Citations de Conor Mcgregor. Les gens les plus agressifs du monde Nous, les Irlandais, ne sommes que plus forts que nous

Le tribunal de l'Oural est le tribunal le plus corrompu du monde. Souvenez-vous qu'à Uralkhimmash, la nuit après sa capture, Fedulev et le côté du directeur déchu se sont tous les deux agités d'une série de décisions de justice contradictoires ? Et c'était ainsi. Ils se sont montrés pas des faux.

Les Russes sont le peuple le plus agressif du monde. Sinon, comment le plus grand territoire du monde pourrait-il apparaître ? Je ne suis pas en mesure de faire une comparaison avec les Zoulous, mais je pense qu'ils ne seraient pas très bons s'ils vivaient près de chez nous. Cette déclaration peut vous provoquer une vive protestation - après tout, les Russes aiment parler d'eux-mêmes, à quel point nous sommes gentils, doux et moelleux. Cependant, les faits disent le contraire. Ce sentiment d'agressivité est particulièrement aigu au retour d'un voyage à l'étranger, notamment d'un pays bouddhiste. Dans de nombreux pays, vous pouvez traverser une foule de jeunes sans vous sentir harcelé, et dans la plupart des pays, personne n'aurait jamais pensé à avoir peur de la police. En République du Sri Lanka, la circulation est absolument folle, mais je n'ai pas vu d'affrontements ou d'accidents. Il convient également de rappeler que nous avons réussi à créer l'un des États les plus brutaux du monde.
Sur Radio C, Anna Romanova a présenté les résultats d'une enquête auprès des étrangers qui vivent dans notre pays depuis au moins deux ans. A la question : "Qu'est-ce que vous n'aimez pas le plus en Russie ?", la réponse s'est avérée être : les adolescents, les policiers, les chauffeurs.

L'agression vise principalement les leurs (Vladimir Tarasov possède l'expression : les Russes sont une nation avec une agression intraspécifique accrue). Nous sommes tous une seule famille, mais très querelleuse. Le moyen le plus simple et le plus clair de se débarrasser des illusions est de regarder le trafic, de regarder le style de conduite dominant. On compte environ 30 000 morts dans des accidents de la route chaque année (13 000 morts en Afghanistan pendant toute la période des hostilités), à titre de comparaison - en France 300 personnes par an. De plus, plus les routes sont bonnes, plus les gens meurent. Bien sûr, on peut blâmer les autorités, les non-chrétiens et les maçons pour tout ici, mais c'est plutôt un style d'attitude envers soi-même et envers les autres.

D'une manière ou d'une autre, je suis tombé sur une étude intéressante, bien qu'amateur, du comportement de nos conducteurs sur la route. Environ 40 % des conducteurs sont respectueux de la loi. 30% enfreignent les règles, mais ils sont sains d'esprit, vous pouvez leur parler, vous pouvez les convaincre. Un autre 30% sont des scumbags, rien ne les affecte, il est impossible d'être d'accord avec eux.
Il me semble que ce ratio n'existe pas seulement lors de la conduite d'une voiture. Si vous conduisez dans une rue à sens unique et qu'une voiture se dirige vers vous, essayez de dire quelque chose au conducteur.

Des traces d'agression apparaissent à la fois dans les rapports quotidiens et dans les statistiques. En Russie, 7 000 enfants par an meurent d'agressions par des parents ivres et mentalement déséquilibrés. Et des centaines de milliers d'enfants fuient leurs familles. Chaque année, 15 000 femmes meurent à la suite de disputes familiales avec des hommes. Et 4000 hommes sont tués par des femmes dans de tels combats.
Le niveau de violence en Russie, selon le classement de l'Organisation mondiale de la santé, était le plus élevé parmi les 53 pays dans lesquels l'étude a été menée. Dans notre pays, 15,85 jeunes sur 100 000 meurent des suites d'un meurtre. Dans le même temps, près de la moitié de tous ceux qui sont morts en Russie (dans le groupe d'âge de 10 à 29 ans) sont morts de coups de couteau. L'Albanie occupe la deuxième place - 11,2 pour 100 000 habitants. Sur le troisième - Kazakhstan - 10,66 pour 100 000 habitants. Le taux de mortalité le plus bas chez les adolescents et les jeunes de causes violentes est en Allemagne - 0,47 pour 100 000 habitants, en Arménie - 0,5 et en Autriche - 0,54. Ceci est indiqué dans le rapport "Sur la prévention de la violence et de la criminalité associée aux couteaux chez les adolescents et les jeunes", préparé par le Bureau régional de l'OMS pour l'Europe. Les auteurs de l'étude pensent que les conflits interpersonnels deviennent le plus souvent la raison des coups de couteau. Il est à noter que 9 meurtres sur 10 enregistrés en Europe se produisent dans la Fédération de Russie. http://news.mail.ru/incident/4474879/

Face à un refus ou à une interdiction, une partie importante des Russes ne se contrôlent pas et sont capables de tout. En participant à une confrontation, vous devez toujours vous rappeler de la probabilité que l'adversaire obtienne une arme.

Un passager clandestin qui a sauté par-dessus un tourniquet à la gare de Yaroslavsky à Moscou a blessé un employé d'une société de sécurité privée qui tentait de l'arrêter.
« Au moment de la détention, le passager clandestin a sorti un pistolet traumatique et a ouvert le feu pour tuer. En conséquence, un employé de la société de sécurité privée, né en 1978, a reçu une blessure dangereuse à la poitrine et a été hospitalisé.

«Dans le métro de Moscou, une querelle a éclaté entre deux groupes de jeunes, au cours de laquelle une fille a sorti un couteau et blessé quatre passagers - trois hommes et une femme. La jeune fille et son compagnon ont été arrêtés, maintenant ils sont au poste de police, où ils font l'objet d'une enquête et la question de l'ouverture d'une affaire pénale est en cours de décision », a noté le représentant de la Direction centrale des affaires intérieures.

Selon une source des forces de l'ordre à Moscou, samedi matin sur le Garden Ring près de la gare de Koursk, un agent de la police de la circulation a arrêté une voiture étrangère pour vérifier des documents, dont le conducteur présentait des signes évidents d'ébriété. « L'homme a refusé de se soumettre à un examen médical et n'a pas permis à l'agent de la circulation de rédiger un procès-verbal sur une infraction administrative. Après cela, il a frappé l'inspecteur de la circulation à plusieurs reprises au visage, mais a été arrêté par les collègues du policier », a déclaré la source. L'agresseur a été emmené au poste de police de Tagansky. La source a également déclaré que le détenu avait sur lui des documents pour un officier du FSB.

L'agression n'est pas seulement une violence directe, l'agression se manifeste aussi par l'incapacité catégorique de négocier entre eux, empêchant l'autre de se développer normalement.
Il existe cinq journaux municipaux de langue anglaise à New York, dont un NYT est en fait un journal national. Dans le même temps, il existe environ 20 journaux de bas niveau en langue russe dans la ville. (Permettez-moi de ne pas comparer le nombre d'habitants anglophones et russophones de la métropole). Dans les années 90, huit studios de télévision se sont organisés et se sont battus pour le budget publicitaire de la région de Sverdlovsk, à une époque où ce budget était en fait suffisant pour le fonctionnement normal de deux ou trois studios.

Une pratique courante dans le pays est lorsqu'un employé, quittant l'entreprise, emmène la clientèle avec lui et que le responsable à qui vous avez demandé de créer l'entreprise en crée une similaire à proximité. La plupart des Russes ne cherchent pas à étendre et à continuer ce qu'ils ont déjà commencé, mais à recréer le leur, en faisant les mêmes erreurs, en marchant sur le même râteau.
La base de l'agression est notre attitude les uns envers les autres. Un journaliste étranger qui travaille depuis longtemps en Russie déclare : « En Russie, je ne demande jamais l'avis de quelqu'un sur ses collègues. A l'étranger, nous ne nous réjouissons pas de rencontrer nos concitoyens et évitons de telles rencontres, car nous voulons rompre avec le mode de communication adopté chez nous. Vous pouvez facilement être déclaré bâtard et bâtard simplement sur la base de votre intitulé de poste ou de votre lieu de travail.
Le policier est comme une grand-mère qui attend le train. - Vous avez donc un panier rempli de grèbes. Vous serez empoisonné ! - Non, fils, n'aie pas peur, je suis à vendre ! Pensez-vous que je parle? Dans la région de Sverdlovsk, il existe le concept de "Sumziki" - à tête rouge (comme on appelle les cèpes dans l'Oural), collectés sur les décharges de la fonderie de cuivre Sredneuralsky pour la vente, ils ne sont jamais vermoulus.

Un style de comportement agressif est inhérent à tous les secteurs de la société. Voici le texte de l'annonce à l'entrée du territoire où la construction d'une église orthodoxe est en cours : « Pour les débiles et pour les cools – le stationnement est interdit ici – l'entrée sur le chantier ! ». Agression - tous les cas où une personne fait ce qui lui convient, sans se soucier de la commodité et de la sécurité des autres : parler au téléphone en conduisant, essayer de sauter la ligne.

L'opposition est encore plus agressive que les autorités - les affamés, nous devons nous frayer un chemin. Elle diffuse volontiers toute information non vérifiée, attisant les passions.

Notre politique étrangère s'inscrit dans la continuité de nos traits. La Russie vise constamment l'expansion et la capture, étant une source constante de tension dans le monde. Nous nous opposons constamment au monde entier et essayons constamment de mesurer nos biceps. Une autre chose est que nous blâmer pour cela équivaut à blâmer un chat d'attraper des souris - c'est notre but.

Bien sûr, vivant constamment dans de telles conditions, les gens ont développé des mécanismes pour atténuer le problème. Si dans le Caucase, la vendetta est le moyen de contenir l'agression, alors en Russie, c'est le pardon complet. Il semblerait qu'il soit impossible de pardonner à une personne dans tous les cas, mais à un moment donné, elle pardonne et tout s'arrête. Un autre mécanisme bien connu est l'adressage par le nom et le patronyme. Dans ce cas, deux autres personnes sont invisiblement présentes pendant la communication, aidant à maintenir la situation dans des limites.

Dans l'histoire de toute nation, il y a des périodes de guerres et d'expansions. En même temps, on peut distinguer les peuples les plus guerriers du monde, pour qui la cruauté et le militantisme sont devenus partie intégrante de leur culture. Des générations entières de guerriers ont grandi, pour qui les batailles sont devenues le sens principal de leur vie. À propos des tribus les plus célèbres de cette liste - dans cet article.

Maori

Les Maoris peuvent être attribués aux peuples les plus guerriers du monde. C'est une tribu qui vivait en Nouvelle-Zélande. Son nom en traduction littérale signifie "ordinaire", mais en réalité, bien sûr, il n'y a rien d'ordinaire en eux. L'un des premiers Européens à rencontrer les Maoris fut Charles Darwin. Cela s'est produit lors de son voyage sur le navire "Beagle". Un érudit anglais a souligné leur cruauté sans précédent, qui était particulièrement prononcée à l'égard des Britanniques et des Blancs en général. Les Maoris ont dû se battre à plusieurs reprises avec eux pour leurs territoires.

On pense que les Maoris sont autochtones, leurs ancêtres sont arrivés sur l'île il y a environ deux mille ans en provenance de la Polynésie orientale. Jusqu'à ce que les Britanniques atteignent la Nouvelle-Zélande au milieu du XIXe siècle, les Maoris n'avaient aucun rival sérieux. Ce n'est que de temps en temps qu'il y avait des guerres intestines avec les tribus voisines.

Au cours de ces siècles, des traditions et des coutumes se sont formées, qui sont ensuite devenues caractéristiques de la plupart des tribus polynésiennes. Ils sont inhérents aux peuples les plus guerriers du monde. Ainsi, les têtes des prisonniers ont été coupées et les corps ont été complètement mangés. Il y avait un moyen d'enlever la force de l'ennemi. Soit dit en passant, les Maoris ont participé à deux guerres mondiales, contrairement au reste des aborigènes australiens.

De plus, pendant la Seconde Guerre mondiale, leurs représentants ont insisté pour que leur propre bataillon soit formé. Il y a un fait remarquable à propos de la Première Guerre mondiale. Au cours de l'une des batailles, ils ont chassé l'ennemi uniquement en exécutant leur danse de combat appelée haku. Cela s'est produit lors de l'opération offensive sur la péninsule de Gallipoli. La danse était traditionnellement accompagnée de terribles grimaces et de cris guerriers, qui décourageaient simplement l'ennemi, donnant aux Maoris un avantage significatif. Par conséquent, il est prudent d'appeler les Maoris l'un des peuples les plus guerriers du monde dans l'histoire.

Gurkha

Les Gurkhas népalais sont un autre peuple combattant, qui s'est également rangé du côté de la Grande-Bretagne dans de nombreuses guerres. Ils ont reçu la définition de l'un des peuples les plus belliqueux du monde à l'époque où leur pays restait une colonie britannique.

Selon les Britanniques eux-mêmes, qui ont dû beaucoup se battre avec les Gurkhas, au combat, ils se distinguaient par un courage, une agressivité, une force physique, une autonomie et une capacité à abaisser le seuil de douleur sans précédent. Même l'armée britannique a dû se rendre sous la pression des Gurkhas, armés uniquement de couteaux. Dès 1815, une campagne à grande échelle est lancée pour recruter des volontaires parmi les Gurkhas dans les rangs de l'armée britannique. Assez rapidement, ils ont gagné la gloire des meilleurs soldats du monde.

Les Gurkhas ont participé aux Première et Seconde Guerres mondiales, à la répression du soulèvement sikh, à la guerre en Afghanistan, ainsi qu'au conflit entre la Grande-Bretagne et l'Argentine au sujet des îles Falkland. Et aujourd'hui, les Gurkhas restent parmi les combattants d'élite de l'armée anglaise. De plus, la compétition pour entrer dans ces unités militaires d'élite est tout simplement énorme : 140 personnes par place.

Même les Britanniques eux-mêmes ont déjà admis que les Gurkhas sont de meilleurs soldats qu'eux. Peut-être parce qu'ils ont une motivation plus forte, mais les Népalais eux-mêmes affirment que l'argent n'a absolument rien à voir avec cela. L'art martial est quelque chose dont ils peuvent vraiment être fiers, ils sont donc toujours heureux de le démontrer et de le mettre en pratique.

Dayak

La liste des peuples guerriers du monde comprend traditionnellement les Dayaks. C'est un exemple de la façon dont même une petite nation ne veut pas s'intégrer dans le monde moderne, essayant par tous les moyens de préserver ses traditions, qui peuvent être complètement éloignées des valeurs humaines et de l'humanisme.

La tribu Dayak a acquis une terrible réputation sur l'île de Kalimantan, où ils sont considérés comme des chasseurs de primes. Le fait est que, selon les coutumes de ce peuple, seul celui qui apporte la tête de son ennemi à la tribu est considéré comme un homme. Cette situation chez les Dayaks a persisté jusqu'au début du XXe siècle.

Littéralement, le nom de ce peuple se traduit par "païens". C'est un groupe ethnique qui comprend les peuples de l'île de Kalimantan en Indonésie. Certains représentants des Dayaks vivent encore dans des endroits difficiles d'accès. Par exemple, vous ne pouvez vous y rendre qu'en bateau, la plupart des réalisations de la civilisation moderne leur sont inconnues. Ils préservent leur culture et leurs traditions anciennes.

Les Dayaks ont de nombreux rituels sanguinaires, c'est pourquoi ils ont été inclus dans la liste des peuples guerriers du monde. La coutume de chasser les têtes humaines persista longtemps, jusqu'à ce que l'Anglais Charles Brooks, issu des rajahs blancs, réussisse à influencer un peuple qui ne connaissait pas d'autre moyen de devenir un homme que de trancher la tête de quelqu'un.

Brooks a capturé l'un des chefs les plus guerriers de la tribu Dayak. Utilisant à la fois un bâton et une carotte, il a réussi à mettre tous les Dayaks sur un chemin pacifique. Certes, les gens ont continué à disparaître sans laisser de trace après cela. On sait que la dernière vague de massacres a balayé l'île dans la période 1997-1999. Puis toutes les agences de presse du monde ont rapporté le cannibalisme rituel à Kalimantan, les jeux de petits enfants à tête humaine.

Kalmouks

Les Kalmouks sont considérés comme l'un des plus belliqueux. Ce sont des descendants de Mongols occidentaux. Leur nom propre est traduit par "échappée", ce qui laisse entendre que les gens ne se sont jamais convertis à l'islam. Actuellement, la plupart des Kalmouks vivent sur le territoire de la république du même nom.

Leurs ancêtres, qui se faisaient appeler Oirats, vivaient à Djungraiya. C'étaient des nomades guerriers et épris de liberté, que même Gengis Khan ne pouvait pas soumettre. Pour cela, il a même exigé de détruire complètement l'une des tribus. Au fil du temps, les guerriers Oirat sont néanmoins devenus une partie des troupes du célèbre commandant, et beaucoup d'entre eux se sont mariés avec les Gengisides. Les Kalmouks modernes ont donc toutes les raisons de se considérer officiellement comme des descendants de Gengis Khan.

Au 17ème siècle, les Oirats quittèrent Dzungaria, firent une grande transition, atteignant les steppes de la Volga. En 1641, la Russie a officiellement reconnu le khanat kalmouk, après quoi les kalmouks ont commencé à servir de manière permanente dans l'armée russe.

Il existe même une version selon laquelle le célèbre cri de guerre "hourra" vient du mot kalmouk "ouralan", qui signifie littéralement "en avant" dans notre langue. Dans le cadre de l'armée russe, les Kalmouks se sont particulièrement distingués lors de la guerre patriotique de 1812. Trois régiments kalmouks se sont battus contre les Français à la fois, soit environ trois mille cinq cents personnes. Selon les résultats d'une seule bataille de Borodino, 260 Kalmouks ont reçu les ordres les plus élevés de Russie.

Kurdes

Dans l'histoire du monde, les Kurdes sont généralement appelés parmi les peuples les plus belliqueux. Avec les Perses, les Arabes et les Arméniens, ce sont les peuples les plus anciens du Moyen-Orient. Au départ, ils vivaient dans la région ethno-géographique du Kurdistan qui, après la Première Guerre mondiale, était divisée entre eux par plusieurs États à la fois : Iran, Turquie, Irak et Syrie. Aujourd'hui, les Kurdes n'ont pas leur propre territoire légal.

Selon la plupart des chercheurs, leur langue appartient au groupe iranien, alors qu'il n'y a pas d'unité parmi les Kurdes en termes de religion. Parmi eux se trouvent des musulmans, des chrétiens et des juifs. En grande partie à cause de cela, il est extrêmement difficile pour les Kurdes de s'entendre entre eux.

Cette caractéristique de ce peuple guerrier a été notée par Erikson, docteur en sciences médicales, dans son ouvrage sur l'ethnopsychologie. Il a également affirmé que les Kurdes sont sans pitié envers leurs ennemis et en même temps très peu fiables en amitié. En réalité, ils ne respectent que leurs aînés et eux-mêmes. Leur moralité est à un niveau très bas. En même temps, les superstitions sont très répandues, mais le sentiment religieux est extrêmement peu développé. La guerre est un de leurs besoins innés, qui absorbe toute leur attention et leurs intérêts.

Histoire moderne des Kurdes

Notons qu'il est difficile de juger de l'applicabilité de cette thèse aux Kurdes d'aujourd'hui, puisque Erickson a mené ses recherches au début du XXe siècle. Mais le fait demeure : les Kurdes n'ont jamais vécu sous un gouvernement centralisé. Comme le note le professeur de l'Université kurde de Paris Sadrin Aleksi, chaque Kurde se considère comme un roi sur son propre chagrin, à cause de cela, ils se disputent souvent entre eux, les conflits naissent souvent d'un endroit absolument vide.

Paradoxalement, avec toute cette intransigeance, les Kurdes rêvent surtout de vivre dans un État centralisé. Ainsi, la soi-disant question kurde reste actuellement l'une des plus aiguës de tout le Moyen-Orient. Des troubles surgissent régulièrement, au cours desquels les Kurdes tentent d'accéder à l'autonomie en s'unissant dans un État indépendant. De telles tentatives ont été faites depuis 1925.

La situation s'est particulièrement aggravée au milieu des années 1990. De 1992 à 1996, les Kurdes ont lancé une guerre civile à grande échelle dans le nord de l'Irak, maintenant la situation instable demeure en Iran et en Syrie, où des conflits armés et des affrontements se produisent de temps à autre. À l'heure actuelle, il n'y a qu'une seule formation d'État des Kurdes avec les droits d'une large autonomie - c'est

Allemands

Il est largement admis que les Allemands sont un peuple guerrier. Mais si vous examinez les faits, il s'avère que c'est une illusion. La réputation de l'Allemagne a été grandement gâchée au XXe siècle, lorsque les Allemands ont déclenché deux guerres mondiales à la fois. Si nous prenons l'histoire de l'humanité sur une période plus longue, la situation sera complètement opposée.

Par exemple, l'historien russe Pitirim Sorokin a mené une étude intéressante en 1938. Il a essayé de répondre à la question quels pays européens se sont battus plus souvent que d'autres. Il a pris la période du 12e siècle au début du 20e siècle (1925).

Il s'est avéré que dans 67% de toutes les guerres qui ont eu lieu pendant cette période, les Espagnols ont participé, à 58% - Polonais, à 56% - Britanniques, à 50% - Français, à 46% - Russes, à 44% - Néerlandais, dans 36% - Italiens. Les Allemands en 800 ans n'ont participé qu'à 28% des guerres. C'est moins que tout autre État leader en Europe. Il s'avère que l'Allemagne est l'un des pays les plus pacifiques, qui n'a commencé à faire preuve d'agression et de militantisme qu'au XXe siècle.

irlandais

On pense que les Irlandais sont un peuple guerrier. C'est une nation qui descend des Celtes. Les historiens affirment que les premiers peuples sont apparus sur le territoire de l'Irlande moderne il y a environ neuf mille ans. On ne sait pas qui étaient ces premiers colons, mais ils ont laissé derrière eux plusieurs structures mégalithiques. Les Celtes ont colonisé l'île au début de notre ère.

La famine de 1845-1849 devient décisive dans le sort du peuple irlandais. En raison de l'échec massif des récoltes, environ un million d'Irlandais sont morts. Dans le même temps, à partir des domaines appartenant aux Britanniques, ils ont continué pendant tout ce temps à exporter des céréales, de la viande et des produits laitiers.

Les Irlandais ont émigré en masse vers les États-Unis et les colonies d'outre-mer de la Grande-Bretagne. Depuis lors jusqu'au milieu des années 1970, la population irlandaise a régulièrement diminué. De plus, l'île sur laquelle les gens vivaient était divisée. Seule une partie est devenue une partie de la République d'Irlande, l'autre est restée au Royaume-Uni. Pendant des décennies, les catholiques irlandais ont mené une résistance contre les colons protestants, recourant souvent à des méthodes terroristes, pour lesquelles les Irlandais sont inclus dans les principales nations guerrières.

IRA

Depuis 1916, un groupe paramilitaire appelé l'Armée républicaine irlandaise a commencé à opérer. Son objectif principal était la libération complète de l'Irlande du Nord de la domination britannique.

L'histoire de l'IRA a commencé avec le soulèvement de Pâques à Dublin. De 1919 à 1921, la guerre d'indépendance irlandaise contre l'armée britannique se poursuit. Son résultat fut l'accord anglo-irlandais, dans lequel la Grande-Bretagne reconnaissait l'indépendance de la République d'Irlande, tout en conservant l'Irlande du Nord.

Après cela, l'IRA est entrée dans la clandestinité, lançant la tactique des attaques terroristes. Les militants du mouvement sont constamment dans les bus, près des ambassades britanniques. En 1984, il y a eu une tentative d'assassinat contre le Premier ministre britannique Margaret Thatcher. Une bombe a explosé dans un hôtel de Brighton où se tenait une conférence conservatrice. 5 personnes ont été tuées, mais Thatcher elle-même n'a pas été blessée.

En 1997, la dissolution de l'IRA a été annoncée, l'ordre d'arrêter la lutte armée a été émis en 2005.

Les peuples guerriers du Caucase sont bien connus en Russie. Tout d'abord, nous parlons des Vainakhs. En fait, ce sont des Ingouches et des Tchétchènes modernes, qui ne laissent pas une marque moins brillante dans l'histoire moderne que leurs lointains ancêtres.

Les Vainakhs ont offert une résistance héroïque aux armées de Gengis Khan et de Timur, se retirant dans les montagnes. Puis leur célèbre architecture défensive a été construite. Une confirmation idéale de cela est les forteresses et les tours de guet du Caucase.

Maintenant vous savez quels peuples sont les plus belliqueux.

Toute nation traverse une période de guerres actives et d'expansions. Mais il y a des tribus dans lesquelles le militantisme et la cruauté font partie intégrante de leur culture. Ce sont des guerriers idéaux sans peur ni moralité.

Le nom de la tribu néo-zélandaise "Maori" signifie "ordinaire", même si, en vérité, il n'y a rien d'ordinaire à leur sujet. Même Charles Darwin, qui les a rencontrés lors de son voyage sur le Beagle, a noté leur cruauté, en particulier envers les blancs (anglais), avec lesquels ils se sont battus pour le territoire pendant les guerres maories.

Les Maoris sont considérés comme le peuple indigène de Nouvelle-Zélande. Leurs ancêtres ont navigué vers l'île il y a environ 2000 à 700 ans depuis la Polynésie orientale. Avant l'arrivée des Britanniques au milieu du XIXe siècle, ils n'avaient pas d'ennemis sérieux, ils "s'amusaient" principalement avec les conflits civils.

Pendant ce temps, leurs coutumes uniques, caractéristiques de nombreuses tribus polynésiennes, se sont développées. Par exemple, ils coupaient la tête des ennemis capturés et mangeaient leur corps - c'est ainsi que, selon leurs croyances, la force de l'ennemi leur était transmise. Contrairement à leurs voisins - les Aborigènes d'Australie - les Maoris ont participé à deux guerres mondiales.

On sait que pendant la Première Guerre mondiale, avec l'aide de leur haka de danse de combat, ils ont forcé l'ennemi à battre en retraite lors d'une opération offensive sur la péninsule de Gallipoli. Ce rituel était accompagné de cris guerriers, de piétinements et de grimaces effrayantes, qui décourageaient littéralement les ennemis et donnaient un avantage aux Maoris.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Maoris eux-mêmes ont insisté sur la formation de leur propre 28e bataillon.

Les Gurkhas népalais sont un autre peuple guerrier qui a également combattu aux côtés des Britanniques. À l'époque coloniale, les Britanniques les ont classés comme l'un des peuples « les plus militants » auxquels ils ont dû faire face. Selon eux, les Gurkhas se distinguaient par leur agressivité au combat, leur courage, leur autonomie, leur force physique et un seuil de douleur plus bas. Pour ces fiers guerriers, même une tape amicale sur l'épaule est considérée comme une insulte. Les Britanniques eux-mêmes ont dû se rendre sous la pression des Gurkhas, armés uniquement de couteaux.

Sans surprise, dès 1815, une campagne massive a été lancée pour recruter des volontaires Gurkha dans l'armée britannique. Des guerriers intrépides trouvèrent rapidement la gloire des meilleurs soldats du monde.

Ils ont réussi à participer à la répression du soulèvement sikh, aux guerres afghanes, des Première et Seconde Guerres mondiales, ainsi qu'au conflit des Malouines. Aujourd'hui, les Gurkhas sont toujours les combattants d'élite de l'armée anglaise. Ils sont tous recrutés au même endroit - au Népal. Et je dois dire que le concours, selon le portail de l'armée moderne, est fou - 28 000 candidats postulent pour 200 places.

Les Britanniques eux-mêmes admettent que les Gurkhas en tant que soldats sont meilleurs qu'eux-mêmes. Peut-être parce qu'ils sont plus motivés. Bien que les Népalais eux-mêmes se disputent, il ne s'agit pas du tout d'argent. Ils sont fiers de leur art martial et sont toujours heureux de le mettre en pratique.

Quand certains petits peuples s'intègrent activement dans le monde moderne, d'autres préfèrent préserver les traditions, même s'ils sont éloignés des valeurs de l'humanisme.

Par exemple, une tribu de Dayaks de l'île de Kalimantan, qui ont acquis une terrible réputation de chasseurs de têtes. Que pouvez-vous dire si, selon leurs traditions, vous ne pouvez devenir un homme qu'en prenant la tête de votre ennemi. C'était du moins le cas au XXe siècle. Le peuple Dayak (en malais - "païen") est un groupe ethnique qui unit les nombreux peuples habitant l'île de Kalimantan en Indonésie.

Parmi eux : Ibans, Kayans, Modangs, Segai, Trings, Inihings, Longvais, Longhats, Otnadoms, Serai, Mardahiks, Ulu-Aiers. Aujourd'hui encore, le seul moyen de rejoindre le lieu de résidence de certains d'entre eux est le bateau.

Les rituels sanguinaires des Dayaks et la chasse aux têtes humaines ont été officiellement arrêtés au 19ème siècle, lorsque le sultanat local a demandé à l'Anglais Charles Brooke de la dynastie White Raja d'influencer d'une manière ou d'une autre le peuple, dont les représentants ne connaissent pas d'autre moyen de devenir un homme, sauf pour couper la tête de quelqu'un.

Capturant les chefs les plus belliqueux, il semble avoir réussi à mettre les Dayaks sur une voie pacifique grâce à la politique de la carotte et du bâton. Mais les gens ont continué à disparaître sans laisser de trace. La dernière vague sanglante a balayé l'île en 1997-1999, lorsque toutes les agences mondiales ont crié au cannibalisme rituel et aux jeux des petits Dayaks à tête humaine.

Parmi les peuples de Russie, l'une des nationalités les plus guerrières sont les Kalmouks, les descendants des Mongols occidentaux. Leur nom propre est traduit par "échappés", Oirats signifie "ceux qui n'ont pas accepté l'islam". Aujourd'hui, la plupart d'entre eux vivent dans la République de Kalmoukie. Les nomades sont toujours plus agressifs que les agriculteurs.

Les ancêtres des Kalmouks, les Oirats, qui vivaient à Dzungaria, étaient épris de liberté et guerriers. Même Gengis Khan n'a pas immédiatement réussi à les maîtriser, pour lequel il a exigé la destruction complète de l'une des tribus. Plus tard, les guerriers Oirat sont devenus une partie de l'armée du commandant mongol, et beaucoup d'entre eux se sont mariés avec les Gengisides. Par conséquent, non sans raison, certains des Kalmouks modernes se considèrent comme des descendants de Gengis Khan.

Au 17ème siècle, les Oirats ont quitté Dzungaria et, après avoir fait une énorme transition, ont atteint les steppes de la Volga. En 1641, la Russie reconnut le khanat kalmouk et, à partir de ce moment, les kalmouks furent constamment recrutés dans l'armée russe. On dit que le cri de guerre "hurrah" était autrefois dérivé du kalmouk "uralan", qui signifie "en avant". Ils se sont particulièrement distingués lors de la guerre patriotique de 1812. Trois régiments kalmouks comptant plus de trois mille cinq cents personnes y ont participé. Pour la seule bataille de Borodino, plus de 260 Kalmouks ont reçu les plus hauts ordres de Russie.

Les Kurdes, avec les Arabes, les Perses et les Arméniens, sont l'un des peuples les plus anciens du Moyen-Orient. Ils vivent dans la région ethno-géographique du Kurdistan, qui après la Première Guerre mondiale a été divisée entre eux par la Turquie, l'Iran, l'Irak et la Syrie.

La langue des Kurdes, selon les scientifiques, appartient au groupe iranien. En termes religieux, ils n'ont pas d'unité - parmi eux, il y a des musulmans, des juifs et des chrétiens. Il est généralement difficile pour les Kurdes de s'entendre. Un autre docteur en sciences médicales E.V. Erickson a noté dans son travail sur l'ethnopsychologie que les Kurdes sont un peuple impitoyable envers l'ennemi et peu fiable en amitié : « Ils ne respectent qu'eux-mêmes et leurs aînés. Leur moralité est généralement très basse, la superstition est extrêmement grande et le véritable sentiment religieux est extrêmement peu développé. La guerre est leur besoin inné direct et absorbe tous les intérêts.

Il est difficile de juger de la pertinence de cette thèse, exprimée au début du XXe siècle, aujourd'hui. Mais le fait qu'ils n'aient jamais vécu sous leur propre autorité centralisée se fait sentir. Selon Sandrine Alexi de l'Université kurde de Paris : « Chaque Kurde est roi sur sa montagne. Par conséquent, ils se disputent, les conflits surviennent souvent et facilement.

Mais malgré leur attitude intransigeante les uns envers les autres, les Kurdes rêvent d'un État centralisé. Aujourd'hui, la "question kurde" est l'une des plus aiguës du Moyen-Orient. De nombreux troubles organisés par les Kurdes pour obtenir l'autonomie et s'unir en un seul État se poursuivent depuis 1925. De 1992 à 1996, ils ont mené une guerre civile dans le nord de l'Irak et des soulèvements permanents se produisent encore en Iran. En un mot, la "question" est en suspens. Désormais, la seule formation étatique des Kurdes jouissant d'une large autonomie est le Kurdistan irakien.