Symptômes de thromboembolie chez le chien. Thromboembolie artérielle : sa manifestation clinique et ses causes chez le chat et le chien

Pour la première fois en médecine, le concept de blocage d'un vaisseau (embolie) par quelque chose (par exemple, un thrombus), suivi d'une violation de l'apport sanguin aux organes et tissus environnants, a été introduit en 1856. En médecine vétérinaire, les premiers travaux expérimentaux ayant montré l'existence d'une relation causale entre thromboembolie et maladie cardiaque chez le chat ont été réalisés dans les années 60 du XXe siècle.

Causes de la thromboembolie :

1) La thromboembolie aortique la plus fréquente chez les chats atteints de cardiomyopathie hypertrophique (CMH) et d'endomyocardite, moins souvent d'embolie pulmonaire. Dans le même temps, une augmentation des cavités cardiaques contribue à la stagnation du sang et à la formation de caillots sanguins. De plus, la pathologie cardiaque chronique s'accompagne d'un dysfonctionnement du foie et des reins, qui entraîne une insuffisance du système anticoagulant du sang. Avec l'endomyocardite (inflammation de l'endo- et du myocarde), la mort cellulaire se produit, ce qui peut également provoquer des caillots sanguins.

2) Infections graves et septicémie.

3) Toutes sortes de chocs.

4) Opérations chirurgicales étendues.

5) Maladies immunitaires, allergies.

6) Maladies oncologiques (en particulier les tumeurs vasculaires).

7) Brûlures chimiques et thermiques de l'œsophage et de l'estomac.

8) Traumatisme et saignement étendus.

9) Empoisonnement avec des poisons hémolytiques.

10) Utilisation incorrecte de médicaments qui augmentent et diminuent la coagulation sanguine.

Signes cliniques (apparaissant rapidement, en quelques minutes) :

Le premier symptôme d'une thromboembolie est souvent la vocalisation intense de l'animal due à une douleur intense.
L'animal respire fréquemment (dyspnée), la gueule ouverte.
Il y a une diminution de la température globale, le développement d'un choc (cardiogène).

Paralysie ou parésie d'un ou plusieurs membres simultanément avec diminution importante de la température dans ce membre (membres), bouts des doigts bleus et diminution ou absence de sensibilité à la douleur. De plus, le pouls artériel à la palpation est réduit ou absent. Perte importante ou complète des réflexes et des sensations dans un membre paralysé. Les muscles deviennent plus fermes.

Une caractéristique importante de la thromboembolie par rapport aux lésions aiguës (par exemple, traumatiques) de la moelle épinière, qui s'accompagne également d'une paralysie ou d'une parésie des membres, est une diminution de la température locale et de la pâleur (ou teinte bleue) du bout des doigts !

Le développement de symptômes neurologiques dans la thromboembolie est basé sur des dommages au tissu nerveux car il est plus sensible au manque d'oxygène. Quelques minutes après la violation de l'apport sanguin dans le tissu nerveux, des signes d'ischémie se développent. La gravité de la thromboembolie peut être jugée par le degré de troubles neurologiques.

Le diagnostic est posé sur la base des signes cliniques, de l'anamnèse et des méthodes de recherche complémentaires (test sanguin biochimique, dopplerographie échographique des gros vaisseaux de la cavité abdominale, ecg, échocardiographie, radiographie, examen neurologique, myélographie, angiographie).

Le diagnostic rapide de la pathologie primaire permet de prévenir le développement de complications. Les thromboembolies de l'aorte et de l'artère pulmonaire sont les affections les plus dangereuses et entraînent souvent la mort de l'animal. Si les symptômes cliniques ci-dessus apparaissent, il est nécessaire de livrer d'urgence l'animal à la clinique dès que possible, sans perdre une minute ! Prenez soin de vos animaux de compagnie et ils vous aimeront en retour. Vous pouvez poser vos questions sur notre forum.

Cardiologue vétérinaire

Blinova Elena Vladimirovna

Clinique vétérinaire Bambi.

Un article sur le sujet: "signes de thrombophlébite de la main du chiot" comme information la plus importante sur la maladie.

Les maladies du cœur et des vaisseaux sanguins sont des malheurs insidieux qui ont fauché de nombreuses personnes. Cependant, cette déclaration s'applique à leurs animaux de compagnie dans une mesure non moindre. En particulier, la thromboembolie chez le chien, qui est une maladie mortelle, laisse peu de chance à l'animal. Par conséquent, le propriétaire doit être conscient des premiers symptômes de ces maladies.

C'est le nom d'une pathologie dans laquelle un caillot sanguin formé dans le cœur ou dans une veine (beaucoup moins souvent dans une artère) bouche un gros vaisseau. En règle générale, une maladie aussi grave peut être déclenchée par presque toutes les maladies du cœur ou des vaisseaux sanguins. Les empoisonnements, les maladies infectieuses et les helminthiases jouent également un rôle négatif. Et même un traitement immodéré avec des médicaments qui augmentent la coagulation du sang.

Chez le chien, la « thromboembolie » est presque toujours comprise comme une situation où un tel caillot sanguin bloque le flux sanguin dans l'artère fémorale. Étant donné que ce navire se nourrit des deux membres postérieurs, cela pose de gros problèmes. Dans ce cas, le risque de nécrose et de gangrène est élevé. Les stades initiaux peuvent être identifiés par une diminution du pouls, des extrémités froides et une paralysie.

Heureusement, cette maladie chez les chiens est très rare (ce qui ne peut pas être dit, par exemple, chez les chats ou les humains). Il existe des preuves que la pathologie peut être de nature génétique. En principe, une telle opinion est fondée, car les maladies cardiaques sont souvent héréditaires, ce qui provoque à son tour une thrombose. Ainsi, si un chien souffre ou meurt d'une maladie thromboembolique, il est conseillé d'exclure toute sa progéniture de l'élevage.

Symptômes et diagnostic

Comment déterminer que quelque chose ne va pas du tout avec les vaisseaux de votre animal de compagnie ? Les symptômes de la thromboembolie chez le chien sont assez typiques :

Perte soudaine de membres.
Le chien se déplace en traînant une ou les deux pattes arrière.
Il gémit constamment de douleur, bien qu'extérieurement tout soit en ordre avec lui.
Membres postérieurs froids.
Bientôt, des signes de leur nécrose peuvent apparaître, dans les cas graves, l'animal ne sent pas du tout ses pattes.

Le diagnostic est posé sur la base d'un examen médical minutieux. Mais sans cardiogramme, examen radiographique et échographie, il ne sera pas possible de le faire. De plus, la radiographie a particulièrement bien fait ses preuves. Pour obtenir les informations les plus complètes, certaines quantités d'isotopes radioactifs sont introduites dans le sang de l'animal, et ce n'est qu'alors que son corps est "montré" sur une radiographie. Si le thrombus est suffisamment gros (et que d'autres ne provoquent pas de thromboembolie grave), un vétérinaire expérimenté peut facilement le trouver sur la photo.

Thérapie et pronostic

Actuellement, tout traitement consiste à utiliser deux options : prescrire médicaments thrombolytiques (héparine) ou chirurgie. Ce dernier est lourd de mort. En principe, le traitement médicamenteux s'est bien montré, mais pour réussir, il est important de le commencer le plus tôt possible. Dans les derniers stades de la thromboembolie, les médicaments sont peu utiles. Des études récentes montrent que le clopidogrel (Plavix) est un bon choix pour prévenir l'expansion des caillots, surpassant l'aspirine, ce qui est hautement indésirable pour les chiens. Dans de nombreux cas, lorsqu'un caillot sanguin a été détecté en temps opportun, ce médicament vous permet de le détruire complètement. Hélas, cela ne garantit pas que le caillot ne se reformera pas dans quelques mois.

Malgré le traitement, le pronostic est sombre. Même la mort par thromboembolie veineuse est un événement extrêmement courant, sans parler des cas de thrombose artérielle. De nombreux animaux doivent être euthanasiés. Heureusement, le succès des pharmaciens nous permet d'espérer que dans les cinq prochaines années apparaîtront enfin des médicaments efficaces capables de prévenir de manière fiable les cas récurrents de thrombose.

La prévention

La thromboembolie aortique (et veineuse) est une conséquence des maladies vasculaires et cardiaques. En soi, cette pathologie n'apparaît jamais. Étant donné que toute maladie cardiaque au stade précoce est asymptomatique, il est nécessaire d'emmener votre animal chez le vétérinaire au moins une fois par an. Si le spécialiste ne détecte aucun bruit suspect, votre chien ne sera probablement pas en danger de thromboembolie (à moins qu'il ne soit empoisonné, bien sûr, ou que des vers n'apparaissent dans ses intestins).

Si votre vétérinaire soupçonne une maladie cardiaque, il peut mesurer la tension artérielle, ainsi que prescrire une radiographie, une échographie ou un ECG. Toutes ces méthodes permettent d'identifier des pathologies dangereuses avant même qu'elles ne contribuent à la formation d'un caillot sanguin. Plus le traitement est commencé tôt, plus les chances de succès sont grandes.

Si vous remarquez ne serait-ce qu'un seul des symptômes que nous avons décrits ci-dessus, appelez immédiatement votre vétérinaire. Même s'il s'avère qu'il ne s'agit pas d'une thromboembolie des vaisseaux sanguins chez le chien, un examen imprévu ne fera certainement pas de mal à votre animal.

Les pathologies du système cardiovasculaire sont extrêmement dangereuses, car elles entraînent, au mieux, une diminution significative de la qualité de vie. Cela est vrai pour les humains et leurs animaux de compagnie. La thrombose chez les chiens est particulièrement terrible, car elle peut entraîner à la fois l'amputation des membres et la mort.

Informations générales, facteurs prédisposants

Un thrombus qui provoque une thrombose est un caillot sanguin. Le danger de cette formation est qu'elle n'apparaît pas sur la plaie, mais directement dans le vaisseau sanguin. Un thrombus peut bloquer complètement ou partiellement la lumière d'un vaisseau sanguin, mais ce n'est pas le pire. C'est bien pire quand il se détache de son lieu d'attache et va "nager" dans la circulation sanguine.

Si le caillot a bouché le vaisseau qui alimente le doigt, par exemple, alors ce dernier peut être coupé (si la gangrène commence). Dans le cas où le vaisseau est situé dans le cerveau, il n'est pas nécessaire de couper quoi que ce soit, car la mort surviendra en quelques secondes. Quelles sont les raisons de ce qui se passe ? Voici quelques-uns des principaux :

Blessure(frapper une voiture ou un vélo, tomber d'une hauteur), ce qui peut entraîner la formation de lésions des tissus profonds, qui se traduisent par le développement d'un caillot sanguin.

Pathologies endocriniennes telles que la maladie de Cushing.

Maladies auto-immunes de toutes sortes (en particulier anémie hémolytique auto-immune).

Cancer et, dans certains cas, tumeurs bénignes.

infectieux maladies et maladies inflammatoires d'étiologie non infectieuse.

Maladies rénales, accompagnées d'une forte perte de protéines (le sang, pour ainsi dire, "s'amincit" et commence à s'infiltrer à travers les parois des vaisseaux sanguins).

Certains médicaments (en particulier l'utilisation à long terme corticostéroïdes).

Les symptômes

Les symptômes de la thrombose chez un chien dépendent du site où le thrombus s'est formé.. Malheureusement, la pathologie ne devient apparente que lorsque le processus pathologique atteint son maximum. De plus, cela arrive toujours soudainement, vous ne pouvez tout simplement pas prédire ou faire quelque chose à l'avance pour doter l'état de votre animal de compagnie.

Thrombose dans le cerveau- l'un des types de pathologies les plus graves. Habituellement, l'animal meurt en peu de temps, mais dans les cas moins graves, vous remarquerez peut-être un changement radical dans le comportement de votre animal. Il peut devenir inadéquat, inhabituellement apathique, la coordination des mouvements du chien est fortement perturbée, il peut heurter tous les objets de la pièce et même les personnes. Les saisies sont exclues.

La formation d'un caillot de sang dans le cœur est également très dangereuse et entraîne la mort subite du chien. Les symptômes sont assez spécifiques. Ainsi, les chiens avec un caillot sanguin acquièrent la "mauvaise habitude" de s'évanouir constamment sans raison apparente. Le cas particulier le plus "léger" est la formation d'un caillot sanguin directement dans les poumons.

En règle générale, cela ne menace pas la mort (au moins soudaine), mais l'animal a de grandes problèmes de respiration: il devient très difficile, devient rauque et superficiel. L'animal ne peut tout simplement pas inhaler normalement et profondément, car cela lui cause une douleur très intense.

Si un un caillot se formera dans les membres du chien, vous remarquerez immédiatement que votre animal ne peut pas utiliser ses pattes normalement. Presque toujours, il suffit de sentir la jambe pour deviner la présence d'un caillot de sang, car dans ce cas, il sera nettement plus froid que les tissus environnants. Si vous remarquez quelque chose de similaire chez votre chien bien-aimé, emmenez-le immédiatement chez le vétérinaire, car le retard est lourd de nécrose du membre avec la nécessité de son amputation ultérieure.

Surgir caillots et dans le tractus gastro-intestinal(dans les vaisseaux du mésentère, par exemple). Si cela se produit, le chien ressentira une douleur très intense, à cause de laquelle il pourra commencer à simplement se rouler sur le sol. On peut souvent penser que l'animal a des coliques. Tout cela s'accompagne parfois de vomissements sévères et/ou de diarrhées.

Le pronostic de la thrombose est prudent à mauvais. Tout dépend de la rapidité avec laquelle les propriétaires de l'animal malade se sont tournés vers le vétérinaire pour obtenir de l'aide.

Diagnostic et thérapie

Étant donné que d'autres problèmes de santé peuvent causer bon nombre de ces mêmes symptômes, les vétérinaires commencent généralement par un examen physique complet, une analyse d'urine et des analyses de sang, y compris une numération globulaire complète et un contrôle biochimique. Les radiographies de la cavité thoracique, son examen échographique, ainsi que le retrait de l'ECG sont très importants.

Lors de la détermination du déroulement du traitement, le vétérinaire doit décider si le caillot peut être rompu et si une récidive est possible. Le traitement le plus courant de la thrombose chez le chien consiste à prescrire bisulfate de clopidogrel(Plavix) ou héparine. Rarement, les spécialistes essaient de briser le caillot avec des cathéters ou un pontage. Mais c'est un cas extrême.

Ici, le problème réside dans le fait qu'un gros caillot peut se transformer en une douzaine de petits caillots non moins dangereux. C'est pourquoi les vétérinaires préfèrent ne pas toucher les caillots sanguins stables.

Un traitement symptomatique est prescrit et, dans l'intervalle, le "bouchon" est progressivement dissous avec de l'héparine. Avec un traitement de qualité, il y a une certaine chance pour un rétablissement complet., même si les conséquences de la thrombose étaient très graves (jusqu'à l'arrachage des pattes). Ainsi, il y a un cas où le chien a complètement récupéré après trois mois de traitement.

Tous les documents sur le site sont vérifiés par des hématologues et des oncohématologues en exercice, mais ne constituent pas une prescription de traitement. Si nécessaire, consultez un médecin pour un examen !

La thrombophlébite des membres supérieurs peut affecter les veines superficielles ou profondes. Comment la thrombose se développe-t-elle dans les mains, quelles sont ses causes et ses symptômes ? Il est important de reconnaître la maladie à temps et le pronostic du traitement sera favorable.

La violation du flux sanguin à la suite de la formation de caillots sanguins dans les vaisseaux entraîne le développement d'une thrombose, qui met souvent la vie en danger. Dans la pratique médicale, la thrombose des membres inférieurs est la plus courante, mais des caillots sanguins peuvent également se former dans d'autres vaisseaux, affecter d'autres organes ou parties du corps.

Une maladie plutôt rare est la thrombose du bras, dans laquelle des caillots sanguins (thrombus) se forment dans les veines, perturbant le flux sanguin normal. Un thrombus peut avoir une taille différente, bloquer partiellement ou complètement le flux sanguin. La maladie peut affecter les veines superficielles et profondes, mais quelle que soit la localisation du thrombus, le traitement doit être effectué le plus rapidement possible et uniquement sous la supervision d'un phlébologue. Les personnes âgées, ainsi que celles qui préfèrent consommer des médicaments, sont à risque de développer une thrombose.

Important! La thrombophlébite des membres supérieurs dans la plupart des cas n'est pas une maladie indépendante, mais se développe dans le contexte d'autres troubles survenant dans le corps. Fondamentalement, un caillot sanguin dans le bras est localisé dans la région de la veine sous-clavière ou sur les veines des bras.

Causes de la thrombose de la main

Il existe de nombreuses raisons et facteurs prédisposant au développement d'une thrombose dans le bras, mais dans 80% des cas, la maladie se développe dans le contexte d'un cathétérisme veineux inapproprié, après des injections, avec une thérapie par perfusion prolongée ou chez des toxicomanes. Les causes de thrombophlébite aux mains peuvent également se manifester à la suite des facteurs suivants:

une réaction allergique à l'utilisation à long terme de certains médicaments;
blessures locales des mains avec de graves dommages aux veines;
morsure d'insectes suceurs de sang;
immobilisation prolongée du membre supérieur dans les fractures;
maladies d'origine purulente affectant les mains : phlegmon, états septiques ;
augmentation de la coagulation sanguine;
thrombophilie héréditaire;
pathologies du système cardiovasculaire;
âge avancé;
hypodynamie;
troubles métaboliques : diabète sucré, obésité.

Compte tenu de la particularité du corps humain, ce sont loin de toutes les raisons qui peuvent provoquer des troubles circulatoires dans les membres supérieurs avec la formation ultérieure d'un caillot sanguin.

Signes cliniques

Les symptômes de la thrombose dans le bras dépendent directement de la profondeur des veines endommagées, de la localisation du processus pathologique et des caractéristiques du corps humain. Lorsque la thrombophlébite des membres supérieurs des veines superficielles est atteinte, les symptômes suivants sont présents :

Douleur intense d'intensité variable le long du tronc veineux.
Rougeur et gonflement de la peau sur la veine endommagée.
En sondant la veine, elle est dense.
Les vaisseaux veineux sont clairement visibles à travers la peau.
Les ganglions lymphatiques cervicaux et axillaires sont élargis.
La température corporelle augmente.
La mobilité du bras est altérée, le moindre mouvement intensifie la douleur.

Avec la défaite des veines profondes par thrombophlébite, les signes de la maladie sont légèrement différents:

Gonflement et bleuissement de la main dans la zone de blocage.
Douleur intense et aiguë dans la zone de la blessure.
Mouvement limité de l'articulation blessée.
Intoxication générale du corps: faiblesse accrue, fatigue.

Dans certains cas, une thrombophlébite migratoire peut se développer, ce qui indique un empoisonnement du sang. Dans de tels cas, plusieurs nœuds seront visibles sous la peau qui obstruent les vaisseaux. Quelle que soit la profondeur des dommages aux veines des bras, le traitement doit être effectué le plus rapidement possible. Plus tôt une personne demande l'aide d'un médecin, plus grandes sont ses chances de guérison.

Méthodes diagnostiques

Le diagnostic de thrombophlébite des membres supérieurs est posé sur les résultats de l'examen de la main. Le médecin recueille également les plaintes du patient, étudie les antécédents médicaux. Pour établir un diagnostic final, le patient se voit attribuer un certain nombre d'études de laboratoire et instrumentales:

Analyse en laboratoire du sang, de l'urine.
Échographie vasculaire.
Radiographie.
Tests sanguins pour les hormones.
Test de coagulation sanguine.

Si nécessaire, le patient peut se voir prescrire d'autres méthodes de recherche qui aideront à identifier la cause, à choisir le traitement le plus optimal.

Important! Avec la thrombophlébite des veines superficielles du bras, le pronostic est favorable dans 80% des cas. En cas de lésions veineuses profondes, le traitement est plus long et nécessite souvent une réparation chirurgicale.

Comment traiter?

Le traitement de la thrombose du bras est effectué par un phlébologue et comprend un ensemble de mesures thérapeutiques visant à éliminer les symptômes de la maladie, la perméabilité vasculaire, à rétablir la circulation sanguine dans les veines et les vaisseaux.

Le traitement complet comprend le repos au lit, l'alimentation, les médicaments. Les aliments frits, épicés et gras doivent être exclus du régime alimentaire du patient, il convient également de s'abstenir de boire de l'alcool. Un régime alimentaire nutritif devrait inclure des graisses végétales, des produits laitiers, des légumes frais et d'autres aliments sains.

Voir aussi Nutrition pour la thrombose veineuse profonde en plus de l'article actuel.

Le traitement médicamenteux améliorera l'état du patient, soulagera les symptômes de la maladie. La pharmacothérapie comprend la prise de médicaments antibactériens, ainsi que de médicaments antiprotozoaires qui aideront à soulager l'inflammation et à prévenir la progression de la maladie.

L'utilisation de médicaments anticoagulants est considérée comme importante dans le traitement: par exemple, l'héparine, qui réduira la coagulation du sang et empêchera la récurrence des caillots sanguins. Le traitement comprend la nomination d'agents veinotoniques: il s'agit de Troxevasin, Detralex, Venarus, ainsi que du médicament Warfarin. Avec le syndrome douloureux sévère, des anti-inflammatoires sont prescrits: Diclofenac, Movalis.

Pour une application topique, des pommades, des gels sont prescrits: Lyoton, pommade à l'héparine, Troxevasin. Le bandage élastique de la main malade est obligatoire dans le processus de traitement.

Dans le cas où le traitement conservateur ne donne pas les résultats souhaités, le patient subit une opération pour retirer la veine endommagée par un thrombus.

Le pronostic de la thrombose de la main est généralement favorable, mais uniquement si le patient consulte un médecin à temps. Un diagnostic opportun et un traitement approprié aideront à éviter toutes les conséquences possibles, améliorant ainsi la qualité de la vie humaine.

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thrombose vasculaire - thrombose. Maladie caractérisée par un blocage partiel ou complet des vaisseaux artériels ou veineux à la suite de la formation de caillots sanguins. La thrombose veineuse est la plus fréquente chez les animaux.

Étiologie. La thrombose chez les animaux, en tant que maladie primaire, survient à la suite de blessures traumatiques et d'une inflammation vasculaire. La thrombose secondaire survient avec l'endocardite, l'athérosclérose à la suite de l'effondrement des plaques athéromateuses et des zones nécrotiques. Contribue à la thrombose vasculaire, à l'affaiblissement de l'activité cardiaque et à la diminution du tonus des vaisseaux sanguins, entraînant un ralentissement du flux sanguin. L'augmentation de la coagulation sanguine contribue également à l'apparition de caillots sanguins chez l'animal. Chez les animaux de ferme, des lésions veineuses se produisent généralement. Souvent, vous devez faire face à une thrombophlébite de la veine jugulaire causée par une ponction inepte et la pénétration de certaines substances médicamenteuses (chlorure de calcium, solution hypertonique de chlorure de sodium, hydrate de chloral, etc.) dans la section périvasculaire de la veine. Chez les animaux, la thrombophlébite peut survenir avec diverses modifications pathologiques de l'endothélium des vaisseaux sanguins d'origine allergique.

Pathogénèse. Un caillot sanguin formé dans un vaisseau peut se dissoudre, se ramollir ou s'organiser (se compacter) et provoquer une inflammation de la paroi même du vaisseau sanguin. Selon le degré de fermeture de la lumière du vaisseau sanguin, les thrombus peuvent être - colmatants (obturants), pariétaux. La thrombose veineuse entraîne de graves troubles de la fonction des organes et des tissus concernés, entraînant parfois une nécrose et une dégradation des tissus. En conséquence de tout cela, la capacité de travail et la productivité des animaux sont fortement réduites. Avec la thrombose des gros vaisseaux sanguins, par exemple l'aorte abdominale, les artères iliaques, l'animal meurt rapidement.

Changements pathologiques. Lorsque des animaux morts sont ouverts, des caillots de sang blanc se trouvent dans de gros vaisseaux, constitués de plaquettes, de leucocytes, de fibrine et d'érythrocytes, solidement reliés à la paroi. Un thrombus rouge est généralement localisé dans les veines et conduit à leur obstruction. Il se compose de fibrine, de plaquettes, de leucocytes et d'un nombre important d'érythrocytes. Un thrombus mixte est représenté par des éléments d'un thrombus blanc et rouge. On le trouve le plus souvent dans les veines, les artères, les anévrismes. Extérieurement, il est possible d'y distinguer la tête, qui a la structure d'un thrombus blanc, le cou, constitué d'éléments d'un thrombus blanc et rouge, et la queue, qui a la structure d'un thrombus rouge. Les thrombi hyalins, qui se trouvent généralement dans les vaisseaux de la microvasculature, sont constitués d'érythrocytes morts avec un mélange de fibrine et de leucocytes uniques.

Image clinique. Les symptômes de la thrombose vasculaire chez un animal malade dépendent de l'emplacement du thrombus et de la taille du vaisseau affecté par le thrombus. Avec la thrombose des vaisseaux coronaires, nous obtenons, dans une étude clinique d'un animal malade, un complexe symptomatique caractéristique de l'infarctus du myocarde. Avec la thrombose de l'artère rénale - un tableau clinique caractéristique de la "colique néphrétique", l'hypertension, dans l'urine on trouve des protéines et du sang. Les chiens et les porcs ont souvent un tableau clinique de thrombose pulmonaire. Avec une thrombose veineuse chez un animal, on note une douleur. Chez certains animaux malades, lors d'un examen clinique, on enregistre une augmentation de la température corporelle, et lors d'une prise de sang, une accélération de la VS et une leucocytose neutrophile.

Si un animal a une thrombose des grosses veines des extrémités, ces animaux ne peuvent pas se tenir debout. Ils ont des douleurs dans la région du thrombus. Le membre malade est froid à la palpation, modérément œdémateux, la peau au site de l'œdème est cyanosée, sa sensibilité à la palpation est réduite. Lors d'un examen clinique d'un animal malade, on note des tremblements, une transpiration générale, des convulsions, un essoufflement, une tachycardie.

Lors d'une thrombose de la veine cave antérieure chez un animal malade, lors d'un examen clinique, nous enregistrons un débordement des veines de la tête, du cou et des membres thoraciques. Certains animaux développent une hydropisie thoracique.

Avec la thrombose de la veine cave postérieure, l'animal malade développe une congestion veineuse dans la partie postérieure du corps et il peut y avoir une hydropisie abdominale.

La thrombose de la veine porte de l'animal entraîne une malnutrition et une congestion de l'estomac et des intestins.

Les maladies inflammatoires post-partum de l'utérus chez les animaux sont parfois compliquées par une thrombophlébite septique. Le processus inflammatoire qui en résulte le long des voies descendantes se propage aux veines des membres pelviens. Lors d'un examen clinique d'un tel animal, on enregistre une fièvre de type rémittente.

Avec la thrombose des gros et moyens vaisseaux du cerveau, du cœur, des poumons, les animaux ont une mort subite.

Si un animal a une thrombose des petits vaisseaux sanguins, la maladie progresse imperceptiblement pour le propriétaire de l'animal.

Flux. La maladie chez les animaux est le plus souvent chronique. Lorsque le thrombus disparaît, le flux sanguin veineux est rétabli. Si un thrombus est organisé, alors l'animal malade développe une circulation collatérale. Au cours de la vie de l'animal, il peut y avoir des rechutes de la maladie. La thrombose des vaisseaux sanguins du cœur, du cerveau, des reins et des poumons entraîne souvent la mort.

Diagnostic les spécialistes vétérinaires mettent en place une thrombose vasculaire sur la base des symptômes cliniques les plus caractéristiques de la maladie, en tenant compte des données anamnestiques. Avec la thrombophlébite dans le sang, on note une ESR accélérée et une leucocytose neutrophile.

Le pronostic est prudent ou défavorable.

Traitement. Les animaux malades créent des conditions qui protègent la zone affectée des veines des ecchymoses et des blessures. Pour réduire la réaction inflammatoire, le froid est appliqué par voie topique, l'acide acétylsalicylique (aspirine) est prescrit par voie orale. Le traitement chirurgical est appliqué localement, les pansements sont appliqués avec de l'héparine, une pommade au butadion. Pour le traitement de la thrombophlébite d'étiologie infectieuse, des antibiotiques sont utilisés, notamment des céphalosporines modernes, des préparations de sulfanilamide. Aux premiers stades de la maladie, la fibrolysine est administrée par voie intraveineuse avec de l'héparine (gros animaux 300 000 unités de fibrolysine, 20 000 unités d'héparine dans 500 ml d'eau distillée). Ce mélange médicamenteux est administré lentement aux animaux malades.

La physiothérapie est utilisée - la galvanisation, un champ magnétique, des courants diadynamiques sont utilisés.

La thromboembolie chez le chat est un syndrome de perturbation aiguë du flux sanguin chez un animal de compagnie causé par le processus d'embolisation (blocage) d'une artère par un caillot sanguin (thrombus). Selon les experts, cette maladie s'accompagne de lésions étendues chez l'animal, de cardiomyopathie, ainsi que d'insuffisance cardiaque et rénale chronique. La localisation d'un caillot sanguin se produit généralement à un endroit où l'aorte est divisée en deux branches (zone de bifurcation). Cependant, des blocages peuvent également se développer dans les artères des reins ou des poumons.

Cette pathologie est dangereuse car le thrombus, en se déplaçant dans les vaisseaux sanguins, peut obstruer complètement le vaisseau du membre. Cela entraîne une parésie ou une paralysie des pattes arrière de l'animal et l'apparition de processus nécrotiques dans les parties bloquées du corps. L'article discutera en détail des causes de la thrombose, des principaux symptômes et des méthodes de traitement.

Le propriétaire doit clairement comprendre que la maladie en question est plus une maladie concomitante qu'une maladie indépendante. C'est-à-dire qu'il se développe dans le contexte de diverses maladies, principalement cardiaques, que le chat avait ou a.

Un caillot sanguin se développe souvent dans l'oreillette gauche, à travers laquelle il peut pénétrer dans les parties les plus éloignées de l'aorte. En conséquence, un ami qui miaule peut avoir des problèmes dans le tractus gastro-intestinal, le cerveau, les reins, ainsi que refuser complètement les membres postérieurs ou antérieurs.

Les vétérinaires notent que la thromboembolie est artérielle et veineuse. Ils diffèrent par l'emplacement du caillot sanguin. Et dans la veine, les caillots sanguins sont encore plus fréquents. Cela est dû à la vitesse du flux sanguin : dans une artère, il est très rapide, et dans une veine, il est lent. De plus, les vaisseaux artériels sont caractérisés par une intima lisse (coque interne), qui empêche la formation de caillots. D'un autre côté, un caillot de sang formé dans une veine ne peut pratiquement pas conduire un animal à la mort instantanée. Mais celui qui a surgi dans l'aorte est tout à fait.

causes

Des caillots sanguins peuvent se former dans les vaisseaux sanguins en raison des facteurs suivants :

infection et septicémie ;
intoxication animale avec des substances toxiques;
pathologies du système cardiovasculaire;
maladies oncologiques;
la présence d'enzymes dans le sang;
dommages mécaniques aux vaisseaux sanguins;
opérations précédentes.

Il est important que les propriétaires de chats sachent que, selon les statistiques, ces animaux souffrent plus souvent que les autres de maladies du système cardiovasculaire. Par conséquent, la formation de caillots dans les artères et les veines n'est pas rare pour eux.

Symptômes de la maladie

Les experts sont convaincus qu'à bien des égards, les signes de la maladie sont déterminés par l'emplacement du processus. Les symptômes les plus frappants de la thromboembolie chez le chat s'expriment comme suit :

La coordination des mouvements du chat est perturbée, la boiterie apparaît.
La sensation des membres postérieurs peut révéler une paralysie des deux jambes. En même temps, leurs muscles fondent comme de la pierre.
Les coussinets des pattes du fidget à queue pâlissent.
Si un caillot de sang obstrue les artères rénales, l'animal commencera à souffrir de douleurs dans la région lombaire, des vomissements sévères apparaîtront. Un test sanguin peut montrer une teneur accrue en produits métaboliques azotés.
La thromboembolie des artères mésentériques se caractérise par le fait que l'animal commence à avoir de la diarrhée et des vomissements, souvent avec la présence de sang dans les sécrétions. La palpation de l'abdomen entraîne des réactions douloureuses.
Le coma, les crises ressemblant à l'épilepsie et les troubles du fonctionnement de l'appareil vestibulaire sont les signes d'un caillot sanguin qui se situe dans les vaisseaux sanguins du cerveau.
Si un caillot de sang se forme dans l'artère pulmonaire, l'animal commencera à tousser, à avoir le souffle court. Muqueuses pâles. Le pouls devient faible et les veines jugulaires gonflent de manière caractéristique.

Les données d'études statistiques concernant la survie des animaux de compagnie ayant subi une thromboembolie sont extrêmement décevantes. La présence d'un thrombus est aggravée par la pénétration de toxines ischémiques dans le sang. Ensemble, cela conduit au développement multiple de processus pathologiques dans le corps de l'animal.

La thromboembolie chez le chat ne peut être guérie que si elle est détectée tôt. Un diagnostic rapide effectué par un spécialiste qualifié et un traitement immédiatement commencé peuvent minimiser les dommages causés par un caillot de sang circulant dans le sang du chat. Sinon, le risque de décès augmente avec chaque jour perdu.

Méthodes diagnostiques

Avec des symptômes cliniques prononcés, il n'est pas particulièrement difficile pour un médecin d'identifier une thromboembolie. Si les signes ne sont pas aussi caractéristiques, un certain nombre de procédures aideront à déterminer le diagnostic exact. Ceux-ci inclus:

Analyse biochimique du sang de l'animal, ainsi qu'une étude complémentaire sur le temps de sa coagulation.
L'échographie du cœur vise à évaluer la vitesse à laquelle se produisent les contractions du myocarde, ainsi que l'augmentation ou la diminution des oreillettes par rapport à la norme.
L'angiographie est une procédure par laquelle des pathologies dans le fonctionnement des vaisseaux sanguins d'un animal peuvent être détectées.

Traitement de la maladie

L'efficacité du traitement de la thromboembolie chez le chat dépend de la rapidité avec laquelle les propriétaires contactent la clinique vétérinaire. Si le processus n'est pas allé trop loin, le médecin essaiera certainement de rétablir le flux sanguin normal chez l'animal. L'opération est l'une des méthodes les plus cardinales, mais aussi les plus efficaces. Dans ce cas, le vétérinaire ouvre l'aorte afin de libérer le conduit et de prévenir l'ischémie.

Il est important de comprendre que cette maladie en elle-même n'est qu'un symptôme. Par conséquent, le spécialiste doit éliminer la cause de son apparition, c'est-à-dire un caillot sanguin. Après la découverte d'un caillot sanguin, une thérapie par perfusion est effectuée, permettant au sang d'être dans le lit vasculaire. La dernière étape sera la nomination de thrombolytiques pour l'animal de compagnie - des médicaments qui empêchent la formation de caillots sanguins. La dose et l'intensité du médicament sont prescrites par un spécialiste, en fonction des caractéristiques individuelles du patient.

Le propriétaire doit être conscient que le risque de décès pendant la chirurgie est très élevé. Comme alternative, la thrombectomie rhéolytique peut être utilisée. Son essence réside dans le fait que le médecin essaie de "casser" le caillot à l'aide d'un cathéter inséré dans le vaisseau. Le chat est actuellement sous anesthésie générale. La procédure est très compliquée, elle ne peut être effectuée que par un vétérinaire expérimenté. Mais même cela ne donne pas une garantie complète de récupération, une rechute peut survenir dans les 3-4 semaines.

Dans les cas particulièrement avancés de thromboembolie, lorsque le processus de nécrose tissulaire est déjà passé dans le corps de l'animal, la meilleure solution serait d'arrêter le tourment de l'animal et de l'euthanasier.

Actions préventives

À la suite de recherches menées par des vétérinaires, il a été constaté que l'espérance de vie moyenne d'un chat qui a survécu à une opération pour enlever un caillot sanguin est de 3 mois à 2 ans. Très rarement, mais il arrive que l'animal reprenne sa vie habituelle. Certes, c'est plus l'exception que la règle. Beaucoup plus souvent, un ami à fourrure reste pour toujours handicapé, qui a du mal à se déplacer et à satisfaire ses besoins naturels. Par conséquent, il vaut mieux prévenir la maladie que de risquer la santé de l'animal plus tard.

Il n'y a pas de mesures préventives spéciales qui protégeront efficacement un chat de l'apparition de caillots sanguins. Cependant, le propriétaire doit essayer de protéger l'animal des aliments trop gras. Les chats dont le régime alimentaire est composé d'aliments sains riches en vitamines et en oligo-éléments tombent beaucoup moins souvent malades. De plus, il est nécessaire de vacciner le chat à temps et de lui donner des médicaments anthelminthiques. De telles mesures réduiront d'un quart le risque de formation de caillots sanguins dans les vaisseaux d'un animal.

La phlébite est appelée inflammation des veines sans formation de caillot sanguin. Si l'inflammation se limite au tissu lâche périveineux et à l'adventice du vaisseau lui-même, on parle alors de périphlébite (périphlébite). La défaite de toute la paroi de la veine avec la formation d'un caillot sanguin s'appelle thrombophlébite (trombophlébite).

Si la thrombophlébite d'une veine s'accompagne du développement d'un processus inflammatoire dans le tissu environnant (intermusculaire, interfascial), elle doit alors s'appeler parathrombophlébite (BM Olivkov).

La thrombose est une violation de la circulation sanguine due au développement d'un caillot sanguin. Il est relativement rare chez les animaux domestiques.

Étiologie et pathogenèse. Très souvent chez les animaux, notamment chez les chevaux, il existe des phlébites et des thrombophlébites de la veine jugulaire (Fig. 1). Une cause fréquente de thrombose est un anévrisme helminthique de l'artère mésentérique antérieure, d'où des particules (emboles) se détachent et pénètrent dans les artères pelvienne et fémorale (Fig. 2, 3). Il est généralement admis que le principal facteur étiologique des phlébites et des thrombophlébites est la lésion des parois des vaisseaux veineux. Ceci est une conséquence des ponctions fréquentes de la veine jugulaire afin d'obtenir du sang ou d'administrer des médicaments. Les perfusions intraveineuses sont la forme d'application la plus pratique, la plus économique et la plus efficace de divers médicaments dans la pratique vétérinaire, de sorte que le nombre de médicaments utilisés par voie intraveineuse ne cesse de croître. Parmi eux, un nombre important sont des substances hautement irritantes qui entraînent de graves complications lorsqu'elles pénètrent dans les tissus périvasculaires. La flavacridine est l'une de ces substances. Lorsque même une très petite quantité de solution de flavacridine pénètre dans le tissu périvasculaire, des complications graves surviennent sous la forme d'une parathrombophlébite nécrotique (MA Vasiliev). La phlébite peut également résulter d'une mauvaise désinfection du champ opératoire et de la stérilisation des instruments chirurgicaux utilisés pour la saignée ; ponctions veineuses au même endroit; l'utilisation d'instruments insuffisamment pointus pour l'opération, une administration trop rapide et une concentration très élevée de solutions utilisées pour les perfusions intraveineuses (B. M. Olivkov).

Riz. 1. Thrombophlébite chez un cheval

Riz. 2. Thrombose de l'artère fémorale

Riz. 3. Réalisation du membre gauche en faisant glisser en cas de thrombose de l'artère fémorale

Sur la base de ces facteurs étiologiques de phlébites et de thrombophlébites, lorsqu'elles surviennent chez l'animal, les spécialistes vétérinaires sont accusés de violer les règles d'asepsie et d'erreurs techniques dans les ponctions et les injections de la veine. Cependant, on sait que pendant la période d'enseignement aux étudiants de la technique des injections intraveineuses sur des chevaux de laboratoire et d'autres animaux cliniquement sains, les précautions étiologiques indiquées n'ont pas toujours été observées, la ponction de la veine chez le même animal a été effectuée à plusieurs reprises, et néanmoins, presque aucun cas de phlébite et de thrombophlébite n'a été observé. Et seuls les travaux expérimentaux et cliniques détaillés de V. V. Popov et M. A. Vasiliev ont clarifié l'étiopathogénie de la phlébite et de la thrombophlébite.

Après avoir mené une grande série d'expériences sur des chevaux, V. V. Popov est arrivé à la conclusion que lors de processus septiques sous l'influence d'un début septique, une modification de la réactivité du corps, une violation du métabolisme général, ainsi que des modifications de la système vasculaire, qui sont de nature différente selon la durée et l'intensité de la maladie. Tout cela pris ensemble conduit à des changements particuliers dans la réactivité du corps du cheval, appelés sensibilisation ou allergisation. Sous l'influence de ce dernier, avec une maladie naturelle et avec une exposition artificielle, une thrombophlébite se développe, ce qui n'a pas été observé chez des chevaux cliniquement sains.

Chez les chevaux sains, seulement après l'administration parentérale d'une protéine hétérogène, la réactivité de l'organisme est perturbée artificiellement et, en raison de la sensibilisation qui s'y produit, la dispersion délibérée de substances irritantes organotropes dans les zones périvasculaires et paraveineuses provoque l'apparition d'une réaction inflammatoire cliniquement visible. En d'autres termes, des expériences et des observations cliniques permettent à l'auteur de conclure que la thrombophlébite se développe dans le contexte de violations de la réactivité générale du corps du cheval, généralement appelées paraallergie.

MA Vasiliev conclut également, à la suite de nombreuses observations, que la ponction veineuse chez des chevaux cliniquement sains est une opération pratiquement sans danger. Les complications surviennent exceptionnellement uniquement en cas de traumatisme grave de la paroi vasculaire. Relativement rarement, la thrombophlébite se développe chez les chevaux qui reçoivent des substances médicamenteuses à des fins prophylactiques. Même des substances aussi hautement irritantes que la flavacridine, avec la bonne technique de perfusion intraveineuse, ne provoquent pas de complications chez les animaux sains.

Un fait très significatif est, note M.A. Vasiliev que la thrombophlébite se développe dans la grande majorité des cas chez les chevaux malades, en particulier chez les patients gravement malades et septiques. En plus des observations cliniques, il a pratiqué une autopsie de 23 cadavres de chevaux. Dans 12 cas, lorsque des ponctions veineuses et des perfusions intraveineuses de diverses solutions ont été effectuées pendant le traitement, des thrombus de différentes tailles ont été trouvés à l'autopsie dans la lumière de la veine au site de ponction. Dans 11 autres cas, lorsque les ponctions veineuses n'ont pas été effectuées, aucun changement n'a été constaté dans la paroi veineuse.

Dans le contexte d'un changement général de la réactivité du corps, le statut neurodystrophique des tissus s'établit dans la zone de la veine jugulaire.

L'irritation, qui chez un animal sain est très faible et pratiquement inoffensive, chez un patient septique se manifeste comme forte, provoquant de graves changements dans les tissus. Une telle irritation supplémentaire dans les observations de l'auteur est le traumatisme de la paroi vasculaire, et en particulier de son intima, une aiguille et l'action de diverses solutions de substances médicinales. Le risque de complications augmente si la technique de ponction veineuse est violée, les perfusions intraveineuses et à la suite de l'utilisation de substances hautement irritantes. Ce n'est que dans une telle couverture, selon M.A. Vasiliev, que l'on peut trouver une explication au fait que lors de l'autopsie des cadavres de chevaux décédés à la suite du développement d'une septicémie sévère, il a dans tous les cas trouvé un caillot de sang dans la lumière de la veine jugulaire.

Les solutions de flavacridine, selon les observations de M. A. Vasiliev, ont un effet irritant extrêmement fort et sont retenues longtemps dans les tissus au site d'injection. Ses études ont montré que la concentration de flavacridine dans les tissus au site d'injection de la solution diminue lentement. Il pratiqua une biopsie tissulaire à divers moments après injection sous-cutanée de 5 ml de solution à 1 °/o de flavacridine et trouva cette drogue, mg pour 100 g : en un jour - 33,3 ; après 2 jours - 16,66 ; après 3 jours-15 ; après 5 jours - 10.02 ; après 45 jours - 6,7 et après 63 jours - 1,67.

Une fois dans les tissus, la flavacridine réduit rapidement la labilité des troncs nerveux et des terminaisons nerveuses. Dans les zones tissulaires voisines, une réaction trophique négative s'établit par réflexe, caractérisée par le développement progressif du processus inflammatoire. Dans tous les cas, au site d'injection de la flavacridine, un gonflement apparaît, grossissant progressivement et s'étendant sur une grande surface, avec une légère irritation, peu douloureuse, avec une légère élévation de la température locale. Cliniquement, les changements dystrophiques profonds de la peau au site du gonflement sont également facilement détectés. Ces changements se traduisent principalement par la réduction et l'arrêt de la transpiration. La peau devient sèche. Après quelques jours, sa sensibilité diminue, une desquamation de l'épiderme se produit, les cheveux tombent, la peau s'amincit et, dans certains cas, meurt avec les tissus plus profonds (M. A. Vasiliev).

Signes cliniques. Ils varient en fonction du degré d'endommagement des parois du vaisseau sanguin, des tissus environnants, de la formation d'un thrombus, de l'évolution du processus inflammatoire (aseptique ou purulent, aigu ou chronique), des lésions unilatérales ou bilatérales de la veine jugulaire.

La phlébite aiguë aseptique est caractérisée par un gonflement inflammatoire modérément sévère, un œdème local le long de la veine jugulaire et une réaction douloureuse. Avec la périphlébite aseptique, l'œdème et le gonflement des tissus entourant la veine sont plus prononcés. Dans les cas aigus, à la palpation, la réaction douloureuse est bien exprimée. Dans les cas chroniques, un épaississement de la paroi veineuse et des tissus environnants se présente sous la forme d'un cordon le long de la veine jugulaire. Cependant, la perméabilité du sang dans la veine est préservée.

La thrombophlébite aseptique se caractérise par un œdème et un compactage sphérique au site du thrombus, un débordement de sang dans le segment périphérique de la veine. La réaction douloureuse est modérément exprimée. Les contours de la gouttière jugulaire sont lissés en raison d'un œdème inflammatoire du tissu périvasculaire. La température locale est légèrement élevée. Diminution de la mobilité du cou. Après avoir appuyé sur la veine dans la partie inférieure du cou, la zone touchée est mal remplie (en raison de la modification de l'élasticité de la paroi vasculaire et de la présence d'un œdème périvasculaire).

Dans la périphlébite chronique non purulente, un cordon dense est ressenti le long de la veine. Il n'y a pas d'oedème inflammatoire ni de douleur. Appuyer sur l'extrémité centrale de la veine entraîne l'expansion de sa section périphérique, qui disparaît rapidement après l'arrêt de la pression sur la veine.

Avec la thrombophlébite purulente, un œdème inflammatoire diffus, chaud et douloureux (phlegmon) est noté dans la zone touchée. La veine enflammée ne peut pas être palpée. Lorsque vous pressez la section centrale de la veine avec un doigt, la zone touchée et son extrémité périphérique ne sont pas remplies de sang. L'état général de l'animal est fortement perturbé: élévation générale de la température corporelle, dépression, perte d'appétit, hyperémie veineuse de la muqueuse du nez, de la bouche et de la conjonctive, mobilité limitée de la tête et parfois gonflement de celle-ci.

À l'avenir, un ou plusieurs abcès se développeront au site de la lésion. Avec l'ouverture spontanée des abcès, les fistules se forment souvent avec la libération de pus et de lambeaux de tissu périvasculaire mort.

Dans les cas graves de la maladie, un thrombus et la paroi du vaisseau lui-même sont soumis à une fusion purulente, suivie d'un saignement potentiellement mortel; le processus inflammatoire capture les veines maxillaires externes et internes et se propage au canal lymphatique, au vague récurrent et aux troncs nerveux sympathiques ; en même temps, une inflammation des poumons peut être observée, ce qui indique des métastases ou un empoisonnement général du sang.

Diagnostic. La reconnaissance des périphlébites, phlébites et thrombophlébites de la veine jugulaire n'est pas très difficile. Il est établi en tenant compte des signes cliniques et des données anamnestiques.

Prévoir. Avec périphlébite aseptique, phlébite et thrombophlébite, le pronostic est favorable, avec des processus purulents et purulents-nécrotiques - prudents.

Traitement. Avec périphlébite aseptique et phlébite, utilisation de procédures thermiques locales sous forme de compresses chauffantes, cataplasmes, vaporisation, applications de paraffine et d'ozocérite, thérapie de boue d'argile, irradiation avec des lampes solaires ou un rayonnement infrarouge, ainsi que l'utilisation de pommades irritantes - camphre , ichtyol, iodure.

De bons résultats peuvent être obtenus en utilisant l'hirudothérapie. À cette fin, des sangsues médicales (Hirudomedicinalis) sont utilisées, qui sécrètent l'enzyme hirudine des glandes salivaires, qui neutralise la fibrinoenzyme, à la suite de quoi le sang perd sa propriété de coagulation. Les observations cliniques ont également établi que l'hirudine est capable de dissoudre un caillot de fibrine, elle réduit les spasmes des veines et l'irritation de l'extrémité du nerf sympathique, augmente l'activité bactéricide du sang et l'activité biologique des cellules du tissu conjonctif. L'effet thérapeutique des sangsues se traduit par une diminution du gonflement et de la douleur inflammatoires, une diminution de la température corporelle locale et générale et la restauration de la circulation sanguine dans une veine à mesure que le thrombus se résorbe. Avec l'hirudothérapie, en règle générale, il n'y a pas d'embolie pulmonaire.

Avant d'utiliser des sangsues dans la zone de la zone affectée de la veine, la laine de la peau est rasée et humidifiée avec une solution aqueuse de sucre à 10% afin que les sangsues collent mieux. Ensuite, des sangsues médicales ordinaires sont appliquées par paires le long des côtés de la veine à une distance de 4 à 6 cm.En général, environ 10 sangsues sont nécessaires. Chaque sangsue suce 10 à 15 ml de sang, puis disparaît. Le saignement qui se produit dans ce cas s'arrête tout seul. L'hirudothérapie répétée est effectuée après deux jours, si nécessaire. L'infection au site d'application des sangsues ne se développe généralement pas.

En cas de processus purulents (phlegmon), il est recommandé de faire des coupes linéaires dans la peau et les tissus lâches sans ouvrir la veine elle-même. Cela aide à réduire la tension des tissus œdémateux, à améliorer la circulation sanguine locale et à éliminer les produits toxiques et fondants. En fin de compte, la propagation du processus inflammatoire et la nécrose tissulaire sont empêchées.

Si un abcès a déjà mûri dans le tissu périvasculaire, son ouverture immédiate est nécessaire.

Dans le cas d'une thrombophlébite purulente-nécrotique, une résection immédiate de la zone affectée de la veine est effectuée, sinon la possibilité d'un développement rapide d'une pneumonie et d'une septicémie n'est pas exclue.

Le traitement postopératoire est effectué selon les règles générales de la chirurgie. Afin d'éviter le glissement de la ligature du moignon périphérique et le remplissage excessif de cette section de la veine, l'animal malade ne reçoit que des aliments liquides pendant 3 à 4 jours.

En cas de processus purulents et purulents-nécrotiques, il est interdit de frotter des onguents irritants et des massages, car cela contribue à la propagation de l'inflammation, et des morceaux détachés d'un caillot sanguin peuvent provoquer une embolie capillaire pulmonaire et une pneumonie.

Dans la clinique chirurgicale LVI pour les phlébites et périphlébites aseptiques et purulentes aiguës avec un bon effet thérapeutique, la novocaïne courte et les blocages intraveineux sont utilisés en association avec des antibiotiques. A. N. Kornishin a étudié expérimentalement l'effet du blocage suprapleural de la novocaïne sur la circulation collatérale veineuse dans la thrombophlébite de la veine fémorale chez le chien.

Afin d'avoir un effet protecteur sur le système nerveux, il a utilisé un blocage bilatéral suprapleural de la novocaïne des nerfs coeliaques et des troncs sympathiques selon la méthode de V.V. Mosin.

À la suite de la recherche, l'auteur est arrivé à la conclusion que le blocage de la novocaïne suprapleurale des nerfs coeliaques et des troncs sympathiques, en tant que méthode d'action protectrice sur le système nerveux, a un effet bénéfique sur l'évolution et l'issue de la thrombophlébite aiguë du veine fémorale.

La novocaïnisation préliminaire de l'innervation sympathique empêche le développement de phénomènes inflammatoires aigus, et la suivante a un bon effet thérapeutique dans la thrombophlébite déjà développée. Le blocage de la novocaïne suprapleurale soulage les spasmes des vaisseaux sanguins, crée les conditions pour le développement de la circulation collatérale veineuse, favorise la résorption de l'œdème et la récupération la plus rapide du dysfonctionnement des membres.

Thromboembolie- syndrome de troubles circulatoires aigus à la suite d'une embolisation (blocage) de l'artère avec un caillot sanguin (thrombus).
Le plus souvent, la thromboembolie survient avec des lésions étendues, en tant que complication d'opérations abdominales et vasculaires (en particulier lors d'opérations sur la cavité pelvienne). Mais peut-être que la raison la plus courante est cardiomyopathie, insuffisance cardiaque chronique et insuffisance rénale.
Habituellement, le thrombus est localisé dans la zone de la bifurcation aortique, parallèlement à cela, une embolisation de l'artère rénale et de l'artère pulmonaire se produit.

Étiologie et pathogenèse

Les principales raisons de la formation d'un caillot sanguin:

ralentissant le flux sanguin.
distension auriculaire gauche
fibrillation auriculaire
changement ou endommagement du revêtement intérieur du navire
obstruction mécanique du lit vasculaire
troubles humoraux (libération de thromboxanes, sérotonine, histamine, kallikrinine, etc.)

La pathogenèse repose sur deux processus :

obstruction mécanique des vaisseaux sanguins
troubles humoraux (libération de thromboxanes, sérotonine, histonine, etc.)

En conséquence, un cercle vicieux est obtenu: en raison de troubles circulatoires dans la zone «sous» la thrombolyse, l'hypoxie (déficit d'oxygène) et l'ischémie (déficit d'approvisionnement en sang) se développent, ce qui, à son tour, conduit au fait que les tissus endommagés émettent une énorme quantité de substances biologiquement actives (BAS). ), ils perturbent également les mécanismes de coagulation, la microcirculation et peuvent entraîner un état de choc, le coma et la mort.

Allouer
Par volume:

massif
piles à combustible non massives

développement:

tranchant
subaiguë
récurrent.

Avec CHF et HCM, un certain nombre de mécanismes sont lancés pour compenser la défaillance du système circulatoire, mais malgré cela, les suivants se développent :

hypoxie tissulaire chronique
la congestion se développe dans le foie, les poumons, la rate
la pression monte
la régulation du système de coagulation est perturbée
remodelage du système vasculaire. (dilatation et compaction des vaisseaux sanguins et des cavités cardiaques).

Dans un tel état, tout facteur dommageable peut devenir la « goutte d'eau » (stress, inflammation, traumatisme, chirurgie). Un thrombus pénètre dans la circulation sanguine et obstrue le vaisseau.

Signes cliniques

monter brusquement et très rapidement. Des coupures et une paralysie des membres pelviens, une diminution de la température locale et un syndrome douloureux prononcé sont souvent notés. L'essoufflement se développe, il peut y avoir un œdème pulmonaire. Dans une telle situation, il est important de livrer l'animal à la clinique le plus tôt possible. Le pronostic s'aggrave à chaque heure perdue.
Plus tôt une pathologie peut être détectée, mieux c'est. Si nécessaire, commencez un traitement médicamenteux ou effectuez des examens diagnostiques de routine.

Traitement

Traitement uniquement en unité de soins intensifs !
En état grave :

diurétiques,
anesthésie,
thérapie thromboembolique,
thérapie réparatrice.
apport constant d'oxygène

La poursuite du traitement dépend de la cause et du stade de la maladie :

Dans tous les cas il faut

diminution de l'activité physique
exclusion des facteurs de stress.

Il existe des méthodes de traitement chirurgical, mais elles ne réussissent que si l'embolisation n'a pas eu lieu il y a plus de 12 heures, sinon une énorme quantité de toxines ischémiques s'accumule et des changements mécaniques se développent, tout cela ne laisse pas espérer des résultats optimistes.