vous aimez la grande majorité d'entre nous, vous ne le ferez probablement pas de la main. Une étude réalisée dans le Michigan Université d'État, a montré que 95 % des personnes ne fument pas dans les 20 secondes recommandées et qu'une personne sur trois n'utilise pas de savon. Séchez ensuite soigneusement; les germes s'accrochent plus facilement aux surfaces mouillées. Utilisez un désinfectant pour les mains contenant au moins 60 % d'alcool.

Prévention du rhume chez les enfants

Prévention du rhume chez les enfants endroit spécial. De nombreux parents ont rencontré à plusieurs reprises ce problème et doivent comprendre qu'il est beaucoup plus facile de prévenir un rhume que de soigner un enfant pendant longtemps.

Rémantadine. appartient aux plus accessibles et des moyens efficaces prévention du froid.

Habitude saine : L'exercice fait partie intégrante de votre Vie courante. Préparez-le : Faire de l'exercice renforce votre capacité à combattre le rhume et la grippe. Mais repousser régulièrement vos limites peut apporter plus de mal que bon. Pour un entraînement plus sain, incluez des pauses dans votre routine. Nieman a constaté que les exercices avec des pauses intégrées, par exemple, le tennis, le football ou l'entraînement par intervalles, n'avaient pas le même effet. impact négatif comme travailler à un rythme constant. Apprentissage d'événements lointains ?

Un pansement approprié peut réduire l'inflammation qui affaiblit votre système immunitaire. bouteilles réutilisables peut cependant engendrer des bactéries, alors lavez-vous eau savonneuse tous les jours. Pensez à humidifier l'air que vous respirez. Les rhumes et la grippe se développent dans l'air sec, donc l'utilisation d'un humidificateur peut être votre ticket pour hiver sain. Des chercheurs des Centers for Disease Control and Prevention ont découvert qu'environ 74 % des cellules infectées par le virus ont survécu après une heure dans une pièce avec 23 % d'humidité ou moins ; Cependant, seulement 18 % environ des virus ont survécu à l'intérieur avec 43 % d'humidité ou plus.

Arbidol. Un médicament antiviral le plus efficace contre la grippe A et B. En plus de l'effet antiviral, il augmente la production d'interféron, stimulant les défenses de l'organisme.

Pommade oxolinique. Convient à tous les âges.

Kagocel. Pour la prévention du rhume, la durée du médicament dépend de la gravité de la maladie.

Amiksine. Il a un effet positif sur le système immunitaire et combat efficacement le virus. Conçu pour une utilisation chez les enfants et les adultes. Il a des effets secondaires minimes, mais est néanmoins contre-indiqué chez les femmes enceintes et allaitantes.

Tamiflu. Suffisant médicament efficace, qui améliore le système immunitaire et combat les virus. Ce médicament ne doit pas être utilisé pendant une longue période, certains de ses effets secondaires sont la psychose et la dépression.

Anaferon. Un médicament homéopathique qui a un large éventail d'utilisations. Peut être utilisé par les adultes et les enfants.

Aflubine. Un produit d'origine naturelle, adapté à la prise par les enfants dès leur plus jeune âge. Disponible en comprimés et en gouttes.

Déni de responsabilité : Les informations fournies dans cet article sur la prévention des rhumes sont destinées à informer le lecteur uniquement. Il ne peut se substituer à l'avis d'un professionnel de santé.