Légendes urbaines sur les monstres. Dix légendes urbaines américaines les plus effrayantes

Bien qu'il n'y ait pas de presse tabloïd et d'Internet en Union soviétique, le genre des soi-disant légendes urbaines existait encore à cette époque. Il y avait de véritables "histoires d'horreur" transmises de bouche à bouche et parfois passées pour la vérité.

Asticots en kvas

Ils ont raconté, par exemple, qu'une fois qu'un baril de kvas s'est retourné - le même qui a été vendu dans la rue, versé dans des tasses et des canettes. Et il s'est avéré que des asticots géants se déplaçaient au fond du baril (pour référence : les asticots sont des vers qui mangent les corps en décomposition des morts). Cette légende existait aussi dans une autre version : un cadavre humain s'est avéré être au fond du tonneau ! Et les acheteurs ont bu ce kvas ...

Ravageurs étrangers

Il était difficile d'acheter de délicieuses sucreries en URSS, elles étaient très rares. Ainsi est née une légende : des étrangers auraient approché des enfants soviétiques dans la rue et les auraient traités avec du chewing-gum ou des bonbons infectés par la tuberculose ou la syphilis. Alternativement, les bonbons étaient farcis d'aiguilles, de morceaux de lames de rasoir ou d'os de baleine.

Jean infecté

Les bons jeans de marque au pays des Soviets étaient également une terrible pénurie. Ils étaient souvent achetés à des marchands noirs qui, à leur tour, les achetaient à des étrangers. Et ils vendaient des jeans infectés par la syphilis. Ou "dans la charge" du jean se trouvait un sac de puces ou de poux.

Rat à la maternelle

L'histoire est comme ça. Des rats ont été empoisonnés dans un jardin d'enfants. Et puis l'animal, avalant de la mort aux rats, est tombé accidentellement dans le chaudron dans lequel le cuisinier préparait de la semoule pour les enfants. Tous les enfants qui ont mangé cette bouillie se sont empoisonnés puis sont morts.

rat afghan

Cette légende est née dans les années 80, au plus fort de la guerre afghane. Une famille a acheté un chiot teckel qui se comportait étrangement, mangeait trop et accordait une attention particulière à l'enfant du propriétaire. Après que le «chiot» ait mordu l'enfant à mort, il s'est avéré qu'il ne s'agissait pas d'un teckel, mais d'un rat afghan: ils disent que les moudjahidines ont spécialement envoyé ces animaux derrière les lignes ennemies pour tuer des gens.

Légendes "alimentaires"

Il y avait de nombreuses légendes alimentaires. Apparemment, du papier hygiénique a été ajouté à la saucisse, du beurre a été fabriqué à partir d'huile et de la vodka a été extraite de la sciure de bois. C'était comme si de la lessive en poudre était ajoutée à la bière pour créer plus de mousse. Ils ont également dit que des pattes et des queues de rat se trouvaient parfois dans les saucisses, les tartes et autres produits, et parfois même dans les dents et les doigts humains !

Moustiques vampires au BAM

Il y avait une légende selon laquelle des cadavres humains sans effusion de sang auraient été retrouvés sur les chantiers de construction de BAM. Toutes ces personnes ont été victimes d'une race spéciale de moustiques qui ont bu tout leur sang.

Les gens emmurés dans les murs

Il y a une vieille croyance selon laquelle un bâtiment tiendra fermement si une personne est emmurée dans le mur. Et puis il y avait des rumeurs selon lesquelles lors de la construction de chaque maison, quelqu'un était sûr d'être tué et emmuré. Il s'agit le plus souvent d'un ouvrier ou même d'un contremaître.

Mines d'uranium au lieu de "tour"

En URSS, il existait encore une mesure de punition telle que la peine de mort. Mais, selon les rumeurs, les condamnés à la "tour" au lieu de la mort ont été envoyés travailler dans les mines d'uranium. La plupart d'entre eux y sont morts, mais parfois ils ont rencontré des personnes vivantes - des personnes très malades, sans dents ...

Endroits perdus

On disait que les bandits perdaient des places dans les cinémas aux cartes. Le perdant devait venir à la séance, s'asseoir derrière le siège perdu et tuer le spectateur qui était assis là avec un poinçon dans le cœur. La même chose se serait produite avec des sièges dans des wagons de train.

Faits incroyables

Parfois, transformer un événement tragique en légende aide les gens à faire face au chagrin et empêche la jeune génération de réaliser la réalité de ce qui se passe.

Dans cet article, nous avons rassemblé pour vous les légendes urbaines les plus effrayantes basées sur des événements réels.

Légendes de la ville

Charlie sans visage

Légende:

Les enfants vivant à Pittsburgh, en Pennsylvanie, adorent raconter l'histoire de Charlie sans visage, également connu sous le nom de Green Man. On pense que Charlie était un ouvrier d'usine défiguré dans un horrible accident, certains affirmant que c'était l'acide, d'autres la ligne électrique.

Certaines versions de l'histoire prétendent que cet incident a fait virer sa peau au vert, mais toutes les versions ont en commun que le visage de Charlie était tellement défiguré qu'il a perdu toutes ses caractéristiques. Selon la légende, il erre dans l'obscurité à travers des endroits oppressants, comme, par exemple, l'ancien tunnel ferroviaire abandonné de South Park, également connu sous le nom de Green Man Tunnel.

Au fil des ans, des adolescents curieux ont visité ce tunnel à la recherche de signes de Faceless Charlie. Beaucoup ont affirmé avoir ressenti un léger choc électrique et avoir eu du mal à démarrer la voiture après avoir appelé Faceless. D'autres ont dit avoir vu une légère lueur de sa peau verte dans un tunnel ou la nuit au bord d'une route de campagne.

Réalité:

Malheureusement, dans cette histoire tragique se trouve la part du lion de la vérité. La légende de Faceless Charlie est apparue en raison du fait qu'il avait un prototype très réel - Raymond Robinson. En 1919, Robinson, qui avait 8 ans à l'époque, jouait avec un ami près d'un pont avec des voies de tramway à haute tension.

Raymond a subi d'horribles blessures après avoir accidentellement touché une ligne électrique. À la suite de l'impact, il a perdu son nez, ses deux yeux et un bras, mais a survécu. Il passa le reste de sa longue vie - 74 ans - à se replier sur lui-même et ne sortit se promener que la nuit, mais il lui rendit les appels amicaux des gens.

tueur dans le grenier

Légende:

Cette histoire effrayante est apparue il y a de nombreuses années. Il raconte l'histoire d'une famille ignorant qu'un intrus dangereux s'est installé dans leur maison, vivant secrètement dans leur grenier pendant des semaines. Ils perdent ou déplacent des objets, des objets suspects apparaissent dans les poubelles. Ils plaisantent gentiment sur le brownie jusqu'à ce qu'un tueur cruel vivant près d'eux les tue dans leur sommeil.

La pire chose à propos de cette légende est que, semble-t-il, c'est tout à fait possible - et c'est vraiment le cas.

Réalité:

Cette histoire a commencé en mars 1922 dans une ferme allemande appelée Hinterkaifeck. Le propriétaire, Andreas Gruber, a commencé à remarquer que des objets disparaissaient périodiquement dans la maison, se trouvant au mauvais endroit. Sa famille a entendu des pas dans la maison la nuit et Andreas lui-même, à la veille de la tragédie, a remarqué les empreintes de pas d'autres personnes dans la neige, mais après avoir examiné la maison et le territoire, il n'a trouvé personne.

Fin mars, l'homme qui a laissé ces traces est descendu du grenier et s'en est pris brutalement à six habitants de la ferme - le propriétaire, sa femme, leur fille, ses deux enfants de 2 et 7 ans et leur bonne avec l'aide d'une houe. Leurs corps n'ont été retrouvés que 4 jours plus tard, et il s'est avéré qu'à ce moment-là quelqu'un s'occupait du bétail. L'identité du contrevenant n'a pas encore été établie.

légendes

médecins de nuit

Légende:

Des histoires de médecins de nuit dans le passé ont souvent été entendues par des propriétaires d'esclaves qui les utilisaient pour intimider leurs esclaves afin qu'ils ne s'enfuient pas. L'essence de la légende est qu'il y avait des médecins qui opéraient la nuit, enlevant des travailleurs noirs pour les utiliser dans leurs terribles expériences.

Des médecins de nuit ont attrapé des gens dans les rues et les ont emmenés dans leurs installations médicales pour torturer, tuer, démembrer et découper leurs organes.

Réalité:

Cette histoire effrayante a une suite très réelle. Tout au long du XIXe siècle, le pillage de tombes était un gros problème et la population afro-américaine ne pouvait protéger ni ses proches décédés ni elle-même. De plus, des étudiants en médecine ont pratiqué des opérations sur des membres vivants de la communauté afro-américaine.

En 1932, l'Alabama State Health Service et l'Université de Tuskegee ont lancé un programme d'étude de la syphilis. Aussi terrible que cela puisse paraître, 600 hommes afro-américains ont été emmenés pour réaliser l'expérience. Parmi ceux-ci, 399 avaient déjà la syphilis et 201 non.

Ils ont reçu de la nourriture gratuite et une garantie pour protéger leur tombe après la mort, mais le programme a perdu son financement, mais les participants n'ont rien dit de leur terrible maladie. Les chercheurs ont cherché à étudier les mécanismes de la maladie et ont continué à suivre les patients. On leur a dit qu'ils étaient traités pour une maladie du sang non grave.

Les patients ne savaient pas qu'ils avaient la syphilis ou qu'ils avaient besoin de pénicilline pour la traiter. Les scientifiques ont refusé de donner des informations sur les médicaments ou l'état de leurs patients.

Cette histoire, agrémentée de propriétaires d'esclaves chevauchant des chevaux vêtus de blanc la nuit, a longtemps instillé la peur et la crainte de la légende chez les Noirs.

Les meurtres d'Alice

Légende:

C'est une légende urbaine assez jeune du Japon. Il dit qu'entre 1999 et 2005 au Japon, il y a eu une série de meurtres brutaux. Les corps des victimes ont été mutilés, leurs membres ont été arrachés et une caractéristique distinctive de tous les meurtres était qu'à côté de chaque cadavre, le nom "Alice" était écrit dans le sang de la victime.

La police a également trouvé une carte à jouer sur chacune des scènes de crime effrayantes. La première victime a été retrouvée dans la forêt et des parties de son corps ont été enfilées sur les branches de divers arbres. La deuxième victime a eu les cordes vocales arrachées. La troisième victime, une adolescente, a eu la peau gravement brûlée, la bouche ouverte, les yeux arrachés et une couronne cousue sur la tête. Les dernières victimes du tueur étaient deux petits jumeaux - ils ont reçu des injections létales pendant leur sommeil.

La police aurait arrêté un homme en 2005 qui a été retrouvé portant une veste de l'une des victimes, mais ils n'ont pas été en mesure de le relier à l'un des meurtres. L'homme a affirmé que la veste lui avait été remise.

Réalité:

En fait, il n'y a jamais eu de tels meurtres au Japon. Cependant, peu de temps avant l'apparition de cette légende, un maniaque opérait en Espagne, qui s'appelait le Card Killer. En 2003, toute la police de Madrid a été envoyée pour capturer l'homme responsable de 6 meurtres brutaux et de 3 assassinats. A chaque fois, il laissait une carte à jouer sur le corps de l'assassiné. Les autorités étaient désemparées - il n'y avait aucun lien entre les victimes ou un motif évident.

Tout ce qu'on savait, c'est qu'ils avaient affaire à un psychopathe qui choisissait ses victimes au hasard. Il n'aurait jamais été arrêté si un jour lui-même n'était pas venu à la police avec des aveux. Le tueur de cartes s'est avéré être Alfredo Galan Sotillo. Au cours du procès, Alfredo a changé son témoignage à plusieurs reprises, rétractant ses aveux et affirmant que les nazis l'avaient forcé à avouer les meurtres. Malgré cela, le tueur a été condamné à 142 ans de prison.

légendes urbaines effrayantes

La légende de Cropsy

Légende:

Parmi les habitants de Staten Island, la légende de Corpsi existe depuis des décennies. Il raconte l'histoire d'un tueur fou armé d'une hache qui s'est échappé d'un vieil hôpital et se cache dans les tunnels sous l'école publique Willbrook abandonnée. Il sort de sa cachette la nuit et s'attaque aux enfants : certains disent qu'il a un crochet en guise de main, d'autres qu'il manie une hache. L'arme n'a pas d'importance pour lui, le résultat est important pour lui - attirer l'enfant dans les ruines de la vieille école et le couper en morceaux.

Réalité:

Il s'est avéré que le tueur fou était bien réel. Andre Rand était directement responsable de l'enlèvement de deux enfants. Il a travaillé comme concierge dans cette même école jusqu'à sa fermeture. Là-bas, les enfants handicapés étaient détenus dans des conditions terribles : ils étaient battus, insultés, ils n'avaient ni nourriture ni vêtements normaux. Le Rand sans-abri est retourné dans les tunnels sous l'école pour continuer les atrocités qui avaient régné auparavant dans cette école.

Des enfants ont commencé à disparaître et le corps de Jennifer Schweiger, 12 ans, a été retrouvé dans les bois près du camp de Rand. Il a été accusé du meurtre de Jennifer et d'un autre enfant disparu. Il n'a pas été pleinement prouvé que ces meurtres étaient de sa faute, mais la police a réussi à prouver qu'il était impliqué dans des enlèvements d'enfants. Il a été condamné à 50 ans de prison. Le sort des autres enfants disparus n'a pas encore été révélé.

Baby-sitter et tueur au deuxième étage

Légende:

L'histoire de la baby-sitter et du tueur cachés à l'étage est sans aucun doute un classique de l'horreur urbaine. Selon cette légende, une fille qui travaille comme nounou pour une famille aisée reçoit un appel effrayant. Dans presque toutes les versions de l'histoire, l'appelant demande à la baby-sitter si elle a vérifié les enfants. La nounou appelle la police, où il s'avère qu'ils appellent de la maison où elle se trouve avec les enfants. Selon la plupart des versions, tous les trois sont retrouvés brutalement assassinés.

Réalité:

La raison de la diffusion de cette terrible histoire était le meurtre très réel de la fille de 12 ans Janet Christman, qui s'occupait de Gregory Romak, 3 ans. En mars 1950, lorsque ce crime brutal a eu lieu, il y a eu un terrible orage à Columbia, Missouri. Janet venait de mettre l'enfant au lit lorsqu'un inconnu est entré dans la maison et a brutalement violé et tué la fille.

Longtemps parmi les principaux suspects, un certain Robert Muller, également accusé d'un autre meurtre. Malheureusement, les preuves contre Mueller n'étaient que circonstancielles, mais il a néanmoins été accusé d'avoir tué Janet. Quelque temps plus tard, il a intenté une action en justice pour détention injustifiée, les charges ont été abandonnées et il a quitté la ville pour de bon. Après son départ, ces crimes ont cessé.

Légendes basées sur des événements réels

homme lapin

Légende:

L'histoire de l'homme lapin est apparue vers les années 70 du siècle dernier et, comme de nombreuses légendes urbaines, a plusieurs versions. Le plus courant d'entre eux parle d'événements survenus en 1904, lorsque l'institution psychiatrique locale de Clifton, en Virginie, ferme et qu'il devient nécessaire de transférer les patients dans un nouveau bâtiment. Selon les classiques du genre, le transport avec des patients tombe dans un accident grave, la plupart d'entre eux meurent et les survivants se libèrent. Ils sont tous ramenés avec succès... sauf un - Douglas Griffin, envoyé dans un hôpital psychiatrique pour avoir tué sa famille le dimanche de Pâques.

Peu de temps après sa fuite, des carcasses de lapins épuisés et mutilés apparaissent dans les arbres de la région. Quelque temps plus tard, les habitants découvrent le corps de Marcus Wallster suspendu au plafond d'un passage souterrain sous une voie ferrée dans le même état terrible que les lapins qui l'ont précédé. La police a tenté de pousser le fou dans un coin, mais celui-ci, alors qu'il s'enfuyait, a été renversé par un train. Maintenant, son fantôme agité erre dans la région et accroche toujours les carcasses de lapins aux arbres.

Certains prétendent même avoir vu l'homme-lapin en personne, debout à l'ombre du passage souterrain. Les habitants pensent que quiconque ose entrer dans le passage à niveau la nuit d'Halloween sera retrouvé mort le lendemain matin.

Réalité:

Heureusement, cette légende effrayante n'est qu'une légende, et il n'y avait vraiment pas de tueur fou. Il n'y avait pas de Douglas Griffin, pas de Marcus Wallster. Cependant, dans le comté de Fairfax, vivait un homme malsain obsédé par les lapins et terrorisant les habitants dans les années 70 du siècle dernier.

Il se précipite sur les passants et les poursuit avec une petite hache à la main. Certains ont affirmé qu'il avait une fois jeté une hachette à travers la vitre d'une voiture qui passait. Un incident s'est produit dans la maison d'un des résidents locaux. Le fou prit une hache à long manche et se mit à abattre le porche de la maison du malheureux. Il s'est échappé avant l'arrivée de la police et personne ne sait encore qui il est et ce qui l'a motivé.

Accrocher

Légende:

La légende du crochet est peut-être la plus courante de toutes les histoires d'horreur urbaines. Il a plusieurs versions, chacune plus effrayante que la précédente, et la plus célèbre parle d'un couple faisant l'amour dans une voiture garée. La radio est soudainement interrompue pour annoncer aux auditeurs une terrible nouvelle - un tueur cruel s'est échappé, brandissant un crochet, et maintenant il se cache dans le parc même où se trouvent les amants.

La jeune fille, ayant appris la nouvelle, demande à son bien-aimé de partir au plus vite. Le gars est énervé, mais ils s'en vont, et il la ramène chez elle. À leur arrivée, ils trouvent un crochet ensanglanté suspendu à la poignée de porte côté passager.

Réalité:

Que le couple rentre chez lui sans incident ou que la jeune fille soit horrifiée d'entendre les doigts de son amant toucher le toit de la voiture alors que son corps ensanglanté est suspendu à un arbre, l'histoire n'est pas arrivée par hasard. À la fin des années 1940, une petite ville paisible a été secouée par une série de meurtres horribles. Le coupable a été surnommé le Moonlight Killer, mais n'a jamais été retrouvé.

La nuit, il a tué des jeunes dans des voitures en stationnement. Des habitants apeurés rentraient chez eux bien avant le couvre-feu annoncé par les autorités. Les crimes sanglants se sont arrêtés aussi vite qu'ils avaient commencé et le Moon Slayer a disparu dans la nuit.

chien garçon

Légende:

Dans la ville de Quitman, Arkansas, la légende du Dog Boy circule depuis longtemps. Les habitants ont affirmé qu'il racontait l'histoire d'un petit garçon diabolique et très cruel qui aimait torturer des animaux sans défense, puis est complètement passé à ses parents. Après la mort du garçon, son fantôme a vécu dans la maison où il a tué ses parents, sous la forme d'un mi-homme, mi-chien, instillant l'horreur et la peur chez les gens. Les gens remarquent souvent sa silhouette dans la pièce où il gardait les animaux dont il maltraitait.

Des témoins le décrivent comme une grande créature à fourrure ressemblant à un chien avec des yeux de chat brillants. Ceux qui passent devant sa maison remarquent qu'il les surveille de près depuis la fenêtre de la maison, et certains prétendent même qu'une créature incompréhensible à quatre pattes les poursuivait dans la rue.

Réalité:

Il était une fois un garçon colérique et cruel nommé Gerald Bettis qui vivait dans une vieille maison au 65 Mulberry Street. Son passe-temps favori était d'attraper les animaux des voisins. Il avait une chambre à part où il amenait les malheureux. Là, il les a torturés et les a brutalement tués. Au fil du temps, sa cruauté a commencé à se manifester vis-à-vis des parents âgés. Il était énorme et en surpoids.

On dit que c'est lui qui a tué son père, mais personne n'a jamais pu prouver qu'il l'avait provoqué à tomber dans les escaliers. Après la mort de son père, il a continué à maltraiter sa mère, la gardant enfermée et affamée jusqu'à la mer. Les forces de l'ordre sont intervenues et ont réussi à sauver la malheureuse mère. Quelque temps plus tard, elle a témoigné contre lui pour avoir cultivé et consommé de la marijuana. Il a été envoyé en prison, où il est mort d'une overdose.

Des légendes qui se sont avérées vraies

Eau noire

Légende:

Cette histoire plutôt célèbre commence avec une famille ordinaire qui achète une nouvelle maison. Ils vont bien jusqu'à ce qu'ils ouvrent le robinet, qui verse une eau noire, boueuse et nauséabonde. Après avoir vérifié le réservoir d'eau, ils découvrent un corps en décomposition. On ne sait pas quand cette légende est née, mais une histoire similaire a vraiment eu lieu.

Réalité:

Le corps d'Eliza Lam a été retrouvé dans un réservoir d'eau à l'hôtel Cecile à Los Angeles, en Californie, en 2013. Sa mort reste un mystère et le meurtrier n'a pas été retrouvé. Au moment où les invités se sont plaints de l'eau contaminée et que son corps a été retrouvé, il se décomposait dans le réservoir depuis une semaine.

Les légendes les plus effrayantes

Bloody Mary

Légende:

Selon une croyance populaire effrayante à propos de Bloody Mary, pour invoquer son esprit maléfique, il faut allumer des bougies, éteindre les lumières et murmurer son nom tout en se regardant dans un miroir. Quand elle arrive, elle peut faire une série de choses inoffensives, ainsi que des choses terribles.

Réalité:

Selon les psychologues, si vous regardez longtemps dans le miroir, vous pouvez voir comment quelqu'un d'autre vous regarde en réponse, donc très probablement la légende de Bloody Mary n'est pas apparue de nulle part. Le psychologue italien Giovanni Caputo appelle ce phénomène "l'illusion d'un visage extraterrestre".

Selon Caputo, si vous regardez longuement et intensément votre reflet dans un miroir, votre champ de vision commencera à se déformer et les contours et les limites deviendront flous - votre visage ne se ressemblera plus. La même illusion se manifeste lorsqu'une personne voit des images et des silhouettes dans des objets inanimés.

Le Japon est un pays unique avec une culture et des traditions très spécifiques. Les fantômes et la diablerie sont crus ici depuis des temps immémoriaux, il n'est donc pas surprenant que les Japonais aient de nombreuses légendes urbaines effrayantes qui feront que même les plus courageux d'entre nous ressentiront des frissons dans le dos. Vous trouverez ci-dessous les plus intéressants et effrayants de ces mythes.

Répondre à l'homme

The Answer Man est un esprit incorporel qui connaît les réponses à toutes les questions. Pour le contacter, il faut se mettre en groupe avec une dizaine de personnes, se lever à minuit pile en cercle et appeler le portable de celui qui est à votre gauche. Logiquement, tous les téléphones portables seront occupés, mais l'un des participants aura peut-être la chance de joindre l'Answer Man. Ce dernier vous posera une énigme délicate. Si vous le résolvez, l'esprit répondra à toutes vos questions. Sinon, il vous prendra une partie du corps pour acquérir sa propre chair à l'avenir.

Manoir Himuro

Les membres de l'ancienne famille Himuro avaient une terrible coutume. Pour se protéger des mauvais esprits, ils accomplissaient un sacrifice tous les cinquante ans. Pour ce faire, une des jeunes filles de la famille accepta d'être attachée, et les extrémités des cordes furent attachées à trois bœufs, qui accélérèrent et déchirent le corps de la malheureuse. Une fois, il n'y avait pas de volontaires et la famille a tué de force un parent de cette manière. Elle a maudit toute la famille avant sa mort, et en cinquante ans, la famille autrefois nombreuse a complètement dégénéré. On dit que les fantômes des anciens propriétaires vivent toujours dans le manoir, devenu un musée.

Enfer Tomino

"Hell of Tomino" est un poème maudit écrit en 1919 par le poète japonais Yomota Inuhiko. Une œuvre qui raconte l'histoire d'une fille nommée Tomino, décédée et qui s'est retrouvée dans le monde souterrain, ne peut pas être lue à haute voix, sinon quelque chose de désagréable pourrait vous arriver, jusqu'à la mort.

Village d'Inunaki

Le village d'Inunaki est une colonie légendaire qui existe soi-disant quelque part dans les montagnes du Japon. Aucune loi ne s'applique ici et le cannibalisme, l'inceste, le sacrifice et la magie noire fleurissent. Si vous avez eu le malheur de mettre le pied sur le territoire du village, vous n'en reviendrez jamais. Soit vous serez tué, soit vous devrez devenir un membre à part entière de cette terrible communauté et perdre votre âme à la suite d'une telle vie.

La fille de l'écart

Si jamais vous vous retrouvez au Japon et séjournez dans l'un des hôtels locaux, essayez de ne pas regarder les fissures dans les murs et entre les meubles. Selon un autre mythe, le visage d'une femme pourrait y apparaître soudainement. L'inconnue vous dira que si vous la revoyez une fois de plus, elle vous emmènera directement en enfer. Après cela, le fantôme essaiera de toutes ses forces d'entrer dans vos yeux afin de tenir sa promesse et de prendre possession de votre âme.

Kuchisake-onna

L'habitude des Japonais de porter des bandages de gaze en hiver a également joué un rôle dans le folklore moderne du Pays du Soleil Levant. Kuchisake-onna est une femme que l'on peut trouver dans les villes japonaises lors d'épidémies de grippe et d'autres maladies. Elle porte toujours un pansement sur son visage. Si vous rencontrez Kuchisake-onna dans une rue déserte, elle viendra vers vous et dévoilera son visage. La bouche de la femme sera coupée jusqu'aux oreilles. Elle vous demandera : "Tu me trouves belle ?" Si vous répondez par la négative, l'esprit se fâchera et vous mettra en pièces. Si vous dites "Oui", la femme sortira de gros ciseaux et vous coupera les joues de la même manière pour vous rendre belle vous aussi.

Téké-téké

Teke-teke est un esprit encore plus terrifiant de la légende urbaine moderne. Une fois, c'est une belle fille qui a décidé de se suicider et a sauté sous les rails du métro. La femme japonaise a été coupée en deux et depuis lors, la partie supérieure de son corps se déplace dans les rues du pays, produisant des sons de cliquetis caractéristiques. Le fantôme est capable de se déplacer très rapidement, et si vous le rencontrez face à face, il commencera certainement à vous chasser. Dans le cas où il parvient à rattraper une personne, sa mort sera si terrible que ce moment n'est même pas précisé dans la légende.

Poupée Okiku

Il était une fois une poupée portant ce nom qui appartenait à une petite japonaise. Ses parents étaient si cruels qu'ils ont laissé leur fille mourir de froid. L'âme de l'enfant s'est déplacée dans un jouet préféré, et depuis lors, la poupée a commencé à faire pousser des cheveux humains. Il est à noter que dans le temple japonais de Mannenji, il y a vraiment une poupée portant ce nom et, selon les prêtres, le jouet fait pousser des cheveux qui doivent être coupés périodiquement.

Tunnel Kiyotaki

Le chiffre quatre est considéré comme méchant par les Japonais. Au pays du soleil levant, ils ont tellement peur de lui que tous les bâtiments ici sont construits sans quatrième étage, c'est-à-dire qu'après le troisième, le cinquième suit immédiatement. Lorsqu'un tunnel d'une longueur de quatre cent quarante-quatre mètres a été construit dans le nord du Japon, des événements terribles ont immédiatement commencé à s'y produire. Des fantômes apparaissent périodiquement sur la route, ce qui entraîne de nombreux accidents. On pense que les conducteurs décédés dans le tunnel rejoignent les esprits qui provoquent de plus en plus d'accidents de voiture. Selon les statistiques officielles, les accidents se produisent ici beaucoup plus souvent que dans les autres tunnels japonais.

Hitobashira

En russe, le mot japonais « hitobashira » est traduit par « piliers vivants ». Dans l'ancien Japon, on croyait qu'une personne, incrustée vivante dans l'un des piliers d'un bâtiment, chasserait les mauvais esprits du bâtiment et lui permettrait de se tenir debout pendant de nombreux siècles. Une telle coutume barbare était en effet pratiquée ici au Moyen Âge - par exemple, une paysanne aveugle a été emmurée vivante à la base du château de Maruoka, illustrée sur la photo ci-dessus. Au Japon, il existe un grand nombre de bâtiments vieux de plus de quatre cents ans, et on pense que parmi eux, il n'y en a pas un où les restes d'un autre malheureux ne reposeraient pas dans le béton.

Comme nous l'avons déjà dit, la réalité est bien pire que la fiction. Par conséquent, nous avons déniché quelques histoires d'horreur supplémentaires pour vous, que nous vous raconterions certainement au feu de camp la nuit si vous décidiez soudainement de quitter votre trou douillet. Toutes les histoires ci-dessous sont vraies.

1. Photos des morts

Légende:
Ainsi, un garçon d'épicerie ramène des courses à la maison à une vieille femme excentrique et remarque soudain une vieille photo sur l'une des étagères, d'où ses cheveux se dressent soudainement autant que possible. La photo montre un petit garçon dans son plus beau costume de fête ; la photo semble tout à fait normale, mais en même temps elle a quelque chose d'effrayant. Le messager interroge la vieille dame à propos de la photo, et la vieille dame répond innocemment en fourrant le chat dans la machine à laver : « Oh, vraiment beau ? Comme si c'était vivant."

Histoire:
Aujourd'hui, la plupart des gens sont trop choyés et préfèrent ne pas regarder dans les cercueils des morts, mais à la fin du 19e et au début du 20e siècle, la mort de quelqu'un signifiait généralement qu'il était temps pour une photo de famille. À l'époque, cela s'appelait la photographie commémorative.

Et bien que cette pratique ressemble à la mauvaise farce de quelqu'un, il y a une explication pratique à cela. Le fait est que le processus de tournage était alors si coûteux que les photos de famille ne pouvaient être prises qu'une seule fois dans une vie. En même temps, les gens devaient rester assis pendant quelques minutes pour que tout se passe parfaitement. Et ce à quoi les morts sont bons, c'est de rester assis.

Par conséquent, les corps des morts étaient habillés et assis devant la caméra, les yeux ouverts. Et au cas où ils ne ressemblaient plus assez à des personnes vivantes, un peu de couleur a été ajoutée à l'image plus tard. Et regardez ce que les gens pouvaient faire à cette époque avec l'aide des effets spéciaux les plus simples !

Au fil du temps, la pratique de la photographie commémorative est devenue obsolète. Peut-être parce que prendre des photos est devenu beaucoup plus facile et plus accessible. Ou quelqu'un s'est juste interrogé sur la santé mentale de ce qui se passe.

2. Un cadavre enveloppé dans un tapis

Légende:
Selon la légende, quelqu'un a trouvé un beau vieux tapis dans la rue, l'a ramené à la maison et a trouvé un homme mort enveloppé à l'intérieur. En même temps, il existe différentes variantes, et le cadavre se retrouve parfois dans un réfrigérateur mis au rebut ou une vieille armoire, mais l'essence de toutes les histoires est la même : il n'est pas bon de traîner toutes sortes de déchets de la rue.

Histoire:
En 1984, trois étudiants de l'Université de Columbia ont trouvé un tapis roulé sur le trottoir et ont décidé de l'emporter dans leur dortoir.

Après avoir traîné la découverte jusqu'à la maison, ils ont déroulé le tapis et ont trouvé à l'intérieur le cadavre en décomposition d'un inconnu avec deux impacts de balle dans le crâne. Trois étudiants d'une prestigieuse université ont porté un tapis sur plusieurs mètres et pendant tout ce temps ils n'ont jamais prêté attention à un cadavre en décomposition de 90 kilos !

3. Femme empoisonnée

Légende:
Une femme malade est emmenée à l'hôpital et lorsque les infirmières lui prélèvent un échantillon de sang, il s'avère être si toxique que tout le monde près d'elle tombe malade. Réalisant qu'ils avaient affaire à un monstre d'Alien sous forme humaine, les infirmières se sont enfuies de peur.

Histoire:
Le soir du 19 février 1994, Gloria Ramirez, atteinte d'une forme extrêmement grave de cancer, est admise aux urgences de Californie.

Lorsque l'infirmière l'a saignée, elle a attrapé une odeur désagréable qui était si dégoûtante que le personnel a commencé à se sentir malade, et certains qui étaient à côté de la patiente ont même perdu connaissance. En fin de compte, 23 personnes ont alors été infectées. Le service des urgences a été évacué, après quoi un groupe de désinfecteurs est entré dans l'entreprise.

Ce cas a été qualifié d'hystérie de masse, mais étant donné qu'une des victimes a passé deux semaines aux soins intensifs avec une hépatite, une pancréatite et une nécrose (nécrose, mort des cellules et des tissus d'un organisme vivant sous l'influence de facteurs pathogènes), nous peut dire que soit c'était une hystérie sacrément grave, soit la personne qui a fait ce diagnostic a obtenu son diplôme de l'Université des Idiots.

Quant à Gloria, elle est décédée 40 minutes après son admission à l'hôpital. Son autopsie a été pratiquée par des personnes en tenue de protection, mais malgré l'une des enquêtes les plus approfondies menées dans l'histoire, la raison des niveaux élevés de toxines dans le sang de cette femme est restée inconnue.

4 Amant sans tête

Légende:
Une femme enceinte avoue à son mari que l'enfant qu'elle porte n'est pas le sien. Le mari, en personne rationnelle et prudente, coupe la tête de son amant et l'apporte à sa femme à l'infirmerie. L'histoire a de nombreuses versions, mais l'essence de toutes se résume à une chose : évitez les garçons appétissants, les femmes mariées.

Histoire:
En 1993, le sergent Stephen Schap et Diane Schap, qui vivaient en Allemagne, ont découvert que leur famille serait bientôt reconstituée, ce qui aurait certainement été une excellente nouvelle si Stephen n'avait pas pratiqué une vasectomie un an plus tôt. Oups. Dans le studio du talk-show américain Jerry Springer (quelque chose comme les "Windows" russes avec Nagiyev), Diana a été forcée d'admettre qu'elle avait eu une liaison avec le meilleur ami de son mari, Gregory Glover (Gregory Glover) et, malheureusement, la réaction de Steven à ce message ne se limitait pas à jeter des meubles dans la pièce.

Par une froide journée de décembre, une Diana enceinte était allongée dans un lit d'hôpital et parlait au téléphone avec Gregory quand soudain la ligne téléphonique s'est coupée. La femme n'a pas eu à attendre longtemps pour savoir ce qui s'était passé, car une demi-heure plus tard, son mari a fait irruption dans la salle et a sorti la tête fraîchement coupée de son ancien ami d'un sac de sport.

« Écoute, Diana, Glover est là ! Maintenant, il dormira avec vous chaque nuit. Mais tu ne pourras pas dormir, parce que tu le verras »- avec ces mots, Stephen posa sa tête ensanglantée sur la table de chevet face à sa femme. Vous pouvez dire ce que vous voulez sur l'état mental du sergent Shap, mais ce type a définitivement un penchant pour le dramatique.

5. Évasion ratée de l'escapiste

Légende:
L'évadé échoue le tour mortel et meurt devant le public. Souvent, de telles rumeurs sont propagées par les magiciens eux-mêmes pour ajouter un élément de risque à leur nombre.

Histoire:
Malgré l'illusion du danger, les évadés meurent rarement ou même se blessent en exécutant cette cascade. La plupart des gens sains d'esprit prennent toutes les précautions de sécurité possibles lorsqu'ils sont sur le point de plonger liés dans un réservoir d'eau. Mais Joseph Barrus n'était pas l'un d'entre eux.

Ironiquement, Barrus a dû sortir de sa propre tombe. Il a été enchaîné et placé dans une boîte en plastique transparente, qui a été descendue dans la tombe à une profondeur de 2 mètres. D'en haut, la boîte était recouverte d'une couche de terre d'un demi-mètre et les ouvertures vides étaient remplies de béton humide. Tout semblait aller bien, mais il s'est avéré que la boîte en plastique s'est fissurée et a écrasé l'évadé.

6Meurtre à la scie

Légende:
Toutes ces énigmes complexes et ces pièges soigneusement planifiés, organisés par le tueur surnommé Jigsaw, ne sont rien de plus que de la fiction et il est peu probable qu'ils aient eu lieu dans la réalité.

Mais soudain, quelqu'un apparaît sur Internet qui prétend avoir entendu une histoire vraie sur la façon dont un gars avec un collier piégé a fait irruption dans une banque, qui, selon lui, était censée lui faire sauter la tête s'il ne braquait pas la banque le au nom d'un génie criminel...

Vérité:
Par une belle journée d'août 2003 qui n'était pas différente des autres, le livreur de pizza Brian Wells était sur le point de terminer son quart de travail lorsqu'il a reçu un appel malheureux. Suivant les instructions, Brian a conduit sur une route de terre et sinueuse et a atteint une tour de télévision abandonnée. La plupart des gens à la place de ce jeune homme auraient simplement jeté la pizza dans le fossé et seraient partis. Mais pas Brian Wells. Ce type s'est donné sans laisser de trace à son travail peu rémunéré.

Personne ne sait vraiment ce qui s'est passé là-bas, mais on sait qu'environ une heure plus tard, un jeune homme s'est présenté à la banque susmentionnée avec un collier sophistiqué, tenant un pistolet artisanal qui ressemblait plus à une canne et une note exigeant un quart de un million de dollars en espèces.

Malheureusement, Brian était aussi doué pour braquer des banques que pour éviter les pièges évidents des films d'horreur, il a donc été rapidement arrêté sur le parking. La police a remarqué le collier, mais l'a pris pour un accessoire de mode et n'a pas jugé nécessaire d'appeler les sapeurs. Quand ils les ont quand même appelés et qu'ils sont arrivés sur les lieux, "l'accessoire de mode" avait déjà explosé, et un trou de la taille d'une carte postale s'affichait dans la poitrine de Wells.

Après avoir fouillé Wells, la police a trouvé une feuille avec une liste de tâches, chacune devant être accomplie dans un certain temps pour que la bombe n'explose pas. Mais dans tous les cas, le pauvre Brian était condamné dès le début, car il s'est avéré plus tard qu'il était tout simplement impossible d'accomplir ces tâches, même si vous suiviez strictement les instructions. Il n'a tout simplement pas eu assez de temps.

Vraisemblablement, tous les organisateurs de cette anarchie ont été arrêtés et condamnés. Mais encore, il y a une possibilité que quelque part dans les rues un autre pervers avec une imagination malade, qui n'a pas eu le temps de traduire en justice, fouine.

7. Appel de l'autre monde

Légende:
Cette histoire ressemble à un vieux conte, adapté aux réalités modernes, qui est raconté par le feu : quelqu'un reçoit des appels téléphoniques d'un ami ou d'un parent, qui, comme il s'avère plus tard, est mort depuis tout ce temps.

Vérité:
Le 12 septembre 2008, un train de banlieue californien a traversé un feu rouge et s'est écrasé dans un train de marchandises. 25 personnes sont alors décédées.

La famille de Charles Peck, qui se trouvait dans le même train, regardait les informations, redoutant l'annonce du sort de leur proche… lorsque le téléphone a sonné. Et puis encore et encore.

Les appels provenaient du téléphone portable de Charles à chaque membre de la famille à tour de rôle. Au total, 35 ont été fabriqués.
La police a réussi à retrouver le corps de Charles parmi les décombres en traçant le signal de son téléphone portable, mais ces retrouvailles ne peuvent pas être qualifiées d'heureuses. Charles était mort, et qui et comment a appelé depuis son téléphone reste un mystère à ce jour.

Maintenant, devinez ce qui a distrait le conducteur de la route et à cause de quoi il a brûlé un feu rouge.

Oui, c'était mobile.

8 Tueur d'ascenseur

Légende:
Les portes métalliques se ferment, emprisonnant la victime sans défense, qui ne peut rien faire de plus que crier de terreur alors que la cabine d'ascenseur monte, et finit par lui couper la tête et les membres. Cette scène peut être vue dans un certain nombre de films d'horreur bon marché, dont un dont l'histoire tourne entièrement autour d'un ascenseur.

Mais dans la vraie vie, il y a des précautions de sécurité, et de telles choses ne peuvent pas arriver.

Vérité:
Il y a des précautions de sécurité, bien sûr, mais elles n'ont pas aidé le Dr Hitoshi Nikaidoh le 16 août 2003. À ce jour, personne ne sait exactement pourquoi les portes de l'ascenseur ne se sont pas rouvertes lorsque le médecin s'est retrouvé coincé entre elles. Les inspecteurs ont suggéré que la tragédie s'était produite en raison d'un câble qui s'était détaché.

Combien de dégâts un tel câble peut-il causer ? Bien…

Alors que les portes se refermaient sur le Dr Nikaido comme un étau, l'ascenseur commença à monter jusqu'à couper la tête de l'homme au niveau de la bouche, ne laissant que l'oreille gauche et la mâchoire inférieure attachées au torse. Image assez effrayante, vous ne trouvez pas ? Imaginez maintenant ce que c'était pour une infirmière qui a passé environ une heure assise dans une cabine inondée de sang avec la tête coupée d'un bon médecin.

9 Suicide à la tronçonneuse

Légende:
Cette histoire existe depuis plusieurs décennies, et pendant ce temps, elle a réussi à acquérir de nombreux détails différents. Certains disent que le gars s'est coupé la tête sur un pari, d'autres que c'était un accident, et d'autres encore prétendent que c'était un suicide.

Mais pour être honnête, est-ce physiquement possible ?

Vérité:
Il semble que oui.

Le Britannique David Phyall (David Phyall), âgé de 50 ans, ne voulait absolument pas quitter l'immeuble, qui devait être démoli. L'homme s'est vu proposer onze options de logement alternatives, mais il a catégoriquement refusé d'en accepter une seule. Un à un, les voisins ont déménagé, le laissant seul dans la vieille maison.

Quelque chose devait être sacrifié, et ce quelque chose, en fin de compte, était la colonne vertébrale de David. Le plan qu'il a imaginé a sans aucun doute mis l'homme en danger de mort et, en plus de tout le reste, a surchargé de travail la femme de ménage. Attachant une tronçonneuse au pied de la table, David s'allongea sur le sol, s'arrangeant pour que son cou soit contre la chaîne. Puis il a réglé une minuterie sur 15 minutes et s'est rempli d'alcool.

Le plan de David s'est déroulé aussi bien que sa tête a quitté son torse.

Le chef de la police a demandé au sergent qui avait découvert le corps de David si ce qu'il avait vu l'avait choqué. "Dans un sens, oui, monsieur", a répondu le sergent, et a immédiatement reçu une réprimande pour avoir montré des émotions et manqué de sang-froid pendant son service.

10 têtes ratatinées

Légende:
Pendant de nombreuses années, les têtes humaines recroquevillées ont fait l'objet de toutes sortes de légendes et d'anecdotes, mais tout cela n'est que fiction et rien de tel ne s'est jamais produit.

Vérité:
En fait, ce n'est pas un mythe, et la pratique consistant à créer de telles têtes humaines ratatinées était courante principalement dans les tribus vivant dans la région du fleuve Amazone.

Pour fabriquer une telle tête, une incision a été pratiquée à l'arrière d'une tête humaine de taille normale, après quoi la peau et la chair ont été soigneusement retirées du crâne. Les paupières et la bouche étaient cousues ensemble, la viande était complètement bouillie, puis bouillie sur des pierres chaudes, après quoi ils en ont moulé une tête. Mais bien que la création de telles têtes ait effectivement eu lieu, cela s'est fait extrêmement rarement, même dans les tribus où cette pratique était courante. Tout a changé à la fin du XIXe siècle, lorsque la collection d'accessoires aussi inhabituels et effrayants est devenue très populaire. Les choses sont arrivées au point que de nombreuses tribus sud-américaines et polynésiennes (dont la plupart ne l'ont jamais fait du tout) se sont battues les unes contre les autres, juste pour avoir la tête.

En échange de têtes réduites, les Blancs donnaient des armes aux indigènes et s'assuraient ainsi, pourrait-on dire, un approvisionnement constant en biens nouveaux.

Aux États-Unis, le commerce de ces bizarreries s'est poursuivi pendant de nombreuses années, jusqu'aux années 1940, lorsqu'elles ont été officiellement interdites.

11. Ferme de cadavres

Légende:
Il y a des histoires de parcelles de terre isolées où des cadavres non enterrés se décomposent au soleil de midi. Quel est le problème? Le tueur s'est enfui ? Ou les fossoyeurs se sont-ils remis en grève ?

Vérité:
Les fermes de cadavres sont réelles et complètement légales aux États-Unis.

La série télévisée CSI: Crime Scene Investigation n'en parle pas, mais les fermes corporelles sont en fait de plus en plus importantes pour les médecins légistes, car elles permettent aux scientifiques d'étudier comment le corps humain se décompose dans différentes conditions.

Trois de ces fermes inhabituelles sont situées près de Knoxville, Tennessee, San Marcos, Texas et Callow, Caroline du Nord.

Celui de Knoxville est le plus ancien et le plus amélioré ; il occupe 2,5 acres de terrain et il y a 40 à 50 corps à la fois.

Dans la vidéo en anglais ci-dessous, vous pouvez voir comment un homme montre sa collection de cadavres et parle de gants en peau humaine.

12. Tête coupée vivante

Légende:
La tête continue de fonctionner pendant un certain temps après avoir été séparée du corps. Selon la légende, les têtes coupées clignaient des yeux, réagissaient aux stimuli et essayaient même de parler.

Histoire:
La mort par décapitation a toujours été considérée comme rapide et indolore (la guillotine a été inventée comme méthode d'exécution sans cruauté), mais il existe de nombreuses preuves que le cerveau humain continue de fonctionner pendant plusieurs secondes, voire une minute, après avoir été séparé. du corps.

L'une des preuves les plus anciennes et les plus célèbres de cela est l'expérience du Dr Boryo. Après l'exécution du meurtrier français Languile, ses yeux et sa bouche ont bougé pendant encore 5 à 6 secondes avant de se calmer. Mais lorsque Boryo a crié son nom, les yeux du criminel se sont immédiatement ouverts.

"Les yeux de Langil me regardaient définitivement", a déclaré Boryo. "Le regard était concentré." Après cela, le bon docteur a continué à recevoir des résultats similaires pendant encore 30 secondes.

Il y a beaucoup d'histoires liées à la guillotine, mais qu'en est-il de l'ère moderne ? Nous pouvons vous assurer que de tels cas se produisent encore aujourd'hui. L'une d'elles nous a été racontée par un participant à un terrible accident de voiture dans lequel un de ses amis, qui se trouvait dans la voiture, a perdu la tête.

« La tête de mon ami était à l'envers. J'ai vu sa bouche s'ouvrir et se fermer au moins deux fois. Le visage exprimait le choc et la perplexité, qui ont été remplacés par l'horreur et l'amertume.<…>Il a regardé de moi à son corps et de nouveau à moi.

***
Une histoire effrayante, nous allons donc terminer cet article sur une note plus légère.

En Afrique, dans certaines tribus, avant de couper la tête d'une personne, ils l'ont d'abord attachée à une branche élastique d'un arbre, de sorte qu'après l'exécution, elle a été catapultée dans le ciel. Ainsi, pendant les dernières secondes avant l'oubli, la tête coupée flottait sereinement dans le ciel. Si vous deviez mourir, cette méthode serait probablement dans le top cinq.

Les gens inventent des légendes et des légendes depuis qu'ils ont découvert la communication. Malgré quelques faits réels, la plupart des terribles légendes restent encore de la fiction. Cependant, les légendes urbaines effrayantes peuvent souvent s'avérer vraies. Parfois, transformer un événement tragique en légende aide les gens à faire face au chagrin et empêche la jeune génération de réaliser la réalité de ce qui se passe.

Dans cet article, nous avons rassemblé pour vous les légendes urbaines les plus effrayantes basées sur des événements réels.

Charlie sans visage

Légende:

Les enfants vivant à Pittsburgh, en Pennsylvanie, adorent raconter l'histoire de Charlie sans visage, également connu sous le nom de Green Man. On pense que Charlie était un ouvrier d'usine défiguré dans un horrible accident : certains prétendent que c'était l'acide, d'autres la ligne électrique.

Réalité:

Raymond a subi d'horribles blessures après avoir accidentellement touché une ligne électrique. À la suite de l'impact, il a perdu son nez, ses deux yeux et un bras, mais a survécu. Il a passé le reste de sa longue vie - 74 ans - enfermé sur lui-même, et n'est sorti se promener que la nuit, mais il lui a rendu la pareille aux appels amicaux des gens.

tueur dans le grenier

Légende:

La pire chose à propos de cette légende est que, semble-t-il, c'est tout à fait possible - et c'est vraiment le cas.

Réalité:

Fin mars, la personne qui a laissé ces traces descend du grenier et s'en prend brutalement à six habitants de la ferme - le propriétaire, sa femme, leur fille, ses deux enfants de 2 et 7 ans et leur bonne avec l'aide de une houe. Leurs corps n'ont été retrouvés que 4 jours plus tard, et il s'est avéré qu'à ce moment-là quelqu'un s'occupait du bétail. L'identité du contrevenant n'a pas encore été établie.

médecins de nuit

Légende:

Des médecins de nuit ont attrapé des gens dans les rues et les ont emmenés dans leurs installations médicales pour torturer, tuer, démembrer et découper leurs organes.

Réalité:

Cette histoire, agrémentée de propriétaires d'esclaves chevauchant des chevaux vêtus de blanc la nuit, a longtemps instillé la peur et la crainte de la légende chez les Noirs.

Les meurtres d'Alice

Légende:

Réalité:

La légende de Cropsy

Légende:

Réalité:

Baby-sitter et tueur au deuxième étage

Légende:

Réalité:

homme lapin

Légende:

Réalité:

Heureusement, cette légende effrayante n'est qu'une légende, et aucun tueur fou ne s'est réellement produit. Il n'y avait pas de Douglas Griffin, pas de Marcus Wallster. Cependant, dans le comté de Fairfax, vivait un homme malsain obsédé par les lapins et terrorisant les habitants dans les années 70 du siècle dernier.

Accrocher

Légende:

La légende du crochet est peut-être la plus courante de toutes les histoires d'horreur urbaines. Il a plusieurs versions, chacune plus effrayante que la précédente, et la plus célèbre parle d'un couple faisant l'amour dans une voiture garée. L'émission de radio est soudainement interrompue pour annoncer aux auditeurs une terrible nouvelle - un tueur cruel brandissant un crochet s'est échappé et se cache maintenant dans le parc même où se trouvent les amants.

Réalité:

chien garçon