04.11.2005 // Conseil héraldique sous le président de la Fédération de Russie

Liste illustrée couronnes municipales dignité, armoiries avec lesquelles il est permis d'être inscrites au registre héraldique d'État de la Fédération de Russie. Les types de couronnes de classement des municipalités présentés ci-dessous ont été approuvés par le Conseil héraldique sous le président de la Fédération de Russie le 24 mars 2005. Ce concept a remplacé le précédent, qui était en vigueur en 2002-2005 et révisé en relation avec le début de la réforme du système d'autonomie locale.

À propos des couronnes municipales

La couronne en héraldique n'est pas un symbole du système, mais une désignation de statut et de dignité. Dans l'héraldique municipale, les couronnes sont largement utilisées, reflétant le statut des villes, des régions, etc.

Pour les villes, des couronnes dites de tour sont traditionnellement utilisées. Des types spéciaux de couronnes sont établis pour les districts et les établissements ruraux.

Le système actuel de couronnes a été introduit en 2005 et reflète les caractéristiques de l'autonomie gouvernementale actuelle en Russie.

La municipalité n'a le droit d'utiliser la couronne qu'en fonction de son rang et de son statut.

La couronne est assez officielle, mais un élément "facultatif" des armoiries, c'est-à-dire il peut ou non être inclus dans les armoiries à la discrétion de ses propriétaires (gouvernements locaux); même si la couronne est incluse dans les armoiries, l'héraldique permet de représenter les armoiries sous une forme abrégée - sans couronne.

Pour déterminer le droit d'une municipalité à une couronne particulière, il convient de corréler le type d'établissement ou de territoire (en tenant compte de son statut dans le passé historique et de sa place dans la hiérarchie des municipalités) avec les textes sous les dessins de couronnes : l'héraldique la description de la couronne correspondante est mise en évidence en gras.

Le "premier" ("supérieur") niveau d'autonomie municipale se traduit par la présence de cinq dents dans la couronne, le "deuxième" ("inférieur") niveau - par la présence de trois dents. Ajouts de statut spécial :

Pour les couronnes des centres administratifs (capitales) des sujets de la Fédération - une couronne de laurier entourant la couronne le long du cerceau. En pratique, il est également permis d'utiliser uniquement une couronne - sans couronne de statut correspondante.

Pour les couronnes des centres administratifs des districts municipaux - une bande lisse avec des bordures ornementales en relief (placée au-dessus de la propre bande de la couronne correspondante).

Si une colonie rurale s'avère être le centre d'un sujet de la Fédération (ou d'un district municipal), elle a également le droit de compléter sa couronne à trois branches par une couronne appropriée (ou un cerceau à côtés).

De l'éditeur du site: Tous les dessins des couronnes sont réalisés par un membre du Conseil héraldique sous la direction du président de la Fédération de Russie Mikhail Shelkovenko.
La numérotation des couronnes est conditionnelle et donnée par les éditeurs pour la commodité des lecteurs.

TYPES DE COURONNES DE CLASSEMENT DES MUNICIPALITÉS

I. Formations municipales du « premier niveau » :

I.1. Quartier de la ville - couronne de tour d'or avec cinq dents visibles:

I.1.a) District de la ville-centre administratif d'une entité constitutive de la Fédération de Russie : couronne de tour en or à cinq dents apparentes, complétée par une couronne de laurier du même métal:

I.2. Zone municipale - couronne en or avec cinq dents pointues visibles:
- genre principal :

Type valide :

II. Formations municipales du "deuxième niveau":

II.1. établissement urbain - couronne de tour d'or avec trois dents visibles:

II.1.a) Établissement urbain-centre administratif d'une entité constitutive de la Fédération de Russie - couronne de tour en or à trois dents apparentes, complétée par une couronne de laurier du même métal:

II.1.b) Établissement urbain - le centre administratif du district municipal - une couronne de tour dorée à trois dents apparentes, complétée par un cerceau lisse aux bordures ornementales en relief :

II.2. Établissement rural - couronne dorée avec trois dents pointues visibles:
- genre principal :

Type valide :

II.2.a) Établissement rural - le centre administratif du district municipal - une couronne dorée avec trois dents pointues visibles, complétée par un cerceau lisse avec des bordures ornementales en relief :

II.3. Intracité territoire d'une ville de subordination fédérale ( municipalité sur le territoire de Moscou et Saint-Pétersbourg) - couronne de tour d'or sans dents.

	La Grande Couronne Impériale a été réalisée en 1762 par Georg-Friedrich Eckart pour le couronnement de Catherine II. Le maître a fait la couronne en seulement 2 mois. Couronné les armoiries du milieu de l'Empire russe en 1882. 2749 petits diamants et 58 très gros diamants ont été dépensés sur cette couronne. Il couronne actuellement les armoiries de l'oblast de Toula, de l'oblast d'Arkhangelsk, de l'oblast de Penza, de l'oblast de Sverdlovsk, de l'oblast de Tomsk et de l'oblast de Tioumen.
	Couronne impériale ancestrale des Romanov (couronne du Grand-Duché de Luxembourg). Est une couronne fictive.
	Chapeau d'astrakan. Il a été fabriqué en 1627 pour le fondateur de la dynastie Romanov - Mikhail Fedorovich. La couronne d'Astrakhan a été faite pour remplacer la couronne de Monomakh. La couronne se compose de trois plaques d'or triangulaires concaves, décorées d'émail et de pierres précieuses. Le capuchon est orné d'une couronne de six zapons en forme de croix. Sur le capuchon se trouve une couronne de trois arcs. Au-dessus de la couronne se trouve une autre couronne plus petite. La composition est surmontée d'une émeraude. Actuellement situé sur les armoiries de la région d'Astrakhan.
	Chapeau Kazan. Il a été réalisé en 1553 pour Ivan le Terrible.
	Couronne géorgienne de Géorgie George XII. Il a été fabriqué dans l'Empire russe sous l'empereur Paul Ier par les bijoutiers P. E. Teremen et N. G. Likht. En 1801, la couronne du dernier roi géorgien a été envoyée à la ville de Saint-Pétersbourg. Actuellement conservé dans une collection privée.
	La couronne d'Anna Ioannovna a été faite en 1730. Peut-être que la couronne a été fabriquée par Gottlieb Wilhelm Dunkel. La couronne était faite d'or, d'argent et de pierres précieuses. La tourmaline rouge a été achetée à l'empereur chinois à la demande du tsar Alexei Mikhailovich.
	Le bonnet de Monomakh (bonnet doré) est un symbole de l'autocratie dans l'Empire russe. Il a été provisoirement construit à la fin du XIIIe siècle. Actuellement conservé dans les archives de l'Armurerie. En 1882, elle couronne les armoiries des grandes principautés unies : Novgorod, Kyiv, Vladimir. Le bonnet de Monomakh a été apporté en Russie en 988 par les empereurs de Byzance, Basile II et Constantin IX, en cadeau à saint Vladimir à l'occasion de son mariage avec Anne. La partie inférieure de la couronne est garnie de zibeline. Le chapeau contient des perles, des rubis, du yahont.
	La casquette d'Ivan Alekseevich a couronné l'emblème du royaume de Sibérie dans le grand emblème de l'Empire russe en 1882. Il a un deuxième nom - "chapeau Altabasnaya".
	La couronne finlandaise a été inventée pour les armoiries de la Principauté de Finlande en 1857. Il existe deux versions de la couronne finlandaise.

Couleurs de la couronne de la ville

• La couronne de la tour dorée est située sur les armoiries des villes de province
• La couronne de la tour d'argent est représentée sur les armoiries des chefs-lieux de comté
• La couronne de la tour écarlate est placée sur les armoiries des villes de province.
• Dans les armoiries des villes, il y a une couronne de tour écarlate à deux dents.

Le système d'application des couronnes municipales dans la construction de nouvelles armoiries

Le système a été adopté par le Conseil héraldique sous le président de la Fédération de Russie en 2005

Sources

• "Antiquités de l'État russe"Moscou, 1851 ;
• Dictionnaire encyclopédique de Brockhaus et Efron ;
• "Armoiries des villes, provinces, régions et villes de l'Empire russe de 1649 à 1900"PP von Winkler;
• "Symboles russes" Ulyanov A.V. 2009 ISBN 978-5-17-060640-5

Couronne (du latin corona - couronne, couronne) - une coiffe qui est un symbole du pouvoir monarchique. Les couronnes étaient fabriquées à partir de divers métaux précieux (généralement de l'or) et décorées de pierres précieuses et semi pierres précieuses.

Portrait de Charlemagne par Albrecht Dürer

dans l'Égypte ancienne, la double couronne du pharaon, décorée des symboles de la Haute et de la Basse-Égypte - un cerf-volant et un serpent-uraeus.

Et après en 3200 av. Basse et Haute Egypte unies, les pharaons avaient une double couronne blanc-rouge. Une autre coiffe du pharaon s'appelait "klaf-ushebti", ses composants étaient des rubans, un grand morceau de tissu rayé et un cerceau avec un uraeus (serpent).

Pharaon dans la couronne blanche du Sud

Les couronnes peuvent avoir une forme différente : calottes, couronnes, cerceaux couronnés de feuilles, de dents ou de plaques.

Frédéric III roi d'Autriche.

La couronne est placée sur le casque ou, comme dans les emblèmes d'État, directement au-dessus du bouclier (par exemple, la couronne princière dans les armoiries du Liechtenstein). La couronne dans les armoiries est la classe la plus courante de signes héraldiques de dignité, indiquant le statut féodal du propriétaire des armoiries. Il existe de nombreuses variétés de couronnes, chacune d'elles peut être trouvée dans des armoiries, placée sur un casque, au-dessus d'un bouclier ou au-dessus d'un manteau.

Jean_Paul_Laurens_Le_Pape_Formose_et_Etienne_VII_1870

Richard_II_d'Angleterre

Selon le titre de leur propriétaire, les couronnes sont divisées en :

impérial,
Royal,

COURONNE DE PRINCE
( allemand : Fürstenkrone ), une couronne ouverte représentée sur les pièces de monnaie allemandes. principautés féodales (voir Prince) et se composait d'un cerceau en or orné de 5 dents apparentes (3 feuilles, 2 boules) et de 3 arcs apparents ornés de perles, reliés au sommet par une puissance et recouvrant un capuchon violet.
ducal,
comté, etc...

1) Monomakhovskaïa,
2) le Royaume de Kazan,
3) Mikhaïl Fedorovitch,
4) Pierre I Alexeïevitch,
5) Ivan V Alexeïevitch,
6) Elisabeth Petrovna,
7) Catherine I,
8) Anna Ivanovna,
9) Grande couronne impériale,
10) Couronne de l'Impératrice.
Il y a aussi une couronne papale - diadème.

Tiare

L'apparence est attribuée aux états ancien monde (L'Egypte ancienne, Rome antique, Sumer). Ils étaient très répandus dans les États d'Europe pendant la période de féodalité développée (depuis le XIe siècle). En Russie, le bonnet de Monomakh était utilisé comme couronne du Grand-Duc, plus tard le tsar, sous les empereurs - la Grande Couronne Impériale.

Bonnet de Monomakh. Dessin du début des années 1830, F. G. Solntsev

Dessin de la grande couronne impériale

Le couronnement, le couronnement est une procédure formelle, symbolisant l'acceptation par le monarque du pouvoir et de ses attributs (trône, couronne, sceptre, etc.). Ne coïncide pas avec le moment du début du règne (décès ou abdication du prédécesseur, élection). Dans la culture chrétienne européenne, le couronnement est une cérémonie religieuse accompagnée d'un rite d'onction au royaume (origine Ancien Testament).

Jean Fouquet. "Couronnement de Charles VI le Fou en la cathédrale de Reims (4 novembre 1380)"

Au Moyen Âge, les monarques de certains pays étaient couronnés presque immédiatement, quelques jours, voire quelques semaines, après le début du règne. La raison en était que le monarque sans couronne était considéré comme illégal dans de nombreux pays médiévaux, sans grâce; le vrai roi de France devait être couronné dans la cathédrale de Reims et oint d'un récipient spécial (ampoule).

Louis IX - Roi de France

Théodose le Grand

À Byzance, le couronnement des co-empereurs était programmé pour coïncider avec Pâques. À l'époque moderne, après la mort d'un prédécesseur, de nombreux mois ou un an de deuil ont commencé à être déclarés, ce qui a empêché un couronnement immédiat. Pour des raisons de bon augure, le couronnement était désormais programmé pour coïncider avec le printemps ou l'été.

François II - le dernier empereur Saint Empire romain

Dans les pays chrétiens, à partir du 5ème siècle (Byzance, puis les royaumes occidentaux), le plus haut hiérarque de l'église effectuait généralement le couronnement sur la tête du monarque, mais de nombreux monarques (presque tous russes, Napoléon Ier, certains britanniques) ne prenaient que la couronne du hiérarque et la plaça sur eux-mêmes.

Napoléon en grande tenue impériale

Insignes royaux Empereurs russes

La couronne est placée sur le casque ou, comme dans les emblèmes d'État, directement au-dessus du bouclier (par exemple, la couronne princière dans les armoiries du Liechtenstein). La couronne dans les armoiries est la classe la plus courante de signes héraldiques de dignité, indiquant le statut féodal du propriétaire des armoiries. Il existe de nombreuses variétés de couronnes, chacune d'elles peut être trouvée dans des armoiries, placée sur un casque, au-dessus d'un bouclier ou au-dessus d'un manteau.

Karl Reichel-portrait de l'impératrice Alexandra Feodorovna

La coutume de décorer un casque avec une couronne est apparue chez les chevaliers au XVe siècle. Les casques couronnés étaient portés lors des tournois, notamment en Allemagne, où un casque couronné était considéré comme un signe de noblesse. Souvent, la couronne n'est pas un signe de dignité royale ou princière, mais remplit une fonction purement décorative. Cette couronne héraldique, ou diadème, est placée sur le casque comme une crête, soutenant la crête elle-même à la place du moulin à vent, ou avec elle, située au sommet.

Portrait de Louis Ier, roi de Bavière

Dans l'héraldique russe du XVIIIe au début du XXe siècle. les armoiries de tous les souverains qui ont régné après Catherine II contenaient l'image de sa grande couronne de diamants, avec laquelle chacun d'eux était couronné du royaume. titre princier correspondait à la soi-disant. un chapeau princier avec un haut rouge ou cramoisi (violet) dépassant au-dessus du bord d'hermine.

Portrait de l'impératrice Catherine II

La couronne de dignité du comte à neuf perles n'était pas différente de son prototype allemand, et la couronne du baron répétait un signe de dignité similaire adopté dans l'héraldique française - un haut cerceau d'or s'étendant vers le haut, autrefois enlacé d'un fil de perle. La couronne noble, comme la variante allemande qui lui correspond en rang, avait trois griffes en forme de feuille avec deux perles entre elles. Images de couronnes différents types selon les titres de noblesse.

Portrait de l'empereur Nicolas II

Afin de rationaliser la création d'armoiries dans l'Empire russe, le baron Köhne a établi en 1857 des règles pour décorer les armoiries des provinces, régions, cantons, villes et villages. Ils ont été approuvés par le Très-Haut les 7 mai, 4 et 16 juillet de la même année.

Portrait de l'impératrice Maria Feodorovna.

Les règles comprennent: la classification des couronnes héraldiques au-dessus des boucliers, les décorations (couronnes) autour des boucliers, entrelacées de rubans appropriés, et la méthode d'indication de l'affiliation provinciale - dans la partie libre du bouclier.

Portraits de l'empereur Nikolaï Alexandrovitch

La couronne impériale (modèle 1857) a été établie pour les capitales de l'empire (Saint-Pétersbourg et Moscou) et des provinces. Ancien royal (échantillon de 1857) - pour les villes qui avaient le statut d'administration municipale, les régions et les comtés. Ancienne royale, couronnée d'un aigle à deux têtes - pour les villes qui avaient le statut d'administration municipale et de forteresses.

Portraits de l'impératrice Eugénie

Cap of Monomakh - pour les anciennes villes russes, anciennes capitales grands-ducs (Kyiv, Vladimir, Novgorod, Tver, Yaroslavl, Riazan, Smolensk, etc.); pour Kazan et Astrakhan - les chapeaux "nominaux" correspondants (couronnes).

MARIA FIODOROVNA

Impératrice russe, épouse Alexandre III(depuis le 28 octobre 1866), mère de l'empereur Nicolas II.

Maria - Reine de Roumanie

Après l'assassinat de son mari Alexandre en 1934, Maria est devenue régente pour son fils mineur, le roi Pierre II de Yougoslavie.

Maria - Reine de Roumanie

En 1945, après la proclamation de la Yougoslavie en République socialiste et l'expulsion du roi, la famille royale se rendit à Londres. Maria y est décédée le 22 juin 1961.

Aliénor

Alienora (Alienor, Allenora) Aquitaine

À l'âge de 15 ans, après la mort de son père et de son frère, Aliénor devient propriétaire du duché d'Aquitaine, qui occupe de vastes territoires dans le sud-ouest de la France.

Aliénor d'Aquitaine

Après la dissolution de son mariage avec Louis, le 18 mai 1152, Aliénor épouse le comte Henri d'Anjou, qui le 25 octobre 1154 devient roi d'Angleterre - Henri II Plantagenêt. Les vastes terres aquitaines - sa dot - quatre fois la taille des possessions des Capétiens, deviennent anglaises. D'après nombre de scientifiques, c'est dans l'histoire du mariage d'Aliénor d'Aquitaine qu'il faut chercher les origines de la guerre, qui a éclaté au XIXe siècle. le nom du Centenaire. Du premier mariage, Aliénor d'Aquitaine a eu deux filles, du second - cinq fils, dont - le roi-chevalier Richard Cœur de Lion.

MARIE THÉRÉSIE

Maria Theresia (allemand : Maria Theresia, 13 mai 1717 - 29 novembre 1780) - Archiduchesse d'Autriche, roi de Hongrie (c'est vrai, car la Hongrie, en principe, ne peut pas être gouvernée par une femme) à partir du 25 juin 1741, reine de Bohême à partir du 20 octobre 1740 (avait ces titres personnellement, par héritage) et impératrice du Saint Empire romain germanique (en tant qu'épouse puis veuve de François Ier Étienne de Lorraine, élu empereur en 1745). Fondateur de la branche lorraine de la dynastie des Habsbourg.

Portrait du couronnement d'Elizabeth I

Elizabeth I (7 septembre 1533 - 24 mars 1603), Queen Bess - Reine d'Angleterre et reine d'Irlande à partir du 17 novembre 1558, la dernière de la dynastie Tudor. Elle a accédé au trône après la mort de sa sœur, la reine Mary I.

Le règne d'Elisabeth est parfois appelé « l'âge d'or de l'Angleterre », à la fois en relation avec l'épanouissement de la culture (les soi-disant « élisabéthites » : Shakespeare, Marlowe, Bacon, etc.), et avec l'importance accrue de l'Angleterre sur la scène mondiale (la défaite de l'Invincible Armada, Drake, Reilly, East India Company).

Anna Iaroslavna 6e reine consort de France

aînée de trois filles Prince de Kyiv Yaroslav le Sage de son mariage avec Ingegerda de Suède, épouse du roi français Henri Ier et reine de France.

Empereur de Chine. Guangxu

Pu Yi,

Edward III, qui a gouverné l'Angleterre au 14ème siècle

Portrait du roi d'Espagne

Portrait d'un roi (Magicien)

Roi d'Angleterre Richard Ier Plantagenêt

Jan Matejko capture Mieszko

Bonaparte-Joseph

Maintenant, en règle générale, les monarques ne portent des couronnes que lors d'occasions particulièrement solennelles.

La base des armoiries est un bouclier. Avec une description de cet élément principal, nous commencerons la présentation des règles de l'héraldique. En héraldique, il y a des boucliers des plus différentes formes- du plus simple au plus complexe. La forme la plus courante de bouclier de chevalier à l'époque de la naissance de l'héraldique était triangulaire, qui est devenue la principale. Mais dans différents périodes historiques Il y avait aussi d'autres configurations. Aujourd'hui, la forme de l'écu peut servir de point de départ à l'examen des armoiries.

Puisque les armoiries sont essentiellement un attribut de la chevalerie, le bouclier héraldique est principalement le bouclier d'un chevalier équestre, et sa forme a changé avec le développement de l'art militaire. Voici comment P. von Winkler en parle dans son livre "Armes" (Saint-Pétersbourg, 1894)

"Dans l'histoire du développement de l'industrie de l'armement en Europe, il n'y a pas une seule période qui serait plus importante que la période des Xe et XIe siècles. La raison et la raison en ont été données les gens du nord, qui déjà au VIIIe siècle terrifiait toute l'Europe antique avec ses raids courageux. C'étaient les Normands. S'étant établis dans le nord de l'État franc (912), ils participent activement au développement de la chevalerie, grâce à leurs capacités, leurs activités et leur esprit d'entreprise, ils deviennent rapidement les premiers à s'occuper des affaires militaires, ils sont partout perçus comme un exemple et exemple de tout ce qui concerne la guerre, ses moyens et son mode de gestion. Au IXe siècle, les Normands étaient en Andalousie, débarquaient sur les côtes africaines, traversaient l'Italie, tiraient de ces campagnes une expérience militaire extraordinaire et, sous le feu et l'épée, ne perdaient de vue rien de ce qui leur était nouveau et utile. des autres peuples. Ainsi, ils ont apporté des changements importants dans les affaires militaires, changements qui sont devenus la position de base pour tout le Moyen Âge et qui, dans leur organisation avec des tactiques offensives, correspondaient à système féodal, éléments de ces transformations qu'ils ont pour la plupart empruntés à Peuples de l'Est. Sur le papier peint de Baio, représentant des images de la conquête de l'Angleterre, à première vue, l'influence de l'Est est perceptible dans les armes, bien que le développement ultérieur, il faut l'admettre, se fasse selon des croyances nationales particulières. Là, pour la première fois, on trouve, à côté de l'ancien pilum, un casque pointu avec un nez caractéristique, une coque bien ajustée, mais, en même temps, on remarque que le Normand, ainsi que le Saxon, retient l'utilisation de son grand bouclier national avec une longue épée.

Une ancienne tapisserie de Bayo représentant la conquête de l'Angleterre par les Normands - un rouleau de 73 mètres de long, réalisé selon la méthode d'application - est devenue une source précieuse d'informations pour les historiens sur les Normands. Sur la tapisserie, on peut voir que les Anglo-Saxons, comme leurs adversaires, sont armés de grands boucliers allongés, spécialement conçus pour protéger au maximum. zone plus grande Au cours de cette période et dans les siècles suivants, les guerriers combattaient principalement à pied, et les boucliers "de la longueur du corps" allongés en hauteur offraient une bonne protection contre les archers.Cependant, la cavalerie prend de plus en plus d'importance. Les Normands, originaires de Scandinavie, étaient marins, mais maîtrisèrent rapidement l'art du combat équestre. Leurs ancêtres, les Vikings, ont pris le contrôle de la péninsule du nord de la France, aujourd'hui appelée Normandie, et s'y sont installés. Les Normands ont créé un État fort et ont cherché à étendre leurs possessions. Sous la direction du duc Guillaume le Conquérant, ils envahissent l'Angleterre. Le 14 octobre 1066, à la bataille d'Hastings, une bataille eut lieu entre la neuf millième armée de Guillaume et dix mille fantassins anglais, menés par le roi Harold. Les Anglo-Saxons se sont défendus avec succès, mais un millier de détachements de cavaliers normands, ayant lancé une fausse attaque, les ont attirés hors de leurs positions, après quoi ils ont été complètement vaincus et le roi Harold lui-même est mort au combat.

À la fin du IXe siècle, les guerriers normands embrassent avec enthousiasme l'idée de conquérir la Terre Sainte. L'ère des croisades a commencé, ce qui a eu un impact énorme sur les tactiques et les armes militaires. Le rôle de la cavalerie dans les guerres européennes a augmenté. La forme du bouclier a subi des changements importants, car le chevalier avait désormais besoin d'une protection non pas frontale, mais latérale, car avec l'avènement d'un nouveau petites armes, comme une arbalète, capable de percer une armure d'acier avec ses « boulons », l'importance du bouclier comme moyen de protection contre les tireurs a diminué. Ici, il convient de noter que les chevaliers montés tenaient le bouclier obliquement, c'est pourquoi de nombreux artistes représentent le bouclier héraldique "couche", c'est-à-dire incliné d'un angle compris entre 25 et 45 degrés. Ainsi, la hauteur du bouclier a été réduite et le bouclier a finalement pris la forme connue sous le nom de "réchauffeur". Le "chauffage" classique a des dimensions exactes et est représenté selon un certain schéma.

Initialement, la forme des boucliers héraldiques répétait la forme des combats, ceux qui existaient réellement, et changeait avec le développement des armes. Mais au fil du temps, il y a eu un écart par rapport aux formes classiques (plausibles) de l'héraldique. L'émergence de "bouche" - une découpe ronde sur le côté droit du bouclier, qui servait de support à une lance, a ouvert de larges possibilités à l'imagination des artistes.

Il existe au moins neuf formes principales d'écus héraldiques : "varègue", "espagnol", "italien", "français", "anglais", "byzantin", "allemand", rhombique, carré. Cependant, ces noms "nationaux" sont purement arbitraires et la forme de l'écu n'est nullement mentionnée dans la description des armoiries. Le plus pratique en termes d'espace libre est le soi-disant bouclier français, qui offre, par rapport aux boucliers de formes plus complexes, la surface maximale de remplissage. Ce bouclier a longtemps été utilisé en héraldique comme principal. C'est un rectangle dont la base est égale à 8/9 de la hauteur, avec une pointe saillante dans la partie médiane inférieure et des coins inférieurs arrondis.

Le casque est placé sur le bouclier. La forme du casque héraldique a changé au fil du temps, en fonction des améliorations de la mode et de l'armure. Peu à peu, des règles ont été élaborées selon lesquelles le casque était représenté conformément au titre, à la dignité ou au rang du propriétaire des armoiries. Voici à quoi ressemble ce système dans l'héraldique anglaise. Casque doré à visière en treillis, tourné droit - pour les armoiries des souverains et des princes de sang royal. Un casque argenté avec une visière en treillis doré, tourné héraldiquement vers la droite - pour les pairs. Casque en argent avec une visière surélevée, tourné droit - pour les baronnets et les chevaliers. Casque de tournoi en argent, tourné héraldiquement vers la droite - pour les écuyers et les messieurs. Les armoiries en plusieurs parties des princes Barclay de Tolly-Weymarn ont été formées lors de la fusion de plusieurs familles nobles avec leurs propres armoiries. Une partie intégrante de ces armoiries étaient également des crêtes, dans certains cas également héritées, c'est pourquoi il y a cinq casques avec des sommets différents sur les armoiries. Il est aisé de déterminer à quelle partie de l'écu correspond chacun d'eux (nous ajoutons que dans ce cas le casque central, contrairement aux quatre autres, est surmonté d'une couronne princière correspondant au titre du possesseur des armoiries) .

pommeau

Le pommeau, cimier ou cimier du casque est un ornement fixé sur le dessus du casque, à l'origine à partir de cornes d'animaux et de plumes d'oiseaux. Cet élément a été développé lors des tournois de joutes. Il servait de marque d'identification supplémentaire par laquelle il était possible de reconnaître un chevalier dans le dépotoir général d'une bataille de tournoi, car de loin cette figure était mieux vue que les armoiries représentées sur le bouclier. Les écussons étaient fabriqués à partir de bois léger, de cuir et de papier mâché, mais au fil du temps, ils ont commencé à être fabriqués à partir de matériaux plus précieux. Les crêtes ne sont pas immédiatement devenues une partie indispensable des armoiries. En Angleterre, les hérauts du XVIe siècle ont légalisé cet élément afin de pouvoir le facturer en supplément. Actuellement, les crêtes sont automatiquement incluses dans les nouvelles armoiries. Le casque et l'écusson doivent être tournés du même côté. La crête est attachée au casque, généralement avec une burlet ou une couronne de casque. La crête elle-même est une répétition de la figure principale des armoiries, mais peut souvent être un signe séparé et indépendant. Certaines des premières armoiries n'ont pas de crêtes, car elles ont été approuvées avant que les crêtes ne deviennent à la mode.

Les crêtes doivent, si possible, correspondre aux couleurs du bouclier armorial, bien que cela ne soit pas toujours observé.

Par classement conditionnel il y a des crêtes auxiliaire et indépendant.

Les crêtes auxiliaires répètent complètement l'image sur les armoiries. Pour cela, le soi-disant panneaux de protection et ailes, fournissant une surface souvent égale à la surface du bouclier lui-même. Les crêtes indépendantes ne répètent pas l'image sur le bouclier, mais lui correspondent dans la plupart des cas dans les teintures.

Les principaux types de crêtes sont les suivants : 1. Cornes 2. Ailes 3. Plumes et drapeaux 4. Figures naturelles (humaines ou animales) 5. Figures artificielles 6. Panneaux de bouclier 7. Couvre-chef

Il existe deux types de cornes - la peau de vache, en forme de croissant, et le taureau, en forme de S. Ils sont toujours représentés par paires, dépassant de chaque côté du casque. Jusqu'au 14ème siècle, les casques étaient décorés de cornes pointues en forme de faucille, et ont ensuite acquis une forme plus incurvée avec des extrémités sciées. De là est venu le deuxième type de cornes héraldiques - en forme de S, ouvertes, c'est-à-dire ayant de petites douilles aux extrémités, ce qui les fait ressembler à des trompes d'éléphant. Ils ressemblent également à des cors de chasse, ce qui a conduit certains héraldistes à confondre les deux termes. Cependant, les cors de chasse étaient parfois représentés comme des cornes, par paires, sortant sur les côtés du casque, embouchure vers le haut. Déjà sur les premières armoiries, les cornes sont ornées de brindilles, de plumes et de grelots qui y sont plantés ; des branches, des plumes, etc. sont plantées dans les trous des cornes ouvertes.

Les cornes sont peintes conformément à la coloration du bouclier. Parfois, une figure mineure dans les armoiries est placée entre les cornes : un animal, une figure humaine, un objet.

On trouve souvent d'autres types de cornes : les cornes de bouc, de cerf et de licorne, cette dernière toujours solitaire, échancrée et recourbée. Ces cornes sont des crêtes indépendantes et ne portent pas d'images de figures armoriales.

Les ailes sont généralement représentées par paires et leur position - droite ou de profil - dépend de la position du casque. Si le casque est tourné droit, les ailes sont représentées déployées ; sur un casque tourné de profil, les ailes sont représentées parallèles les unes aux autres, avec des extrémités pointues tournées vers l'arrière.

Sur les armoiries anciennes avec des casques en forme de pot, les ailes étaient représentées de manière stylisée, plus comme des planches, peintes comme des plumes ou assises avec des plumes individuelles. Avec le développement de l'héraldique et le départ des formes gothiques primitives, les ailes ont pris un aspect plus naturel.

Les ailes sont peintes conformément à la coloration du bouclier et, comme les panneaux de bouclier, répètent parfois complètement les figures primaires et secondaires qui y sont représentées. Parfois, une figure armoriale mineure (par exemple, une étoile ou une rose) représentée dans les armoiries est placée entre les ailes.

Il existe trois types de plumes - coq, paon, autruche. Ils sont représentés individuellement, par trois, cinq, etc., généralement sous la forme d'un éventail.

Les coqs, représentés comme un bouquet de longues plumes étroites de longueur inégale, sont les plus anciens. Ils sont attachés au sommet des coiffes portées sur un casque ou insérés dans des carquois spéciaux.

Les plumes de paon sont représentées à la fois individuellement et comme une queue de paon entière, lâche en forme d'éventail. Les plumes ont une coloration naturelle - verte avec des "yeux" jaune-rouge-bleu.

Les plumes d'autruche, qui sont apparues dans l'héraldique plus tard que les deux précédentes, sont représentées séparément, mais le plus souvent trois, pliées par le haut. Les plumes d'autruche ont des teintures de bouclier. S'il y a une plume, elle est peinte en plusieurs couleurs, ou peinte avec une teinture métallique du bouclier, s'il y a trois plumes, alors leur couleur alterne: métal-émail-métal ou émail-métal-émail.

Les plumes sont souvent insérées dans des carquois qui ont une forme cylindrique, allongée ou pointée vers le bas, peinte de figures armoriées en accord avec la coloration de l'écu.

Les plumes ne peuvent pas être montrées sortant directement du casque, elles sortent donc toujours du carquois ou de la couronne.

Figures naturelles (humaines et animales)

La famille la plus diversifiée et la plus pittoresque est formée de crêtes, portant des images d'humains et d'animaux. Il existe les types suivants de telles crêtes:

1. Parties séparées du corps humain ou animal. C'est principalement la tête, ainsi que mains pleines, mains et pieds.

2. Troncs ou bustes d'humains et d'animaux. C'est avant tout partie supérieure corps avec une tête, un cou et une poitrine, mais sans bras ni pattes avant (de plus, le cou et la poitrine sont représentés inhabituellement allongés, le cou est replié sous la forme de la lettre S).

3. Chiffres croissants. Contrairement à ce qui précède, cette méthode implique l'image d'une figure humaine ou animale jusqu'à la taille ou plus bas, avec les mains ou les pattes avant, comme si elle sortait d'un casque.

4. Figures complètes d'une personne ou d'un animal. Dans ce cas, les personnages sont représentés tels qu'ils sont représentés dans le bouclier, bien que des animaux, comme un lion, soient parfois représentés assis sur un casque.

figures artificielles

L'héraldique a un grand nombre de figures dites non héraldiques, dont chacune peut être transférée sur la crête soit séparément, soit en combinaison avec d'autres figures, formant une structure complexe. Ces crêtes présentent un intérêt particulier, dans lesquelles, à l'aide de plusieurs figures, une intrigue est cryptée, répétant ou complétant l'image sur les armoiries.

Panneaux de blindage

Les panneaux de blindage sont ronds, hexagonaux ou en forme d'éventail. Ils sont suffisamment grands pour reproduire entièrement l'image sur les armoiries. Les bords et les coins de ces planches sont souvent décorés de glands, de cloches et de plumes. Les planches elles-mêmes sont parfois montées sur un coussin, orné de glands aux angles, qui repose sur le casque.

Chapeaux

La couronne est placée sur le casque ou, comme dans les emblèmes d'État, directement au-dessus du bouclier (par exemple, la couronne princière dans les armoiries du Liechtenstein). La couronne dans les armoiries indique le titre du propriétaire des armoiries. Il existe de nombreuses variétés de couronnes, et chacune d'entre elles peut être trouvée dans des armoiries, placées sur un casque, au-dessus d'un bouclier ou au-dessus d'un manteau. On distingue les types de couronnes héraldiques suivants: les couronnes impériales, royales et princières, qui sont représentées dans les emblèmes des monarques et des emblèmes d'État (ainsi que dans les emblèmes des régions administratives), symbolisant la souveraineté; couronnes de marquis, comtes, vicomtes, barons ; diadèmes nobles; diadèmes, mitres et chapeaux du clergé; couronnes murales, composées de tours et de murs de forteresse, placées dans les emblèmes de la ville.

Le lambrequin (lambrequin), ressemblant à un manteau entier ou déchiré, est représenté comme une matière attachée au casque. L'origine du dessin héraldique est décrite dans la section "Histoire de l'héraldique". Externe et surface intérieure le badigeonnage doit être peint en alternance avec de l'émail et du métal, et dans l'héraldique moderne, il est d'usage de peindre la surface du badigeonnage avec la couleur principale du bouclier et le mauvais côté (doublure) avec le métal principal du bouclier. Dernière règle est considérée artificiellement introduite dans l'héraldique à une époque où "l'héraldique vivante" a cédé la place à "l'écriture" ("papier"). Ainsi, les principes de l'héraldique classique ne seront pas violés si :
a) la surface de l'empreinte sera en métal et la doublure sera en émail;
b) la couleur de l'insigne ne correspondra pas à la couleur des armoiries.

L'appât peut être peint avec des fourrures. Parfois, le liber est recouvert de figures de bouclier brodées sur sa surface, et parfois la surface du liber est parsemée de petites figures non héraldiques, par exemple des feuilles de tilleul, des étoiles, des cœurs, etc.

Si deux, trois casques ou plus sont utilisés dans les armoiries, chacun d'eux doit avoir un insigne personnel. Le namet peut être peint non pas en deux, mais en quatre couleurs (surtout lorsque l'écu est composé de deux blasons). Dans ce cas Côté droit l'insigne est peint aux couleurs de la partie la plus honorable des armoiries - la droite et la gauche - aux couleurs du côté gauche des armoiries.

Il existe trois types de manteaux de casques, chacun correspondant à une certaine période du développement de l'héraldique.

Le manteau (mantling, lambrequin) est une partie traditionnelle des vêtements de cérémonie du monarque. En héraldique, cet attribut de souveraineté est présent dans les armoiries des monarques et des souverains, ainsi que des représentants de la plus haute aristocratie. Le manteau héraldique peut être considéré comme un vêtement, mais probablement aussi comme un rappel de la tente dans laquelle le chevalier se reposait et changeait de vêtements pendant le tournoi, et des tentes dans lesquelles les croisés abritaient des armes et des armures des intempéries pendant les périodes militaires. campagnes. Le manteau est généralement représenté en violet, doublé d'hermine et attaché aux coins avec des cordons d'or avec des glands. Sur certains grands emblèmes d'État (par exemple, sur le grand emblème de l'Empire russe), un auvent est représenté sur le manteau - une tente ronde faite du même matériau.

Porte-boucliers

Les porte-boucliers sont des personnages situés sur les côtés du bouclier et le soutenant. En règle générale, ce sont les mêmes animaux héraldiques - lions, aigles, griffons, licornes ou figures humaines - sauvages avec des massues, des anges ou des guerriers. Cependant, les porte-boucliers peuvent ne pas être tirés de l'héraldique classique, mais agir comme des symboles indépendants de quelque chose. Par exemple, dans de nombreux emblèmes d'État des pays relativement jeunes d'Afrique, d'Asie et d'Amérique, les représentants les plus caractéristiques de la faune locale - kangourous, autruches (Australie), antilopes, tigres, zèbres - sont porteurs de boucliers. Le choix des porte-boucliers pour les armoiries n'est limité par aucune règle particulière de l'héraldique, bien que dans l'héraldique russe, de bout en bout, il soit admis que seuls les représentants de la plus haute aristocratie peuvent avoir des porte-boucliers. Dans l'héraldique occidentale, le même principe s'applique aux porte-boucliers qu'aux devises - ils peuvent changer à la demande du propriétaire des armoiries.

Armoiries des terres autrichiennes Empire autrichien(Fig. H. Ströl)

Base

La base est la plate-forme sur laquelle reposent les porte-boucliers et sur laquelle se trouve l'ensemble des armoiries. Il peut s'agir d'une colline ou d'une pelouse, comme dans les armoiries de la Grande-Bretagne, d'une banquise, comme dans les armoiries de l'Islande, d'une plaque sculptée, comme dans les armoiries de la Grèce et de la Suède, de montagnes, comme dans les armoiries du Malawi, ou une île dans la mer, comme dans les armoiries de Malte. La base peut aussi être une branche bizarrement incurvée, semblable à un détail de grille en fonte, comme sur les armoiries des princes Barclay de Tolly-Weymarn. Le socle n'est pas élément obligatoire armoiries, elles sont souvent servies par un ruban devise. Les supporters doivent toujours se tenir sur un socle, quelle que soit sa forme. Les seules exceptions sont les porte-boucliers flottant dans les airs, c'est-à-dire les anges volants.

La devise est un court dicton, généralement écrit sur un ruban au bas de l'écu. Parfois, les devises sont placées dans les armoiries sans ruban, si le bouclier est rond, la devise est généralement écrite autour du bouclier. De toute évidence, la base de la devise aurait pu à l'origine être un cri de guerre chevaleresque (comme "Crom boo", la devise des ducs des Fitzgerald, signifiant "Crom (l'ancien château familial) pour toujours!", Mais la devise peut être une courte déclaration, rappelant quelques points importants événement historique. ou exprimant la croyance du propriétaire des armoiries. Le texte de la devise ne peut être crypté et compréhensible que pour les initiés. Dans l'héraldique occidentale, il était d'usage d'écrire les devises en latin, bien que cette règle ne soit pas obligatoire. La signification de certaines devises anciennes est généralement impossible à comprendre - soit l'histoire n'a pas conservé de données sur les événements dont parlait la devise, soit en raison de diverses circonstances, la phrase a été déformée, des erreurs s'y sont glissées. La devise n'est pas une partie obligatoire et permanente des armoiries, donc le propriétaire peut la changer à volonté. Lors de la compilation de nouvelles armoiries, la devise est toujours incluse dans leur conception. Dans les armoiries monarchiques de l'État, la devise est parfois placée sur la canopée - une tente située au-dessus du manteau. Les couleurs du ruban et des lettres doivent correspondre aux couleurs primaires et aux métaux des armoiries. Voici des exemples de devises héraldiques. "Dieu avec nous" - la devise de l'État de l'Empire russe. "J'ai tout compris" (Allemand) - la devise de l'État impérial allemand d'un contenu similaire. "Dieu et mon droit" (Français) - "Dieu et mon droit" - Devise britannique. Dieu protégé la France (français) - ancienne devise française "Dieu sauve la France" .
Les armoiries françaises modernes sont inscrites avec les mots:
« Liberté, Egalité, Fraternité » (Français) - "Fraternité égalité liberté" . "Je maintiendrai" (Français) - "Je vais garder" - Pays-Bas.. "Nihil sine Deo" (lat.) - "Rien sans Dieu" - Roumanie.. "L" union fait la force (Français) - "L'union fait la force" - Belgique. "Mémoire Providence" (lat.) - "Souviens-toi de la prédestination" - Saxe.

À partir des devises nobles, les exemples suivants peuvent être donnés. "Treu auf Tod und Leben" - la devise des comtes allemands Totlebenov, dans laquelle leur nom de famille est joué -
"Fidèle dans la mort et dans la vie" . "Laboré et Zélo" - Devise latine des comtes Arakcheevs - "Travail et Persévérance" . "Semper immota fides" - la devise des comtes Vorontsov - "La fidélité est toujours inébranlable" . "Deus conservat omnia" - la devise des Sheremetev - "Dieu sauve tout" . "Honneur et fidélité" - la devise des princes les plus sereins de Varsovie, les comtes de Paskevich-Erivan.

Le ruban de devise est généralement situé au bas des armoiries, sous la base ou sur son fond (sauf pour l'héraldique écossaise, dans laquelle la devise est placée au-dessus de la crête).

Bien que les drapeaux apparaissent dans certaines grandes armoiries, ils ne sont pas élément héraldique. Cependant, ils méritent d'être mentionnés en raison de leur lien étroit avec l'héraldique.

Les drapeaux et les bannières ont longtemps été utilisés comme Marques d'identification bien visible de loin. Ils étaient indispensables sur le champ de bataille, mais aussi lors des joutes. Avec le développement de la technologie militaire, l'armure de tournoi a acquis une telle massivité et une telle force que les chevaliers ont pu abandonner le bouclier comme principal élément de protection. À cet égard, il était nécessaire de transférer l'image des armoiries du bouclier au fanion, qui a remplacé le bouclier par les armoiries comme marque d'identification.

Il existe trois principaux types d'armoiries : le drapeau proprement dit (bannière), l'étendard (étendard) et le drapeau, ou fanion (pennon).

bannière

Le drapeau médiéval portant les armoiries du propriétaire était un rectangle allongé verticalement avec un rapport largeur / hauteur de 2 à 3. Le bord du drapeau opposé au mât pouvait être pourvu de nombreuses "langues", ou d'une grande "langue " dans le coin supérieur droit (alors appelé " schwenkle "). Personne en dessous du rang d'un chevalier banneret n'avait droit à un drapeau (Knight Banneret est un titre ancien aujourd'hui disparu qui donnait le privilège de diriger son peuple sous son propre drapeau pendant la bataille, contrairement aux célibataires (Bachelor), chevaliers de rang inférieur qui l'ont fait. pas assez de vassaux pour les rassembler sous sa bannière). Le rang du banneret était inférieur à celui des chevaliers de l'Ordre de la Jarretière lorsqu'il était conféré par le roi en temps de guerre, et en temps normal venait après le titre de baronnet). Sur la photo, la bannière royale d'Écosse.

Norme (norme)

Thomas Howard	Henri Stafford (1475)
Sir Robert Welles (1470)	Sir Mestre Guildford
Comte Edmund Roos (1460)	Seigneur Robert Willoughby (1440)

La norme est un long panneau, effilé vers la fin et arrondi. De plus, l'extrémité arrondie fourchait si l'étendard n'appartenait pas au prince de sang royal. L'étendard, dont la taille variait de 11 yards (10 mètres) pour l'empereur à 4 yards (1,5 mètre) pour le baron, était généralement divisé en trois parties : la première était placée d'armoiries chevaleresques ou nationales, la seconde - un blason, et le troisième - une image de son sommet (il y avait d'autres options). Ces parties étaient séparées par des rayures sur lesquelles était inscrit un cri de guerre ou une devise chevaleresque. La couleur de l'étendard correspondait aux couleurs de la famille du chevalier ou aux couleurs de ses armoiries.

Pendant la bataille, l'étendard servait de guide aux troupes. Il ne montrait pas la présence physique du commandant en chef, mais l'emplacement de son quartier général. Le dessin montre les étendards de Sir Henry Stafford (1475) et de Thomas Howard, un participant à la guerre des roses écarlates et blanches (de 1455 à 1485). La croix de Saint-Georges en hausse (la zone près du bâton) montre l'affiliation nationale (anglaise).

Case à cocher (pennon)

Il s'agit d'un drapeau, ou fanion, de taille moyenne (environ trois pieds ou un mètre), qui avait une forme triangulaire et était attaché à la hampe d'une lance. Comme la bannière, il indiquait la présence physique de la personne dont il portait les armoiries. Un drapeau triangulaire plus petit s'appelait "pavon pennon". Montré ici est un drapeau avec une extrémité fourchue - le fanion de l'Ordre Souverain Militaire de Malte.

Les dessins d'armoiries et d'écussons placés sur la page ont été réalisés par Jiri Louda.

23.07.18 Nouvelles	09.07.18 Nouvelles	11.05.18 Nouvelles	04.05.18 Nouvelles	27.04.18 Nouvelles	20.04.18 Nouvelles
Armoiries du district de Prokopyevskiy	Panneau sans cadre sur un composite d'aluminium avec un blason en plastique de la Fédération de Russie (argent)	Armoiries de la région de Sverdlovsk	Emblème du service métrologique du ministère de la Défense de la Fédération de Russie	Assiettes décoratives avec les armoiries de la Fédération de Russie dans la technique du piqué (point à point)	Armoiries de la région de Koursk

100 termes héraldiques (définitions et significations).

Remarque : Les interprétations couramment utilisées des significations de nombreuses figures héraldiques sont en grande partie une adaptation pour une utilisation en dehors de l'héraldique, comme dans chaque blason particulier, chaque élément a sa propre signification, que l'auteur du blason y a mise, et parfois cette valeur ne coïncide pas avec celle conventionnellement "généralement acceptée".

1. RUBAN ALEXANDROVSKAYA- un ruban rouge utilisé dans les armoiries des régions, des cantons et dans les armoiries des chefs-lieux de comté.

2. RUBAN ANDREEV- ruban couleur bleue, utilisé dans les armoiries des villes de province, les armoiries des capitales et des villes de résidence temporaire des régnants.

3. RENFORT- décoration d'emblèmes et d'objets militaires et autres situés autour de l'écu ou derrière l'écu.

4. CRI DE BATAILLE- une exclamation, un appel en forme de dire sublime, le plus souvent de nature militante. Placé au-dessus des armoiries et de ses décorations supérieures sur un ruban.

5. BUREAU- une figure en forme de paquet de tissu aux couleurs alternées, reprenant les couleurs des armoiries. S'adapte sur un casque.

6. TAUREAU- un symbole de travail et de patience, de fertilité et d'élevage.

7. COURONNE- la base de la couronne en forme de cerceau.

8. MONOGRAMME- plexus décoratif figuré d'une ou plusieurs lettres avec ou sans chiffre, en rapport avec le blason.

9. L'ENVOL- la position de l'oiseau avec les ailes relevées.

10. CROIX EN FORME DE FOURCHE- une figure héraldique honorifique formée par la fusion au centre de l'écu de deux bandes émergeant des angles supérieurs de l'écu, et d'une bande émergeant du milieu du bord inférieur de l'écu.

11. En hausse- la position de la figure, lorsqu'une partie seulement de la figure principale s'élève au-dessus de la ligne horizontale.

12. LOUP- un symbole de cupidité, de colère et de gourmandise. Placé dans des armoiries en signe de victoire sur un ennemi cupide et maléfique.

13. LIBERTÉ- une figure héraldique honorifique en forme de rectangle dans l'un des angles de l'écu. Sa taille est déterminée par l'aire de la figure, appelée croix droite. La partie libre est utilisée dans les armoiries des villes, où l'emblème de la province ou de la région est placé.

14. RÉCUPÉRATION- la position de l'animal debout sur ses pattes arrière lorsqu'il jambe droite devant et à gauche derrière. Symbolise la volonté d'attaquer l'ennemi ou la proie. Si le texte de la description des armoiries indique qu'il y a un lion dans le champ du bouclier, cela signifie qu'il est représenté dans cette position.

15 .CORBEAU- un symbole de prévoyance et de longévité.

16. HARPIE- un oiseau femelle avec la tête et la poitrine d'une femme, le corps et les ailes d'un aigle et des griffes de fer. Un symbole de passions vicieuses dégoûtantes. Placé dans des armoiries en signe de victoire sur un ennemi de base.

17. RUBAN GEORGIEVSKAYA- Ruban avec trois bandes noires et deux oranges. Il fut utilisé comme élément de décoration dans les armoiries des villes fortifiées qui se distinguèrent lors du siège par l'ennemi.

18. HERALDIE- la science de la compilation, de la description et du déchiffrement des armoiries. L'héraldique a ses propres règles, terminologie, sémantique et symboles, qui permettent non seulement de décrire brièvement et clairement les armoiries, mais également de procéder à un examen des armoiries.

19. MÉTAUX HÉRALDIQUES- or et argent. L'or est représenté en jaune ou avec de nombreux points sur la surface. L'argent est représenté en blanc.

20. HÉRALDIQUE FOURRURE- écureuil et hermine. Selon la couleur et la position des figures stylisées représentant la fourrure, il existe une grande variété de types de ces fourrures.

21. PERSONNAGES HÉRALDIQUES- des figures géométriques occupant une certaine partie de l'écu et représentant une zone pour y placer d'autres figures. Les figures héraldiques sont divisées en honoraires et secondaires. Parmi les honoraires, on distingue la tête, la ceinture, le pilier, le bandeau, le chevron, la croix droite, la croix oblique, la croix fourchue, l'extrémité, la bordure, la partie libre, le quart et le bouclier moyen.

22. COULEURS HÉRALDIQUES- bleu (azur), vert, rouge (écarlate), violet et noir. Les figures non héraldiques peuvent être représentées en couleur naturelle.

23. BLASON- l'image totale des figures conditionnelles ou naturelles, compilée sur la base des règles de l'héraldique.

24. ARMOIRE- un livre d'armoiries, qui contient une collection d'armoiries avec leur description et leurs données généalogiques.

25. CHAPITRE- une figure héraldique honorifique sous la forme d'une bande horizontale large de 2/7 de l'écu, adjacente au bord supérieur de l'écu.

26. BLEU COULEUR- symbolise la beauté, la grandeur, la fidélité, la confiance, l'impeccabilité, ainsi que le développement, le mouvement vers l'avant, l'espoir, le rêve. Représenté par des lignes horizontales.

27. COLOMBE- un symbole d'humilité et de pureté, le Saint-Esprit.

28. GRIFFON- un oiseau monstrueux avec un bec d'aigle et un corps de lion. Symbolise la puissance, la puissance, la vigilance, la vitesse et la force.

29. DEVISE- un dicton expressif, un aphorisme qui a une relation directe ou allégorique avec le propriétaire des armes. Placé sur une bande étroite sous ou au-dessus du bouclier. La couleur du ruban et des lettres doit correspondre à la couleur ou au métal des armoiries.

30. MAIN- main droite avec index et majeur tendus. Symbolise la fidélité à un serment, un serment, une promesse.

31. DRAGONS- une créature fantastique avec la tête et les pattes d'un aigle, une langue en forme de dard, le corps d'un serpent, des ailes chauve souris et queue annelée épaisse. Symbolise la force et la puissance. Comme un serpent (serpent), que le cavalier frappe, symbolise le mal et la confusion.

32. CHÊNE FEUILLE- symbolise la force, la puissance, la force, la lutte et la victoire. Des feuilles de chêne ont été placées dans les armoiries des provinces.

33. LICORNE- un animal mythique avec le corps d'un cheval et une longue corne sur le front. Symbolise la force, l'invincibilité, l'intimidation. Dans le christianisme, c'est un symbole de pureté et de virginité.

34. GRUE- un symbole de vigilance.

33. VERT- symbolise l'abondance, la fertilité, la joie, la liberté, la paix et la paix. Représenté par des lignes diagonales de droite à gauche.

36. MIROIR- un symbole de prudence et de puissance publique, d'accomplissement honnête du devoir public, de véracité et de pureté des pensées.

37. SERPENT- un symbole de sagesse, de gentillesse et de précaution. Un serpent recroquevillé dans un anneau est un symbole de santé ; tenant une queue dans sa bouche - symbole d'éternité, d'infini, d'immortalité; rampant - un symbole de tristesse; boire dans une tasse est un symbole de guérison, de médecine.

38. OR- symbolise la justice, la miséricorde et l'humilité, ainsi que la richesse, la noblesse, l'indépendance.

39. SANGLIER- un symbole d'intrépidité et de puissance.

40. CADUCÉE(bâton de Mercure) - un bâton enlacé de serpents qui se regardent. Symbole du commerce, de l'abondance, de l'esprit vif, de l'éloquence et de la diligence dans le travail, de la résolution pacifique des différends.

41. FRONTIÈRE- une figure héraldique honoraire sous la forme d'une bande courant sur tout le pourtour de l'écu.

42. OREILLE- symbolise l'agriculture, la richesse de la terre. Il a été placé dans les armoiries des villes et villages distingués par l'agriculture.

43. COURONNE- symbolise la domination et le pouvoir. De nombreuses couronnes différentes sont utilisées dans les armoiries : antiques, seigneuriales, ducales, comtales, nobles, impériales et bien d'autres. Dans les armoiries des villes, les couronnes murales (tours) étaient également largement utilisées, différant par la couleur et le nombre de dents: or dans les armoiries de la province, argent dans les armoiries des chefs-lieux. Une couronne de tour à cinq dents - dans les emblèmes des villes de plus de 50 000 habitants, à trois dents - dans les emblèmes des villes de moins de 50 000 habitants.

44. CROIX OBLIQUE- une figure héraldique honorifique, formée de deux bandes diagonales 2/7 de la largeur de l'écu, émergeant des angles de l'écu. Une telle croix est aussi appelée St. Andrew's.

45. CHAT est un symbole d'indépendance.

46. ​​ROUGE- symbolise l'amour, le courage, le courage, la générosité, ainsi que le sang versé pour la foi, le souverain, la patrie.

47. CROIX- un symbole du christianisme et de la fidélité à ses quatre vertus - modération, prudence, justice et courage. En tant que signe ancien - symbole du feu (le feu a été extrait en frottant deux bâtons), du salut et de la prospérité.

48. COURONNE DE LAURIER- un symbole d'inviolabilité, de gloire solide, de grandeur et de victoire.

49. LION- un symbole de puissance, de force, de courage et de générosité.

50. LÉOPARD- un symbole de persévérance, de courage et de courage au combat.

51. ÉCHELLE- un symbole de grandes opportunités de développement, de nouveaux moyens d'améliorer le bien-être.

52. PEIGNOIR- une cape en forme de cape ou de tente recouvrant les armoiries. Il est utilisé dans les armoiries des souverains, des princes et des princes. Fabriqué à partir de velours cramoisi foncé doublé de fourrure d'hermine et garni de franges dorées. Les coins supérieurs du manteau sont attachés avec des cordons d'or avec des glands.

53. OURS- un symbole de prévoyance et de force.

54. ÉPÉE- une arme ancienne sous la forme d'un long couteau à double tranchant avec un manche et une poignée. Il symbolise la volonté de défendre la patrie, le clan, la ville contre les ennemis, ainsi que la participation aux batailles. Les emblèmes représentent souvent la soi-disant épée ardente (flamboyante) - un symbole non seulement des armes militaires, mais aussi des armes spirituelles, qui symbolisent l'illumination, la lumière, la bonté.

55. MARTEAU- symbolise le travail acharné des artisans et des ouvriers. Placé dans les armoiries des villes distinguées par la production industrielle.

56. LIVRE- une composition d'ornements en forme de feuilles bizarres, interconnectées et sortant de la partie supérieure du casque à droite et à gauche. Représenté avec de l'émail sur le dessus et du métal sur le dessous.

57. SERTIR- une figure posée sur un casque, une couronne ou au-dessus d'une buralette. Il symbolisait une distinction particulière parmi les chevaliers. Comme crête, des figures ont été utilisées, généralement répétées dans un bouclier, ainsi que des plumes d'autruche ou de paon et plus encore.

58. PERSONNAGES NON HÉRALDIQUES- fantastique, ainsi que des figures tirées de la vie, créées par la nature ou l'homme. Représenté dans des armoiries aux couleurs naturelles.

59. MOUTON- un symbole de douceur, de gentillesse et de vie rurale.

60. FIN- une figure héraldique honorifique formée par une ligne reliant les bords latéraux de l'écu à une hauteur égale aux 2/7 de la largeur de l'écu. Le bord inférieur de la pointe coïncide avec le bord inférieur du bouclier.

61. CERF- un symbole d'un guerrier devant lequel l'ennemi court.

62. BRANCHE D'OLIVIER- un symbole de paix et de prospérité.

63. AIGLE- un symbole de pouvoir, de domination, d'indépendance, de force, ainsi que de générosité et de perspicacité. L'aigle russe à deux têtes est un symbole de l'unité des parties européenne et asiatique de la Russie, la continuité du christianisme de Byzance, un symbole du pouvoir suprême.

64. PAON- un symbole de vanité et de vanité. Il a été placé dans les armoiries en signe de victoire sur un fier ennemi.

65. PÉLICAN- un symbole d'altruisme et d'abnégation, d'assistance et de soins caritatifs.

66. BANDE- une figure héraldique honorifique sous la forme d'une bande diagonale de 2/7 de la largeur de l'écu, allant en diagonale du coin supérieur de l'écu vers le bas, de sorte que le baudrier peut être à droite ou à gauche.

67. CROISÉ- le champ de l'écu, divisé au milieu par une ligne horizontale.

68. BITE- un symbole d'éveil, de vigilance, une garde fidèle, un symbole de combat, de combat, de lutte. Le coq symbolise aussi le principe actif masculin, la force et l'énergie.

69. CROISSANT- un demi-cercle avec une partie médiane concave. Peut être représenté avec un profil humain. Symbolise la victoire sur l'islam ou la connexion avec lui.

70 .PERSONNEL- un symbole de puissance spirituelle et de sainteté.

71. CEINTURE- une figure héraldique honorifique sous la forme d'une bande de 2/7 de la largeur de l'écu, courant horizontalement au milieu de l'écu.

72. TOUT DROIT TRAVERSER- une figure héraldique honorifique formée de deux bandes 2/7 de la largeur de l'écu, émergeant du milieu des bords opposés de l'écu.

73. VIOLET- un symbole de dignité, de piété, de modération, de générosité et de domination suprême. Représenté par des lignes diagonales de gauche à droite.

74. ABEILLE- un symbole de travail acharné et d'infatigabilité.

75. FOURCHE SÉPARÉE- divisant l'écu par trois lignes partant des angles supérieurs et du milieu du bord inférieur de l'écu et convergeant vers le centre de l'écu.

76. FORME GONTO SÉPARÉE- division de l'écu en rectangles par quatre lignes verticales et trois lignes horizontales.

77. QUATRE PARTIES SÉPARÉES- division de l'écu en quatre parties par des lignes partant du milieu des bords opposés de l'écu.

78. OISEAU DE PARADIS (GAMAYUN)- l'oiseau mythique du bonheur. Il symbolise aussi la paix, la richesse, la prospérité, la grandeur. En Russie, les choses étaient également considérées comme un oiseau. Il est associé à d'étonnantes traditions et légendes remontant à la profonde antiquité de l'Orient.

79. DISCUTE- diviser le bouclier en deux par une ligne verticale.

80. BOUGIE- un symbole de service désintéressé à la cause, à la création et à la libération. Dans le christianisme, le feu des bougies est un symbole du Christ. Une bougie éteinte est un symbole de mort.

81. DÉFILEMENT- un symbole d'érudition, d'attitude envers la grande science.

82. MAIN D'ÉPÉE- un symbole de fidélité au devoir militaire.

83. SAINTE- une figure d'une forme en forme de tente ou en forme de dais, représentée dans les armoiries sur le manteau. Il est représenté en couleur or, éteint avec une frange et couronné d'une couronne.

84. ARGENT- métal héraldique représenté en blanc. Un symbole de foi, de pureté, de sincérité, de sincérité, de noblesse, de franchise et d'innocence.

85. SCEPTRE- une figure en forme de baguette avec une pointe sur le dessus. Symbolisant le pouvoir suprême du monarque, il était représenté dans les emblèmes des capitales et des villes de résidence permanente des régnants.

86. BISEAUTÉ- division de l'écu par une ligne diagonale passant du coin supérieur de l'écu au coin inférieur. Selon la direction et le nombre de lignes diagonales, le bouclier peut être biseauté à gauche, à droite ou en quatre parties.

87. CHIEN- un symbole de loyauté, de dévouement, de vigilance et d'obéissance. Rarement - un symbole de guérison (lécher les plaies).

88. CHOUETTE- un symbole de sagesse, d'ingéniosité et de rapidité.

89. FAUCON- un symbole de courage, d'intelligence et de beauté.

90. SOLEIL- un symbole de vérité, de providence, de richesse et d'abondance.

91. PILIER- une figure héraldique honorifique sous la forme d'une bande verticale de 2/7 de la largeur de l'écu, passant au milieu de l'écu.

92. Chevron- une figure héraldique honorifique formée de deux bandes 2/7 de la largeur de l'écu, émergeant des angles inférieurs de l'écu et se raccordant au milieu du bord supérieur de l'écu.

93. TORCHE- un symbole de vérité, le désir de savoir, la brûlure spirituelle et le désir de créer, la volonté de se sacrifier. Une torche inclinée vers le sol est un symbole de mort.

94. PHÉNIX- un oiseau mythique renaît du feu et des cendres. Symbole de renaissance et d'immortalité.

95. QUARTIER- une figure héraldique honoraire sous la forme d'un rectangle formé par deux lignes émergeant du milieu des deux côtés adjacents de l'écu.

96. NOIR- un symbole d'éducation, de modestie, de prudence, de constance dans les épreuves, de chagrin et de tristesse. Représenté par des lignes verticales et horizontales qui se croisent.

97. CASQUE- un symbole d'appartenance à une famille titrée. Les armoiries utilisaient les casques des plus diverses formes pour indiquer le titre du propriétaire des armoiries : princier, comtal, noble et bien d'autres. Un ancien casque russe a également été utilisé comme décoration.

98. BOUCLIER – figure géométrique sur lesquels sont apposés des emblèmes. Dans l'héraldique russe, le soi-disant bouclier français est adopté - une forme quadrangulaire avec des coins inférieurs arrondis, avec une netteté dans la partie médiane du bord inférieur du bouclier, avec un rapport largeur/hauteur de 7:8. Parmi les autres formes de bouclier, triangulaire (varègue), rond (anglais), ovale (italien), figuré (allemand), plat en haut et arrondi en bas (espagnol) et bien d'autres se distinguent.

99. SUPPORTS DE BOUCLIER- des personnages représentés sur les côtés du bouclier et, pour ainsi dire, le soutenant. Il peut s'agir d'images d'une personne, de saints, d'animaux, ainsi que de créatures fantastiques. Les supporters sont représentés dans des couleurs naturelles. Ils peuvent répéter les chiffres placés dans le bouclier ou avoir quelque chose à voir avec le propriétaire - par exemple, ils peuvent représenter les subordonnés des armoiries, ses patrons, la nationalité du propriétaire des armoiries, etc.

100. ŒUF- un symbole du début de tous les êtres vivants, de l'espoir et d'une nouvelle vie.