APPROUVER
Chef de département
transports électriques urbains
VV Sharoiko
18 septembre 1997

1. Dispositions générales

1.1. Le service de la sécurité routière et du contrôle des lignes (ci-après le service de la sécurité routière) est une subdivision structurelle de l'entreprise de transport électrique urbain et rend compte directement au chef de cette entreprise.

1.2. Le service de la sécurité routière est dirigé par l'auditeur en chef, qui peut être le chef adjoint de l'entreprise, nommé et révoqué par arrêté du chef de l'entreprise de transport électrique de la ville.

1.3. Pour les employés du service de sécurité Circulation personnes désignées qui ont l'enseignement supérieur et expérience professionnelle dans le système de transport électrique municipal pendant au moins 3 ans ou formation technique secondaire avec au moins 5 ans d'expérience dans le transport électrique municipal.

1.4. Les employés du service de la sécurité routière sont nommés, déplacés et démis de leurs fonctions par le chef de l'entreprise de transport électrique de la ville sur proposition du commissaire aux comptes.

1.5. Le Département de la sécurité routière dans ses activités est guidé par la "Loi sur la sécurité routière de la Fédération de Russie", les ordonnances du Ministère des sports de la Fédération de Russie, le Département des transports électriques urbains, les Règles opération technique tramways, trolleybus, le Règlement de la Route, le Règlement du PDD GET, le présent Règlement.

1.6. Il est interdit d'attribuer des fonctions non conformes au présent règlement aux employés du service de la sécurité routière.

1.7. Pour travail préventif sur la ligne de prévention des accidents de la route et de départ sur les lieux des accidents, le service de sécurité routière est doté de véhicules spéciaux.

II. Tâches principales

Les missions principales de la Direction de la Sécurité Routière sont :

2.1. Développement et organisation d'activités visant à assurer la sécurité routière, l'éducation personnel du chauffeur et d'autres employés de l'entreprise un sentiment de haute responsabilité pour assurer la sécurité du transport de passagers, améliorer les compétences professionnelles des conducteurs.

2.2. Suivi systématique des activités fonctionnaires services, dépôts, ateliers de réparation automobile, garage automobile sur les questions d'assurer la sécurité routière dans certaines responsabilités professionnelles.

2.3. Orientation méthodologique et assistance au service d'exploitation en matière de sécurité routière.

2.4. Le contrôle état technique matériel roulant sur la ligne.

2.5. Suivi de l'application par les chauffeurs des règles de circulation, PTE sur la ligne.

2.6. Vérification de la sécurité routière sur les installations de voie et le réseau de contact.

2.7. Comptabilité et analyse du travail de l'entreprise en matière de sécurité routière, participation à l'enquête sur les accidents.

III. Structure

3.1. La structure et le personnel du service de la sécurité routière sont formés et agréés par le chef d'entreprise conformément au présent règlement sur le service de la sécurité routière.

IV. Les fonctions

4.1. Il vérifie le travail de tous les responsables de l'entreprise en termes de sécurité de la circulation des véhicules, cherchant par l'intermédiaire des chefs de ces départements à éliminer rapidement les lacunes révélées.

4.2. Participe, sur place, à l'enquête officielle sur les causes et les circonstances des accidents de la circulation, si nécessaire, organise l'examen des résultats de l'enquête par le chef d'entreprise et élabore des mesures pour éliminer de tels cas.

4.3. Etablit un procès-verbal régulier des accidents de la circulation avec conséquences graves signé par le chef d'entreprise conformément à l'arrêté du Ministère des Transports N 85/368 du 01.04.97.

4.4. Tient des registres, analyse, détermine les causes des accidents de la circulation, les violations des règles d'exploitation technique d'un tramway, d'un trolleybus, des règles de circulation, élabore des mesures pour achever les travaux visant à assurer la sécurité routière.

4.5. Prépare les rapports d'incidents Véhicules entreprises, compare les données qu'elles contiennent avec les données des organes locaux de l'inspection nationale de la circulation et les soumet aux organisations supérieures de la manière établie.

4.6. Sur une base mensuelle, lors de réunions d'information, informe les conducteurs de l'état des accidents, des cas identifiés d'infractions au PTE, des règles de circulation, des instructions reçues sur les questions de sécurité routière et des mesures prises pour prévenir les accidents de la circulation.

4.7. Prépare et au moins une fois par trimestre fait rapport lors d'une réunion avec le chef d'entreprise sur l'état de la discipline du transport routier dans l'entreprise, fait des propositions pour l'élimination et la prévention des lacunes identifiées.

4.8. Si nécessaire, prépare et soumet à la direction de l'entreprise des propositions d'amélioration de l'entretien du matériel roulant, du tramway, de l'alimentation électrique, des dispositifs d'automatisation et de communication qui augmentent le niveau de sécurité routière, et recherche leur mise en œuvre.

4.9. Participe aux travaux de l'inspection nationale de la circulation pour examiner les documents sur les violations du code de la route commises par les conducteurs de l'entreprise, aux travaux de la commission de certification de l'entreprise, aux travaux de la commission de l'inspection des transports .

4.10. Effectue une veille constante et donne des recommandations sur l'organisation :

- la formation, le perfectionnement et la professionnalisation des chauffeurs, chauffeurs-formateurs, chauffeurs-mentors, chefs d'itinéraires (postes) ;

- formation des conducteurs, respect des exigences de la procédure établie pour leur admission à travail indépendant en ligne;

- instruire les conducteurs sur les caractéristiques d'exploitation des tramways, des trolleybus et des véhicules spéciaux. transport dans des zones dangereuses et lorsque les conditions météorologiques changent ;

- le travail des conducteurs sur la ligne, le régime de leur travail et de leur repos, les visites médicales avant et après voyage, les réexamens médicaux ;

- réparation du matériel roulant et sa libération sur la ligne ;

- l'exploitation du matériel roulant sur des itinéraires aux conditions de circulation difficiles ;

- le respect des règles d'utilisation des moyens de contrôle de la circulation utilisés sur les voies de la ville ;

- organiser des cours avec des conducteurs, des ingénieurs et des techniciens pour étudier le PTE, les règles de circulation et d'autres documents liés à la sécurité routière.

4.11. Organise des causeries, des conférences, des rapports, y compris entre étudiants écoles d'enseignement général sur les questions liées à la sécurité routière.

4.12. Participe à la préparation et à la tenue de réunions, d'examens, de concours, de réunions mensuelles sur les questions de sécurité routière, ainsi qu'à l'étude et à la diffusion de l'expérience positive des services des entreprises et des conducteurs individuels qui préviennent les accidents de la circulation.

4.13. Participe aux travaux de la commission de travail sur les lignes de tramway et de trolleybus nouvellement construites et veille au respect des exigences de la base de données.

4.14. Participe aux travaux des commissions de vérification de l'état technique du matériel roulant, du tramway, du réseau de liaison et des intersections avec la voie ferrée. les voies de plain-pied sur les parcours des tramways et des trolleybus, l'état des ponts, viaducs, viaducs.

4.15. Examine et approuve les matériaux pour attribuer aux conducteurs le badge "Pour un travail sans accident".

V. Interaction du service de la sécurité routière avec les autres divisions, services et départements de l'entreprise

5.1. Tous les arrêtés, directives et documents réglementaires émis par les divisions de l'entreprise relatifs aux questions de sécurité routière sont coordonnés avec le service de la sécurité routière.

5.2. Les instructions des employés de la police de la circulation en matière d'élimination des causes et des conséquences des accidents de la route s'imposent à tous les employés de l'entreprise.

5.3. Sur la base des résultats des inspections liées à la sécurité routière dans le dépôt et les services, émettre des instructions d'audit avec inscription au journal et suivre leur mise en œuvre.

5.4. Les chefs de dépôt et de services sont tenus d'informer le service de police de la circulation routière de accidents de la circulation, non inclus dans les statistiques de la police de la circulation, avec la participation de véhicules de l'unité affectée.

VI. Droits

6.1. Le Commissaire aux Comptes pour la Sécurité Routière a le droit de :

- donner aux chefs de tous les départements de l'entreprise (si nécessaire avec une inscription dans le livre des instructions d'audit) des instructions contraignantes en matière de sécurité routière, en informer le chef de l'entreprise et surveiller leur mise en œuvre.

Les instructions émises peuvent être annulées par le chef d'entreprise avec une entrée correspondante à ce sujet dans le livre des instructions d'audit:

- faire des propositions à l'administration de l'entreprise pour encourager les chauffeurs, les employés des services, les services de prévention des accidents de la circulation, progrès réalisés dans le travail pour assurer la sécurité routière, ainsi que pour demander des poursuites contre les personnes qui ne se conforment pas aux ordres et aux exigences d'audit documents normatifs sur les questions de sécurité routière ;

- représenter, au nom de la direction, l'entreprise de transport électrique de la ville à organismes gouvernementaux, organismes publics sur les questions de sécurité routière.

6.2. Le service de la sécurité routière a le droit de :

- demander et recevoir des chefs de services, départements, dépôts et autres divisions de l'entreprise des explications orales et écrites, des informations sur les problèmes de sécurité routière, ainsi que des informations sur la mise en œuvre des instructions d'audit ;

- limiter la vitesse des tramways, des trolleybus sur les tronçons de voie de tramway et des routes dont l'état menace la sécurité du transport des passagers. Faire des propositions au chef d'entreprise sur l'arrêt complet du trafic dans ces tronçons ;

- interdire la libération du matériel roulant sur la ligne ou le ramener au dépôt en cas de détection de dysfonctionnements techniques du matériel roulant menaçant la sécurité de la circulation, conformément au Règlement d'exploitation technique d'un trolleybus (tramway) ;

suspendre les chauffeurs et autres travailleurs à la ligne du travail dont l'état ou l'action menace la sécurité routière, avec notification ultérieure au chef du service concerné.

VII. Responsabilité

7.1. L'auditeur en chef de la sécurité routière est personnellement responsable de l'accomplissement des tâches assignées au département par le présent règlement, la supervision directe des travaux de l'appareil d'audit.

7.2. Le degré de responsabilité des employés du service de la sécurité routière est établi par des descriptions de poste élaborées par le vérificateur en chef et approuvées par le chef de l'entreprise de transport électrique de la ville.

Le texte du document est vérifié par :
"Recueil des réglementations
matériaux pour assurer
la sécurité routière sur
transports électriques urbains,
Numéro 1, M., 1998

À PROPOS DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

DANS LE SYSTÈME DU MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ET DE LA PRODUCTION DE LA RÉPUBLIQUE DU BÉLARUS

1. Dispositions générales

1.1. Le service de sécurité routière est en cours de création dans toutes les subdivisions du système du Ministère de l'agriculture et de l'alimentation de la République du Bélarus, qui disposent de voitures, de tracteurs et d'autres équipements automoteurs, afin d'organiser le travail pour prévenir les accidents de la circulation et accroître l'efficacité des l'utilisation des véhicules.

1.2. Le service de sécurité routière dans ses activités est guidé par des lois et autres règlements opérant dans le domaine de la sécurité routière, ainsi que le présent règlement.

1.3. Le service de la sécurité routière résout les tâches qui lui sont confiées en étroite collaboration avec d'autres services et divisions d'associations, d'organisations, d'exploitations agricoles et d'entreprises du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, avec l'Inspection nationale de la circulation du ministère de l'Intérieur. de la République de Biélorussie, les institutions et organisations routières et municipales, ainsi que organismes publics dont les activités sont liées à la sécurité routière.

2. Tâches principales

2.1. Élaboration et mise en œuvre de mesures organisationnelles, techniques et préventives visant à assurer fonctionnement sûr Véhicule.

2.2. Sensibiliser les conducteurs, les opérateurs de machines et les autres employés du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus au sens de la haute responsabilité pour assurer la sécurité routière, améliorer les compétences professionnelles et les qualifications des conducteurs et des opérateurs de machines.

2.3. Mise en œuvre du contrôle des activités d'autres services et divisions du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, liées à l'entretien, à l'exploitation des véhicules, sur les questions de sécurité routière.

2.4. Comptabilisation des accidents de la circulation et des violations des règles de circulation, analyse des causes de leur apparition.

2.5. Étude et diffusion d'expériences positives dans l'organisation d'un fonctionnement sans problème des transports.

3. Fonctions du service de sécurité routière

3.1. Assure l'orientation méthodologique, la coordination et le contrôle des activités des services de sécurité routière de toutes les entreprises et organisations subordonnées du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, fournit une assistance pratique dans leur travail.

3.2. Analyse les résultats des services de sécurité routière et, sur cette base, élabore des mesures pour les améliorer.

3.4. Élabore ou participe à l'élaboration de projets d'arrêtés, d'instructions, de règles, de règlements, d'instructions et d'autres documents réglementaires du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus sur les questions de sécurité routière.

3.5. Élabore, en collaboration avec d'autres services et divisions du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, des mesures de prévention des accidents de la route et surveille leur mise en œuvre.

3.6. Tient un registre des accidents de la circulation et des violations des règles de circulation, analyse les causes de leur apparition, fournit de la manière prescrite des informations opérationnelles sur les accidents de la circulation et les mesures prises pour les prévenir.

3.7. Résume les données sur l'état des accidents dans les transports du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, analyse l'état des travaux pour assurer la sécurité routière et, sur cette base, élabore et soumet des propositions à la direction de le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus sur les orientations et les formes de travail les plus rationnelles pour prévenir les accidents de la route et les mesures visant à en réduire la gravité des conséquences.

3.8. Organise une enquête officielle sur les accidents de la route aux conséquences graves, découvre en même temps les causes et les circonstances de ces accidents et prend également les mesures nécessaires pour remédier aux infractions normes établies et des règles pour assurer la sécurité routière liées aux lacunes dans le travail des entreprises, exploitations agricoles et organisations subordonnées. Prépare les documents et propositions pertinents à la direction du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus.

3.9. Effectue des inspections des entreprises et des exploitations agricoles subordonnées, demande à leur direction de fournir les documents nécessaires sur les mesures en cours pour assurer la sécurité routière, des explications orales et écrites, donne aux responsables concernés des instructions obligatoires pour éliminer les infractions identifiées règles actuelles, règlements, arrêtés, instructions, instructions et autres documents normatifs, ainsi que les recommandations nécessaires aux chefs de fermes collectives.

3.10. Les trains matériaux nécessaires sur les questions de sécurité routière pour examen par le conseil, la Commission centrale du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus pour assurer la sécurité routière.

3.11. Effectue un contrôle sur la qualité de la formation des conducteurs et des opérateurs de machines, en les formant aux actions correctes dans des conditions extrêmes, formation avancée et compétences professionnelles des conducteurs et opérateurs de machines dans le système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus.

3.12. Chaque année, en collaboration avec d'autres services, organise des cours pour les conducteurs, les opérateurs de machines et les ingénieurs et techniciens pour étudier les règles de la route et d'autres documents liés à la sécurité routière.

3.13. Exerce un contrôle sur la formation des conducteurs et le travail des conducteurs-mentors, l'admission des conducteurs à conduire uniquement les catégories de véhicules qu'ils ont obtenu le droit de conduire, participe aux travaux de la commission d'attestation pour améliorer les compétences des Conducteurs.

3.14. Organise la conduite des conducteurs et des opérateurs de machines sur les caractéristiques de fonctionnement et d'utilisation des véhicules, en tenant compte de la route et conditions climatiques, ainsi que l'observance du régime et du repos.

3.15. Effectue le contrôle du passage par les chauffeurs et les conducteurs de machines des examens médicaux préalables au voyage, ainsi que, en collaboration avec les divisions en charge des questions de personnel, de la conformité délais recertification médicale.

3.16. Informe les conducteurs, les opérateurs de machines et les ingénieurs et techniciens de l'état des accidents, des causes et des circonstances des accidents de la route, organise l'analyse des faits d'accidents de la route et des violations des règles de circulation commises par les conducteurs et les opérateurs de machines de l'équipe de l'organisation, de l'entreprise .

3.17. Fournit une assistance aux organisations, entreprises, fermes collectives dans l'organisation du travail et l'équipement des salles de classe (classes) pour la sécurité routière.

3.18. Réalise un travail d'agitation et de propagande auprès du personnel pour assurer la sécurité routière (conférences, reportages, discussions, consultations, etc.).

3.19. Participe aux travaux des commissions compétentes pour l'inspection des routes sur les itinéraires du transport subordonné.

3.20. Fournit une assistance et dirige les travaux des commissions chargées d'assurer la sécurité routière dans les transports subordonnés, des autres formations publiques impliquées dans la sécurité routière.

3.21. Effectue des travaux pour prévenir les accidents de la circulation et les violations des règles de circulation parmi les employés des organisations, les entreprises propriétaires de véhicules à moteur individuels.

3.22. Réconcilie systématiquement les données sur les accidents de la circulation, dans lesquels les véhicules des organisations et des entreprises ont été impliqués, avec les données de l'inspection nationale de la circulation.

3.23. Informe l'Inspection nationale de la circulation des accidents de la circulation impliquant des véhicules subordonnés, ainsi que des cas de véhicules retournant au parking avec des dommages externes.

3.24. Soumet à l'Inspection nationale de la circulation des données sur le montant des dommages matériels causés par les véhicules et les marchandises endommagés lors d'accidents de la route.

3.25. Participe à la détermination des thèmes des travaux de recherche sur les questions de sécurité routière menés par les institutions scientifiques départementales, assure, en collaboration avec les services intéressés du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, la mise en œuvre des travaux de recherche achevés dans ce région.

3.26. Résume et diffuse l'expérience positive du travail sans accident des chauffeurs, des meilleures brigades, des détachements (colonnes).

3.27. Participe à l'examen et au débriefing collectifs de travail systèmes du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus.

4. Le service de la sécurité routière a le droit :

4.1. Effectuer des inspections du travail d'autres services des subdivisions du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus sur leur mise en œuvre des actes législatifs et autres actes normatifs réglementant les questions d'assurance de la sécurité routière, faire des propositions à la direction du ministère de l'agriculture et de l'alimentation de la République du Bélarus, des associations régionales, de district, des organisations, des entreprises, des fermes pour éliminer les violations identifiées.

4.3. Exiger que les chefs de services et de divisions du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, les chefs d'organisations, les entreprises fournissent les informations nécessaires sur les questions de sécurité routière.

4.4. Examiner et donner un avis sur les projets de documents liés à la sécurité routière, préparés par d'autres services et divisions du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus.

4.5. Impliquer, en accord avec le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus, des employés d'autres services et divisions pour vérifier le travail des institutions subordonnées, des organisations, des associations, des entreprises pour assurer la sécurité routière.

4.6. Soumettre des propositions aux autorités compétentes sur la récompense des employés des services et des départements pour les succès obtenus en matière de sécurité routière, ainsi que la pétition pour la poursuite des personnes qui ne se conforment pas aux exigences des textes réglementaires en matière de sécurité routière.

4.7. Interdire la libération des véhicules sur la ligne et les renvoyer de la ligne si des dysfonctionnements techniques menaçant la sécurité routière sont détectés.

4.8. Vérifiez auprès des chauffeurs et des opérateurs de machines du transport subordonné sur la ligne la disponibilité des certificats pour le droit de conduire des véhicules, des lettres de voiture, des documents pour la cargaison transportée, faites des entrées dans lettres de voiture lors de la détection de violations par les conducteurs et les opérateurs de machines des règles de la route, les règles de conduite des véhicules.

4.9. Suspendre, conformément à la procédure établie, du travail les conducteurs de véhicules et les opérateurs de machines dont l'état ou les actions menacent la sécurité routière.

5. Gestion du service de sécurité routière

5.1. Le chef du service de la sécurité routière du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus est nommé et révoqué par ordre de la direction du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus.

Chefs du service de sécurité routière des régions, districts, organisations, entreprises - par ordre du chef de l'organisation ou de l'entreprise concernée, dont la nomenclature comprend ce poste, en accord avec le service supérieur de sécurité routière, dans les fermes collectives - par le décision du conseil.

5.2. Le chef du service de la sécurité routière du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus relève directement du chef de l'Inspection nationale de la protection du travail, des transports et la sécurité incendie. Les chefs des services de sécurité routière des associations régionales et de district rendent compte directement aux chefs des inspections compétentes, qui comprennent ce service, ainsi qu'au chef du service supérieur de sécurité routière.

Les chefs des services de sécurité routière des organisations, les entreprises relèvent directement du chef du département concerné, de l'entreprise, ainsi que du chef d'un service supérieur de sécurité routière.

5.3. Chef du service sécurité routière :

5.3.1. Dirige toutes les activités du service de la sécurité routière et est personnellement responsable de la bonne exécution des tâches et fonctions dévolues au service, organise le travail du service, élabore et soumet pour approbation à la direction le règlement et les descriptions d'emploi.

5.3.2. Assure l'exécution de haute qualité des instructions de la direction du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus en temps opportun, et participe également à la préparation par d'autres départements du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République de la Biélorussie documents requis et des documents sur des questions relevant de la compétence du service de la sécurité routière.

5.3.3. Représente conformément à la procédure établie dans les organisations et institutions sur les questions relevant de la compétence du service de la sécurité routière.

5.3.4. Élabore et met en œuvre des mesures pour améliorer l'organisation, le style et les méthodes de travail du service de sécurité routière, renforcer la discipline exécutive, améliorer les compétences commerciales des employés, introduire l'organisation scientifique du travail et la technologie informatique et organisationnelle dans la pratique du service.

6. États et logistique

sécurité routière

6.1. Effectif Le service de sécurité routière est déterminé en fonction du nombre de voitures, de tracteurs et d'autres véhicules automoteurs.

Dans les flottes avec présence de véhicules jusqu'à 100 unités, un poste à temps plein d'ingénieur en sécurité routière est introduit, jusqu'à 200 unités - 2 personnes ; plus de 200 unités - un service de la sécurité routière est en cours de création.

6.2. Organiser le contrôle de l'utilisation et du stockage corrects des véhicules, se rendre sur les lieux des accidents de la circulation afin d'enquêter et de fournir les premiers soins aux victimes d'un accident, ainsi que la conduite, en collaboration avec la police de la circulation, la santé et organisations routières travail préventif avec les conducteurs et les opérateurs de machines sur les emplacements des véhicules, examens conditions routières sur les voies de transport les plus fréquentées pendant la période des travaux de récolte et de transport et autres transports en commun, le service de sécurité routière est fourni véhicule spécial"Sécurité routière".

6.3. Les organisations, les entreprises, les fermes du système du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de la République du Bélarus allouent des espaces de bureau pour les cours collectifs sur la sécurité routière et organisent leur fourniture avec l'équipement nécessaire.

Chapitre 8. ORGANISATION DES SERVICES DE SECURITE DE LA CIRCULATION

8. 1. OBJECTIFS DES SERVICES DE SÉCURITÉ ROUTIÈRE

La sécurité routière dans le transport routier peut être assurée :

haute qualification et discipline du conducteur;

niveau de qualité élevé de l'état technique et de la dotation en personnel des véhicules ;

l'état nécessaire du réseau routier et l'organisation du trafic ;

une gestion et un contrôle qualifiés du transport et de l'utilisation du matériel roulant.

Pour assurer ces conditions, le service de sécurité routière ATP doit :

élaboration de projets de plans de travail préventif avec les conducteurs ;

contrôle systématique de la mise en œuvre des documents réglementaires, instructions, arrêtés pour assurer la sécurité du trafic ;

vérification de la mise en œuvre par tous les services ATP des mesures nécessaires pour assurer la sécurité du trafic ;

tenir les registres des accidents et des infractions au code de la route conformément aux règles de comptabilité et aux instructions départementales,

procéder à une analyse des matériaux de l'accident et des infractions commises par les conducteurs, et organiser leur discussion appropriée au sein de l'équipe ;

participation à la conduite d'enquêtes internes sur les accidents de la route, généralisation et diffusion des bonnes pratiques pour un fonctionnement sans accident des conducteurs, attelages et cortèges ;

organiser le travail du bureau de la sécurité routière et mener des travaux d'agitation et de masse sur la sécurité routière ;

fournir une assistance méthodologique aux organismes publics travaillant sur la sécurité routière;

suivi de la formation des chauffeurs et du travail des chauffeurs-mentors.

À son tour, le service d'exploitation effectue les tâches suivantes pour prévenir les accidents :

assurer la durée normale de la journée de travail des conducteurs ;

l'élaboration d'horaires de circulation correspondant aux conditions de circulation sur les itinéraires et le contrôle de leur respect ;

examen de l'état des routes sur les itinéraires de l'ATP, identification des sections défavorables en termes de sécurité et prise de mesures immédiates pour éliminer les lacunes identifiées ;

organiser le travail du personnel médical pour les examens préalables au départ et autres examens des conducteurs ;

organiser des stages et des formations pour les chauffeurs afin d'améliorer leurs compétences ;

assurer le respect des exigences du code de la route lors du transport de marchandises volumineuses et dangereuses ;

compiler des passeports et des cartes routières indiquant les endroits dangereux et familiariser tous les conducteurs avec les spécificités des itinéraires ;

rationnement systématique des limitations de vitesse sur les itinéraires et, en conséquence, ajustement du programme de circulation ;

inspections régulières de l'état des routes et des structures artificielles sur les lignes d'autobus ;

prendre des mesures pour éviter la surcharge des bus par les passagers sur les itinéraires ;

mise en place d'une communication linéaire entre le matériel roulant et les centres de contrôle.

Le service d'exploitation organise une formation obligatoire pour tous les conducteurs nouvellement embauchés sur les itinéraires où ils travailleront.

Lors de l'envoi de conducteurs vers d'autres itinéraires, le service d'exploitation leur présente les caractéristiques des nouveaux itinéraires. Sur les itinéraires avec des conditions routières difficiles, seuls des conducteurs expérimentés et disciplinés doivent être envoyés.

Les activités les plus importantes de la production et du service technique pour assurer la sécurité routière sont :

organisation du diagnostic de l'état technique des unités qui affectent la sécurité routière ;

assurer une élimination rapide et de haute qualité des défauts et des dysfonctionnements du matériel roulant ;

mise en œuvre régulière et de qualité des plans de maintenance ;

s'assurer que les véhicules sont équipés d'extincteurs, de panneaux d'arrêt d'urgence, de trousses de premiers soins ;

organisation du contrôle sélectif de l'état technique et de la dotation en personnel des véhicules sur la ligne et assistance technique en cas d'arrêts forcés du matériel roulant sur la ligne.

La préparation du matériel roulant pour le transport de personnes sur camions est particulièrement responsable de la production et du service technique. Avec ce type de transport, l'état de fonctionnement technique des véhicules et leur intégralité doivent bien entendu être assurés dans le plein respect des exigences du Code de la route.

Une attention particulière de la production et du service technique, du point de vue de la sécurité routière, nécessite l'organisation de l'exploitation technique des véhicules, lorsqu'ils sont séparés de la base technique principale (longs trajets professionnels, etc.). Dans ce cas, un plan d'assistance technique est élaboré dans des conditions de travail sur le terrain et tout le nécessaire est prévu pour le suivi systématique de l'état technique des véhicules et la mise en œuvre de la quantité nécessaire d'entretien et d'assistance technique sur la ligne.

Le niveau de travail pour assurer la sécurité routière à entreprise de transport automobile dépend de manière décisive de la culture technique générale de tous les employés. Par conséquent, travaillez à améliorer connaissance technique doit être considérée comme l'une des conditions d'une prévention réussie des accidents par le service de production et technique, destiné à assurer la formation. Dans le même temps, tout d'abord, il est nécessaire de veiller à ce que les conducteurs et le personnel technique étudient systématiquement les caractéristiques des nouveaux véhicules, forment les conducteurs pour améliorer leurs compétences et familiarisent tous les employés avec les documents réglementaires et les instructions d'exploitation technique et la technologie de transport passagers et marchandises.

En fonction de la nature et de l'étendue des violations des instructions, des règles en vigueur, des règlements, des arrêtés, etc., les fonctionnaires et les ingénieurs et techniciens peuvent être tenus responsables des types de responsabilité suivants : disciplinaire, administrative, pénale, financière, publique.

La responsabilité disciplinaire prévoit l'imposition d'une sanction à un employé conformément à la législation en vigueur ou au Règlement intérieur. horaire de travail. Selon le degré d'infraction, peuvent être prononcés : une remarque, un blâme, un blâme sévère, une rétrogradation, un licenciement.

La responsabilité administrative des fonctionnaires pour violation de la législation du travail, des règles de circulation et des accidents de la route se produit dans les cas prévus par la législation administrative de la Fédération de Russie et se traduit par l'imposition d'une amende.

La responsabilité pénale des fonctionnaires intervient dans les cas où leurs actions contiennent des signes d'acte criminel ou d'inaction, qualifiés conformément aux articles du Code pénal (CP) de la Fédération de Russie.

L'ignorance par les fonctionnaires de la législation du travail, des normes de protection du travail, des règles de circulation et d'autres documents réglementaires dans le cadre de leurs fonctions officielles et du travail effectué ne les dégage pas de leur responsabilité pour les violations commises.

8. 2. ORGANISATION DU BUREAU DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

Le centre méthodologique de travail préventif pour prévenir les accidents à l'ATP est le bureau de la sécurité routière.

L'activité du travail et l'équipement du bureau peuvent servir comme l'un des signes du niveau de tous les travaux dans ce domaine à l'ATP.

L'exposition et l'équipement du bureau, bien sûr, doivent correspondre au profil et aux conditions préférentielles des travaux de transport de cet ATP.

Nous pouvons nommer les principaux domaines suivants dans lesquels les matériaux et l'exposition correspondante doivent être disponibles dans chaque bureau :

Code de la route;

des données sur la comptabilisation et l'analyse des accidents et des infractions au code de la route par les conducteurs ;

meilleures pratiques pour un fonctionnement sans problème ;

les caractéristiques d'un nouveau type de fret et l'impact de ses propriétés sur la sécurité routière, en fonction des conditions routières et des limites de vitesse ;

tenir compte des propriétés de la cargaison lors des opérations de chargement et de déchargement ;

placement et sécurisation de la cargaison dans la carrosserie de la voiture, garantissant sa sécurité et la sécurité routière

Afin de réduire le taux d'accidents à l'ATP, un plan d'action est en cours d'élaboration pour prévenir les accidents de la route, qui comprend les principaux problèmes suivants

organisation et calendrier de l'examen médical de tous les conducteurs ;

des mesures pour améliorer les conditions de travail et de repos des chauffeurs ;

améliorer le contrôle de l'état technique des véhicules;

inspection de l'état des routes sur les routes ;

surveiller la mise en œuvre du matériel didactique et des commandes ;

organiser la promotion des meilleures pratiques, organiser des bilans, des concours sur la sécurité routière ;

améliorer les qualités professionnelles des chauffeurs Pour améliorer le niveau de qualité de la comptabilité, de l'analyse des accidents, ainsi que des diverses informations à caractère opérationnel et prévisionnel, il est conseillé de disposer d'un dispositif pour un petit complexe d'information et informatique permettant de stocker, rechercher, traiter et obtenir les informations nécessaires.

8. 3. BUSINESS GAMES DANS L'ORGANISATION ET LA SÉCURITÉ DU TRAFIC ROUTIER

Les méthodes actives de prise de décision sont de plus en plus introduites dans la pratique des activités professionnelles de gestion, permettant une action plus rationnelle sur des problèmes pratiques, opérationnels et stratégiques. Les mêmes méthodes permettent d'améliorer les qualifications des spécialistes.

À cet égard, des méthodes de formation intensive sont mises en place pour améliorer la formation et le recyclage des spécialistes de la sécurité routière. L'une de ces méthodes est une méthode de formation qui reproduit des situations de production ou des activités de production spécifiques, avec l'élaboration de recommandations pour résoudre le problème. Méthodes actives sont un moyen efficace de formation avancée, car on sait que la plus grande assimilation du matériel étudié (90% et plus) se produit lors de l'analyse de situations spécifiques. L'introduction de méthodes d'apprentissage actives vous permet de maîtriser rapidement les compétences de prise de décision dans de tels activité de travail, dans lesquels il existe de grands flux d'informations, il est nécessaire d'analyser le mécanisme de fonctionnement de systèmes complexes, cela nécessite une adaptation constante aux conditions environnementales, etc.

Les méthodes d'apprentissage actif comprennent : des jeux d'entreprise, des conférences-discussions, des cours hors site pour étudier les meilleures pratiques en production, des questionnaires, diverses méthodes logiques ("incident", "brainstorming", "génération collective d'idées", "analyse de papiers d'affaires" , « scénarios », « examens par les pairs », etc.).

De toutes les méthodes d'apprentissage actif, la plus efficace, y compris pour les spécialistes de l'organisation et de la sécurité routière, est le jeu d'entreprise. Les avantages de son utilisation sont les suivants :

la possibilité d'une utilisation généralisée de l'informatique pour résoudre des tâches techniques, socio-économiques, organisationnelles et managériales complexes, telles que l'analyse de la situation des accidents de la route, le traitement des informations collectées sur les accidents de la route, l'analyse des données statistiques, le calcul de l'efficacité des mesures de prévention des accidents dans les transports routiers, gestion du service de base de données à différents niveaux, etc. ;

un degré élevé de conformité du modèle de jeu avec les étapes réelles du travail, par exemple, comme la collecte de données sur les accidents et le remplissage de la carte d'enregistrement primaire des accidents, la conduite d'une enquête interne sur un accident, la formation du conducteur et du personnel technique de une société de transport automobile sur diverses questions de sécurité routière, de contrôle sur la ligne, etc. ,

application de la formalisation logique et mathématique jeu d'entreprise maîtriser les nouvelles méthodes de planification, par exemple, les mesures de prévention des accidents avec le calcul de la priorité de leur mise en œuvre, la réalisation du contrôle technique du matériel roulant, etc. ;

une période insignifiante de préparation au jeu avec un niveau suffisant de qualification des auditeurs, leur compétence dans les tâches à résoudre ;

l'utilisation simultanée de plusieurs méthodes dans un business game, comme le "brainstorming", les expertises, les consultations de groupe, les questionnaires, etc. ;

l'opportunité dans un temps limité (6 à 12 heures) d'évaluer la situation, de trouver des solutions, de vérifier le niveau de ses propres connaissances.

De plus, chaque méthode de jeu peut imiter les activités de production de n'importe quel département avec une solution multi-variante à divers problèmes.Ainsi, dans la méthode "brainstorming", qui est la génération d'idées sur le problème à résoudre, une règle de performance est définie créer un environnement dans lequel le participant au jeu ne s'arrête qu'aux propositions constructives.L'application de cette méthode dans le jeu est particulièrement réussie lors du choix d'un ensemble d'activités RTS, lorsqu'il est nécessaire de prêter attention à diverses propositions Dans la méthode "exercice amateur" , le meneur de jeu s'entretient individuellement avec le joueur pour assurer la constructivité et la liberté d'expression Ces deux méthodes sont souvent utilisées dans la phase préparatoire du jeu De plus, lors du choix des propositions entrantes qui nécessitent une considération prioritaire, le type de communication collective est utilisé - discussion Le meneur de jeu agit comme un "interrogateur" de chaque participant au jeu, "dirige" le processus d'échange d'expérience Chaque joueur justifie son proposition et agit en tant qu'expert et en tant qu'opposant.

Le questionnement peut être utilisé lors de la première étape préparatoire du jeu. À l'aide de questionnaires élaborés sur un sujet spécifique, des jugements indépendants des joueurs sont recueillis.Cette méthode de jeu à forte intensité de main-d'œuvre peut être définie pour l'étude à domicile du sujet. peut être écrit sur une tâche individuelle sur un sujet spécifique. Les méthodes écrites de révélation du sujet sont ensuite utilisées dans les jeux d'entreprise pour analyser les "papiers d'affaires". La base de cette méthode est la classification d'un ensemble d'informations (descriptions de poste, besoins en matériaux et pièces de rechange, lettres d'institutions de divers notes de bureau etc.) La tâche de chaque employé, à la fois dans le service de base de données et dans d'autres services, est de pouvoir naviguer dans ce flux d'informations, de déterminer leur relation, de rejeter celles qui ne sont pas liées à cette question ou officielles, et de faire L'analyse est effectuée selon de nombreux critères avec une certaine procédure de différenciation. Lors de l'analyse et de la prise de décision, des modèles mathématiques de l'analyse du système en utilisant la technologie informatique et la théorie de l'utilité, qui a une application pratique dans des situations commerciales réelles. Par exemple, le diagnostic technique à l'ATP ou le contrôle sur la ligne peut être réduit à un modèle mathématique permettant de hiérarchiser "le risque d'accident dû à un dysfonctionnement technique" ou une évaluation des conditions d'un déplacement sûr, confortable et efficace peut être mathématiquement formalisé sur la base d'une "croissance qualitative de la hiérarchie des buts".

Une étape importante du business game est l'évaluation finale des décisions subjectives (intuitives-logiques) et objectives (formalisées), ainsi qu'une évaluation du degré de résolution des problèmes pour la prise de décision La recherche de la source première de l'incident (situation incertaine) qui a surgi peut être formalisée. Par exemple, la détermination des causes d'un accident associé à une évaluation de la situation du trafic peut être effectuée sur un ordinateur avec le calcul des paramètres pour la transition d'un processus de trafic normal à un processus d'urgence. Une telle méthode d'analyse situationnelle nécessite une chronologie préliminaire des paramètres, une enquête sur l'état des routes, une enquête officielle ou la visualisation des premiers enregistrements d'accidents.

Avec une analyse qualitative d'un accident dans un jeu d'entreprise, la méthode du "jeu de rôle" peut également être appliquée. Chaque joueur, selon le rôle choisi (le chef de l'ATP ou du service de base de données, l'inspecteur de police de la circulation en service , le travailleur médical, le conducteur accidenté, etc.) analyse la situation, cherche les raisons de l'accident de la route, les moyens possibles de sa prévention, élabore les mesures préventives. Au cours du jeu, l'auto-apprentissage et l'ajustement de l'activité, la compréhension des raisons de tel ou tel comportement des autres ont lieu.

Les plus prometteuses dans les jeux d'entreprise pour la prévision, la planification, le choix et la prise de décision sont les méthodes de prévision experte étape par étape et d'analyse du système. Ces méthodes consistent à obtenir des estimations d'experts, à déterminer leur structure hiérarchique, à appliquer des traitements mathématiques et statistiques et à corriger les résultats des étapes précédentes en fonction des informations obtenues lors du traitement des données d'experts.

Les conditions les plus importantes pour les jeux d'entreprise sont l'auto-organisation, l'auto-apprentissage, l'autodiscipline en raison de l'intérêt des participants à résoudre le problème qui les intéresse.

Ainsi, un modèle de jeu qui prévoit le développement de la meilleure solution dans les plus brefs délais sans erreurs coûteuses, en pratique, est une imitation de la solution à un problème spécifique. L'incertitude de ce problème dans le jeu peut être formalisée dans une certaine mesure.

La conduite d'un jeu d'entreprise est précédée d'un travail minutieux sur son développement détaillé. Plus tous les détails du jeu sont pensés avec soin, plus la réalisation de son objectif principal est certaine, c'est d'activer le travail des participants et d'obtenir des résultats plus rapidement.

Une analyse un grand nombre Les développements existants sur les jeux d'entreprise ont permis de distinguer les grandes étapes suivantes de la préparation et du déroulement d'un jeu.

1. L'objet et la gamme de questions (problèmes) pour la simulation de jeu sont déterminés. La description de l'objet doit être suffisamment simple pour que les participants au jeu en comprennent l'essence. Au fur et à mesure que les joueurs deviennent plus compétents dans l'utilisation du modèle de simulation, cela peut devenir plus complexe. Lors de l'étude des éléments d'un objet et des connexions entre eux dans un jeu, le système simulé fonctionne pendant un certain intervalle (jour, mois, année, etc.), et dans le processus de simulation de jeu, cet intervalle est considéré pendant plusieurs heures . Lors de la recherche de la solution optimale, des problèmes sont identifiés, dont la durée peut être différente, dans certains cas insuffisamment définie avec précision, et parfois difficile à prévoir.

2. Le but, le but et la nature de la simulation de jeu sont déterminés par les conditions et capacités spécifiques (techniques, organisationnelles, informationnelles) de l'organisation dans laquelle le jeu doit être joué, ainsi que par les capacités de la procédure de jeu.

3. Un leader (constructeur) ou un groupe de personnes est affecté au développement du jeu, qui connaît le processus considéré, qui est professionnellement capable d'expliquer de manière intelligible le sens et la construction du jeu.

4. Les informations initiales sont étudiées, systématisées et présentées aux participants au jeu sous la forme la plus visuelle et la plus pratique pour le jeu.

5. En fonction du problème à résoudre, de la disponibilité des moyens techniques, des moyens de traitement et de transmission des informations, de la nature du jeu, une méthode possible de jouer au jeu est sélectionnée.

6. Sur la base des objectifs, des critères, de l'évaluation de l'efficacité du fonctionnement des systèmes, du niveau de planification, du degré de formalisation, de la durée de la simulation de jeu, de la composition moyens techniques, des outils de décision, c'est-à-dire qu'en tenant compte des conditions dans lesquelles se déroule le jeu, on détermine les niveaux possibles de prise de décision (décisions optimales ou approximatives, évaluation qualitative ou quantitative des décisions prises), analyse et résolution du problème ou seulement analyse , etc. et, en conséquence, la possibilité et la nécessité d'utiliser divers algorithmes et programmes informatiques pour résoudre des problèmes sont déterminées.

7. Le complexe de jeu (la composition des équipes participant au jeu) est déterminé par les objectifs du jeu et le nombre de joueurs. Le complexe peut comprendre un ou plusieurs groupes d'experts, d'arbitrage, de personnel technique, d'administrateur de jeu.

Les fonctions des participants sont réparties par équipes (commission d'arbitrage, techniciens, animateurs de groupes d'experts, membres de groupes d'experts) et par maillons de groupes d'experts. Dans certains cas, les fonctions des liaisons doivent correspondre aux fonctions de production des services concernés (par exemple, pour simuler les activités de l'ATP - le service du chef mécanicien, le service planification et économique, la salle de contrôle). Dans les jeux liés à l'expertise d'un problème de production spécifique et aux moyens de le résoudre, les fonctions des participants aux groupes d'experts sont généralement homogènes, c'est-à-dire le principe d'une participation égale au processus de création de tous les participants, y compris l'arbitrage et les techniciens. , Est observé.

Cette étape nécessite une longue étude, car la définition floue des fonctions de chaque participant peut nécessiter l'intervention de l'administrateur du jeu, entraînant une diminution de l'activité et de l'intérêt des participants.

8. Le complexe de jeu est une structure intégrale, dont la nature et la qualité des liens entre les éléments (équipes) sont déterminées par les règles d'interaction. Les règles sont construites en fonction de la méthode de jeu choisie, du support technique et informationnel, des règles du jeu, des caractéristiques de l'objet simulé. Le rôle décisif dans l'élaboration des règles d'interaction est joué par le concepteur du jeu, qui doit étudier en détail l'objet (processus) simulé, déterminer la composition des moyens techniques d'imitation, le volume et la structure du support d'information, la composition des la documentation et le workflow du jeu, le système d'évaluation des activités des participants, les règles d'arbitrage et règles générales comportement du joueur.

9. Le concepteur de jeu recherche les développements existants sur la partie procédurale du jeu qui répondent à ses objectifs et à sa nature. S'il y a des développements similaires, ils sont soit acceptés dans en entier, ou changer en fonction de la nature du problème à résoudre.

10. Pour vérifier l'exactitude de la construction d'une simulation de jeu, le jeu est débogué avec une équipe de développeurs. Le résultat du débogage est une séquence raffinée d'opérations dans le jeu, des règles corrigées pour l'interaction des équipes et des formulaires de documents, ainsi qu'un schéma de flux de travail, exactement régler le temps l'expérience de jeu et les règles de conduite des cycles individuels, des phases, des étapes, des étapes, des opérations dans le jeu et la durée totale de l'ensemble du jeu.

11. La préparation des participants consiste à les familiariser avec les objectifs, l'essence du jeu, les données organisationnelles, techniques et socio-économiques du système simulé et ses caractéristiques. Les participants se familiarisent avec les fonctions qu'ils doivent remplir dans le jeu. Détenu cycle de formation jeux pour comprendre les règles de procédure et l'interaction des équipes sans prendre de décisions sur le problème à l'étude.

12. La simulation de jeu est réalisée dans son intégralité avec prise de décision et traitement des résultats des cycles de jeu individuels.

Riz. 8. 1. L'algorithme du jeu d'entreprise "Prévention des accidents dans l'ATP"

13. Si le jeu est complexe et se déroule avec de longues pauses entre les cycles de jeu, le traitement et l'analyse des résultats sont effectués pendant ces périodes par le personnel technique avec la participation du nombre requis de participants au jeu.

14. La fin du jeu est essentiellement l'étape initiale de l'utilisation pratique des résultats du jeu.

Le bon déroulement d'un jeu d'entreprise dépend de la bonne préparation des joueurs à la participation au jeu, de l'adéquation des fonctions du joueur à son niveau de formation générale et professionnelle, de l'activité de l'hôte du jeu, d'une bonne et un leadership compétent dans le jeu. de la rapidité d'obtention et de traitement des informations, etc.

L'une des activités les plus importantes du service de base de données de l'ATP est la prévention des accidents. Ce problème peut faire l'objet de son imitation sous la forme d'un jeu d'entreprise (Fig. 8. 1). Dans ce cas, lors de la première étape, les joueurs peuvent se voir proposer le choix de la solution optimale parmi une variété d'options.

La modélisation d'une situation de jeu peut comprendre les étapes suivantes (tableau 8.1).

Les étapes des situations de jeu sont naturellement liées entre elles, mais elles peuvent aussi être considérées séparément (fragmentairement) Chaque étape de la simulation de jeu peut s'accompagner de l'émergence de situations conflictuelles qui résultent d'une grande variabilité dans la survenue d'accidents de la circulation. , conflits d'intérêts d'employés ATP individuels, compétence insuffisante et autres raisons. Par conséquent, le choix de la solution n'est pas seulement objectif, mais aussi subjectif.

Tableau 81

La comptabilisation des accidents en tant qu'étape principale de toutes les étapes ultérieures de la prise de décision nécessite non seulement un enregistrement complet et en temps opportun des informations sur les accidents, mais également leur enregistrement standard conformément aux règles actuelles de comptabilisation des accidents. Dans le même temps, les principes méthodologiques et les fondements pratiques de la comptabilisation des accidents sont importants.

Dans les activités de production d'un ingénieur en sécurité routière, par exemple, les contradictions suivantes peuvent survenir:

la forme d'enregistrement des informations collectées sur l'accident n'est pas conforme aux directives réglementées ;

la quantité d'informations collectées est inférieure à la quantité réglementée d'informations requises pour la préparation des rapports ;

enregistrement intempestif des accidents et formulaires de déclaration, etc.

L'élimination des contradictions apparues est possible avec une simulation de jeu des activités de production du service de sécurité routière et de l'ATP.

La procédure de simulation peut être la suivante. L'animateur propose aux participants du jeu une description de l'accident. Les participants au jeu sont tenus de soumettre des informations à l'arbitrage sous une forme de comptabilité réglementée. L'évaluation de l'exactitude et de l'exhaustivité des informations fournies détermine le résultat du fragment du jeu "Comptabilité des accidents". La situation de jeu peut être complétée par une analyse des informations sur l'accident afin de déterminer la suffisance des informations fournies. A la fin du jeu, l'arbitrage évalue les qualifications des participants en fonction de leurs décisions.

MINISTERE DES TRANSPORTS ROUTIERS DE LA RSFSR

Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière

LE RECUEIL
DOCUMENTS DIRECTEURS SUR LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

RD.200.RSFSR-12-0071-86

Partie 1

Moscou 1986

Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière du Minavtotrans de la RSFSR.

Institut de recherche d'État transport routier

INTERPRÈTES : I. I. Talitsky (responsable du développement), A.I. Korneev (superviseur), N.G. Pikovskaya (exécuteur testamentaire responsable).

I.A. Korneïev (01, 02, 06, 07, 08, 11)

N. G. Pikovskaïa (01, 02, 06, 08, 11)

SUR LE. Korovushkina (03)

A.A. Pinte (04, 05, 12)

A.E. Tchebychev (07, 09)

M. L. Platych (10)

…………………..

F. Shcherbinina.

Ministère des transports routiers de la RSFSR

Gestion technique

DOCUMENT D'ORIENTATION

RÈGLEMENT SUR LE SERVICE DE SÉCURITÉ ROUTIÈRE
MINAVTOTRANS RSFSR

Introduit pour la première fois

RD-200-RSFSR-120071-86-03

D'ACCORD
Chef du département principal auditeur de sécurité mouvements		Responsable technique gestion, doctorat UN M. Pechkov
Je.Je. Talitski
		Directeur du NIAT, Ph.D.
		GI Kouznetsov

DÉVELOPPÉ : Institut national de recherche sur les transports routiers (NIIAT)

INTERPRÈTES: KorneevI.A. (chef de file), Korovushkina N.A.

Élaboré sur la base du Règlement type sur le service de la sécurité routière dans le système du ministère (département), approuvé lors d'une réunion de la Commission de la sécurité routière du Ministère de l'intérieur de l'URSS le 14 février 1978, Protocole n° 3. Conçu pour toutes les entreprises et organisations de transport automobile du ministère des Transports automobiles de la RSFSR et réglemente les principes de base de l'organisation du service de sécurité routière dans le système du ministère des Transports automobiles de la RSFSR, ses fonctions, sa structure, son nombre, ses droits , devoirs, tâches.

Les travaux ont été exécutés conformément au plan d'ensemble des travaux de recherche et de développement les plus importants pour 1985, approuvé par le procès-verbal de la réunion du Collège du ministère des Transports automobiles de la RSFSR du 20 décembre 1984, ainsi que par le Plan de travail sur la normalisation et la métrologie du Ministère des transports automobiles de la RSFSR pour 1985.

Le présent AR établit les tâches, droits et obligations du service de sécurité routière du ministère des Transports motorisés de la RSFSR, de ses entreprises et organisations.

1. Dispositions générales

1.1. Le service de sécurité routière est en cours de création dans le système du ministère pour organiser le travail de prévention des accidents de la circulation.

1.2. Le service de sécurité routière dans ses activités est guidé par les lois de l'URSS, la RSFSR, les instructions du Présidium du Soviet suprême de l'URSS, la RSFSR, les résolutions du Comité central du PCUS et du Conseil des ministres de l'URSS, la RSFSR, les décisions de la Commission de toute l'Union pour assurer la sécurité routière et les ordonnances, instructions et documents d'orientation du ministère des Transports routiers de la RSFSR, conformément à la sécurité routière.

1.3. Pour organiser le travail, l'orientation méthodologique et le contrôle des activités de tous les services et divisions de l'appareil central du ministère, des entreprises et des divisions et organismes, un service de sécurité routière est en cours de création.

Le service de sécurité routière du ministère comprend le Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière, les départements des vérificateurs de la sécurité routière des associations républicaines et territoriales de transport routier, les départements (groupes) de la sécurité routière, les chefs adjoints de l'entreprise pour la sécurité routière , conducteurs-instructeurs - dans les entreprises de transport motorisé (avec un nombre de conducteurs inférieur à 150 personnes - ingénieur (ingénieur principal) de la sécurité routière).

1.4. Le Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière relève directement du ministre des Transports motorisés de la RSFSR.

Les départements (groupes) des associations et des entreprises rendent compte aux premiers dirigeants respectifs.

1.5. Le chef du bureau du vérificateur général de la sécurité routière du ministère est nommé et révoqué par arrêté du ministre.

Les chefs du service de sécurité routière d'une association, entreprise, organisation sont nommés et révoqués par arrêté du chef de l'entreprise (organisation) concernée, dont la nomenclature comprend cette fonction, en accord avec le service supérieur de sécurité routière.

1.6. Les chefs des services de sécurité routière sont personnellement responsables de l'accomplissement des tâches assignées aux services par le présent règlement.

1.7. Les missions principales du service de sécurité routière sont :

1.7.1. Identification et étude des causes et des conditions de survenance des accidents de la circulation et des infractions au code de la route.

1.7.2. Élaboration et participation à la mise en place de mesures organisationnelles et techniques pour assurer le bon fonctionnement des véhicules.

1.7.3. Mise en œuvre d'orientations méthodologiques et de contrôle des activités des services et départements des entreprises, organisations, associations en matière de sécurité routière.

1.7.4. Développement et participation à la mise en œuvre d'activités visant à sensibiliser le conducteur et les autres employés de l'industrie à un sens des responsabilités élevé pour assurer la sécurité transport routier, améliorant les compétences professionnelles des chauffeurs.

1.7.5. Étude et diffusion des meilleures pratiques dans l'organisation de l'exploitation sans accident des véhicules.

1.8. Le service de sécurité routière résout les tâches qui lui sont confiées en étroite collaboration avec d'autres services et divisions de l'association, de l'organisation, de l'entreprise, avec les organes de l'Inspection nationale de l'automobile, des organisations routières, communales et autres dont les activités sont liées à la sécurité routière.

1.9. Le service de la sécurité routière participe à l'examen et à l'évaluation des résultats des activités des entreprises et organisations de transport dont il est membre sur les questions d'assurance de la sécurité routière.

2. Devoirs et droits du service de sécurité routière du ministère

2.1. Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière du ministère :

2.1.1. Assure la gestion fonctionnelle, la coordination et le contrôle des activités des services de sécurité routière de toutes les entreprises et organisations subordonnées du ministère, leur fournit une assistance pratique dans leur travail.

2.1.2. Analyse les résultats des activités du service de sécurité routière et, sur cette base, élabore des mesures pour l'améliorer.

2.1.3. En collaboration avec les départements concernés, développe plans thématiques cours avec des employés du service de sécurité routière pour améliorer leurs compétences.

2.1.4. Organise l'introduction des réalisations de la science et de la technologie dans les activités des services de sécurité routière des associations et des entreprises territoriales.

2.1.5. Détermine la procédure de travail et surveille l'utilisation correcte des véhicules spéciaux du service de sécurité routière.

2.1.6. Effectue des inspections du travail des services et divisions du ministère, de ses entreprises et organisations sur leur mise en œuvre des actes législatifs et des documents réglementaires sur les questions de sécurité routière.

2.1.7. Tient des registres des accidents de la circulation et analyse l'état des accidents dans les transports du ministère, évalue l'efficacité du travail pour assurer la sécurité des transports routiers et, sur cette base, élabore et soumet des propositions à la direction du ministère sur la les orientations et les formes de travail les plus rationnelles pour prévenir les accidents et la gravité de leurs conséquences.

2.1.8. Élabore, en collaboration avec d'autres services et divisions du ministère, des mesures de prévention des accidents de la route et surveille leur mise en œuvre.

2.1.9. Prépare les documents nécessaires sur la sécurité du transport routier pour examen lors d'une réunion du conseil d'administration, conseil scientifique et technique du ministère.

2.1.10. Élabore ou participe à l'élaboration de projets d'arrêtés, d'instructions et d'autres documents réglementaires du ministère sur des questions liées à la sécurité routière.

2.1.11. Il étudie les meilleures expériences et méthodes de travail nationales et étrangères en matière de prévention des accidents de la route, élabore des mesures pour les mettre en pratique dans le système du ministère et prépare des examens et des recommandations sur ces questions.

2.1.12. Organise des réunions, des conférences, des séminaires, des concours et d'autres événements sur les questions de sécurité du transport routier, prend des mesures pour mettre en œuvre les recommandations adoptées à leur sujet pour prévenir les accidents de la route.

2.1.13. Organise les enquêtes officielles sur les accidents de la circulation aux conséquences graves et prépare les documents et propositions pertinents pour la direction du ministère.

2.1.14. Participe à l'organisation des travaux de recherche sur la sécurité routière menés par l'industrie et d'autres institutions scientifiques, et organise la mise en œuvre des développements achevés.

2.1.15. Contrôle la qualité de la formation du personnel de conduite et l'amélioration de ses qualifications dans les établissements d'enseignement du ministère.

2.1.16. Prépare et soumet à la direction du ministère des documents sur l'attribution aux conducteurs distingués du badge «Pour un travail sans accident».

2.1.17. Fournit une assistance matérielle et technique pour fournir aux services de sécurité routière les matériaux et équipements nécessaires.

2.2. Le Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière a le droit de :

2.2.1. Donner, conformément à la procédure établie par le ministère, des instructions contraignantes aux chefs de services et de départements du ministère, aux chefs d'entreprises et d'organismes sur les questions d'assurer la sécurité routière, et contrôler leur exécution.

2.2.2. Exiger des chefs de services et de divisions du Ministère, des chefs d'entreprises et d'organismes qu'ils fournissent les informations nécessaires sur les questions de sécurité routière.

2.2.3. Mener une enquête auprès des entreprises et des organisations, demander à leurs dirigeants de soumettre des documents sur les mesures en cours pour assurer la sécurité du transport routier, des explications orales et écrites, donner aux responsables concernés des prescriptions obligatoires de documents réglementaires, de règles, d'ordonnances, d'instructions, etc.

2.2.4. Impliquer, en accord avec la direction du ministère, les employés d'autres services et départements dans le contrôle du travail des organisations et des entreprises sur les questions de sécurité routière.

2.2.5. Faire des propositions à la direction du ministère pour encourager les hauts fonctionnaires des unités subordonnées à obtenir de bonnes performances et obtenir des résultats en matière de sécurité routière, ainsi que demander des poursuites contre les fonctionnaires qui ne garantissent pas le respect des exigences des documents réglementaires sur la sécurité routière.

2.2.6. Dans des cas particuliers, en accord avec la direction du ministère, interdire la circulation des véhicules subordonnés dans les rues et autoroutes lors de la détection de défauts dans leur aménagement ou leur entretien qui menacent la sécurité du trafic.

2.2.7. Contrôler le travail des chauffeurs du ministère sur la ligne, vérifier s'ils ont des certificats pour le droit de conduire des véhicules, des coupons d'avertissement pour eux, des feuilles de voyage (itinéraire), des documents pour la cargaison transportée, ainsi que l'exactitude de leur achèvement ; faire les entrées appropriées dans la lettre de voiture (itinéraire) lorsque des violations du code de la route, des règles d'exploitation du transport sont détectées et, si nécessaire, restituer le matériel roulant à l'entreprise.

2.2.8. Examiner et donner des avis sur les projets de documents relatifs à la garantie de la sécurité routière, préparés par les services et départements du ministère.

2.2.9. Préparer des conclusions sur les travaux de recherche et de conception liés à la sécurité routière.

2.2.10. Au nom de la direction pour représenter le ministère dans organisations gouvernementales, dans la presse écrite, à la radio et à la télévision sur les questions de sécurité routière.

3. Devoirs et droits du service de sécurité routière des associations républicaines, territoriales et autres organisations

3.1. Le service de sécurité routière de l'association et d'autres organismes :

3.1.1. Assure la gestion fonctionnelle, la coordination et le contrôle des activités des services subordonnés de sécurité routière, leur fournit une assistance pratique.

3.1.2. Analyse les résultats des activités des services subordonnés de sécurité routière et, sur cette base, élabore des mesures pour les améliorer.

3.1.3. Fournit une assistance méthodologique aux services subordonnés de sécurité routière dans la planification et l'organisation de leur travail et surveille la mise en œuvre des plans.

3.1.4. Fournit une assistance dans l'organisation de la formation avancée des employés du service de sécurité routière.

3.1.5. Favorise l'introduction des réalisations de la science et de la technologie dans les activités des services de sécurité routière.

3.1.6. Fournit une assistance aux entreprises pour équiper et organiser le travail des bureaux de sécurité routière.

3.1.7. Effectue un contrôle et vérifie au moins une fois tous les deux ans la mise en œuvre par les services et divisions de l'association, ainsi que les entreprises et organisations subordonnées des documents réglementaires sur la sécurité routière, prend des mesures pour éliminer les lacunes et violations identifiées.

3.1.8. Tient un registre des accidents de la circulation commis par les conducteurs des entreprises et organisations subordonnées et analyse les causes de leur apparition, prépare et soumet des rapports sur les accidents de la circulation conformément à la procédure établie et les mesures prises par leur avertissement.

3.1.9. Effectue le rapprochement des données sur les accidents de la circulation, auquel le matériel roulant du ministère des Autotrans de la RSFSR a participé, avec les organes de l'inspection nationale de la circulation.

3.1.10. Il se rend sur le terrain et participe à l'enquête officielle sur les accidents de la circulation aux conséquences graves et prépare des documents et des propositions pertinents pour la direction de l'association (organisation).

3.1.11. Rapports aux organisations supérieures sur les cas d'accidents de la circulation avec victimes (RD "Comptabilité et analyse des accidents de la circulation et des violations des règles de circulation au ministère des Autotrans de la RSFSR").

3.1.12. Prépare des documents à examiner par la direction sur l'état des accidents dans l'association, ses causes et les mesures nécessaires pour prévenir les accidents de la circulation.

3.1.13. Élabore, en collaboration avec les services et divisions de l'association, l'organisation des mesures de prévention des accidents de la route et veille à leur mise en œuvre.

3.1.14. Élabore ou participe à l'élaboration de projets d'arrêtés, d'instructions et d'autres documents réglementaires relatifs à la sécurité routière.

3.1.15. Il étudie, synthétise et diffuse les expériences positives en matière de prévention des accidents de la route.

3.1.16. Organise des réunions, des conférences, des concours et d'autres événements sur les questions de sécurité routière.

3.1.17. En collaboration avec les départements concernés, il propose des cours aux employés de l'association et des entreprises pour étudier les documents régissant les questions d'assurance de la sécurité du transport routier, et teste également la connaissance de ces documents.

3.1.18. Contrôle la qualité de la formation des conducteurs dans les établissements d'enseignement subordonnés et la formation avancée des conducteurs dans les entreprises.

3.1.19. Participe à l'élaboration par les services concernés des mesures d'organisation des visites médicales pré-déplacement et post-déplacement des conducteurs.

3.1.20. Avec l'implication des services opérationnels, il assure la réalisation des relevés de voiries et de voiries sur les axes de transport de l'association (organisme).

3.1.21. Fournit un contrôle sur le rationnement des vitesses de circulation sur les lignes de bus de transport de l'association (organisation).

3.1.22. Prépare et soumet à la direction et au comité régional du syndicat des documents sur l'attribution aux conducteurs distingués du badge "Pour un travail sans accident".

3.1.23. Participe aux travaux de recherche sur la sécurité routière menés pour l'industrie.

3.2. Le service de sécurité routière d'une association (organisation) a le droit de :

3.2.1. Donner des instructions de la manière prescrite aux chefs de services et de divisions de l'association, chefs d'entreprises sur les questions d'assurer la sécurité routière.

3.2.2. Exiger que les chefs de services et de départements de l'organisation, les chefs d'entreprises fournissent les informations nécessaires sur les questions de sécurité routière.

3.2.3. Effectuer des inspections des entreprises en termes de conformité avec les documents réglementaires pour assurer la sécurité routière, exiger la soumission de documents, d'explications orales ou écrites et donner des instructions obligatoires aux responsables concernés pour éliminer les violations identifiées des documents existants.

3.2.4. S'impliquer, en accord avec la direction de l'association des salariés des services et des divisions, dans le contrôle du travail des entreprises sur les questions de sécurité routière.

3.2.5. Interdire, conformément à la procédure établie par le ministère, la circulation des transports subordonnés à l'association (organisation) sur les rues et les autoroutes si des défauts sont constatés dans leur aménagement ou leur entretien qui menacent la sécurité routière.

3.2.6. Interdire l'exploitation de véhicules subordonnés à l'association avec des dysfonctionnements techniques qui menacent la sécurité routière.

3.2.7. Faire des propositions à la direction de l'organisation sur l'encouragement des cadres des entreprises pour la bonne organisation du travail et les résultats obtenus en matière de sécurité routière, ainsi que demander des poursuites contre les fonctionnaires qui n'assurent pas le respect des exigences des documents réglementaires sur la circulation sécurité.

3.2.8. Contrôler le travail des chauffeurs du ministère sur la ligne, vérifier s'ils ont des certificats pour le droit de conduire des véhicules, des coupons d'avertissement pour eux, des feuilles de voyage (itinéraire), des documents pour la cargaison transportée, ainsi que l'exactitude de leur achèvement ; faire les entrées appropriées dans la feuille de route (itinéraire) lorsque des violations du code de la route, les règles d'exploitation du transport sont détectées et, si nécessaire, restituer le matériel roulant à l'entreprise automobile.

3.2.9. Retirer, conformément à la procédure établie par la loi, de la conduite des véhicules les conducteurs et autres employés de l'association, dont l'état ou les actions menacent la sécurité routière, et exiger des responsables concernés qu'ils prennent les mesures nécessaires à leur encontre.

3.2.10. Élaborer et soumettre pour approbation à la direction de l'organisation des descriptions de poste pour les employés du service de la sécurité routière.

3.2.11. Au nom de la direction, représenter l'organisation dans les organismes étatiques et publics sur les questions de sécurité routière.

3.2.12. Examiner et donner des avis sur les projets de documents relatifs à la sécurité routière, préparés par les services des associations et des entreprises.

3.2.13. Élaborer et soumettre au Bureau du vérificateur en chef pour la sécurité routière des propositions à inclure dans le plan de travail de recherche sur la sécurité routière.

3.2.14. Soumettre au Bureau du vérificateur en chef de la sécurité routière des propositions d'amélioration des documents réglementaires pour assurer la sécurité routière.

4. Devoirs et droits du service de sécurité routière de l'entreprise

4.1. Service de sécurité routière d'entreprise :

4.1.1. Tient un registre des accidents de la circulation et des infractions au code de la route commis par les conducteurs de l'entreprise, analyse les causes de leur survenance, établit des rapports sur les accidents de la circulation et les mesures prises pour les prévenir de la manière prescrite (AR "Règles d'enregistrement et d'analyse des accidents et infractions au code de la route »).

4.1.2. En collaboration avec les services, les divisions, les organismes publics de l'entreprise, il élabore des mesures de prévention des accidents de la route (AR « Lignes directrices pour la planification des mesures de prévention des accidents »).

4.1.3. Effectue un contrôle et des vérifications systématiques des services et divisions de l'entreprise quant à leur mise en œuvre des documents réglementaires sur la sécurité routière (AR "Instructions pour l'organisation d'un audit Travail ATP pour la Prévention des Accidents ») et fait des propositions à la direction sur la prévention des accidents de la route et des infractions au Code de la Route (Annexe).

4.1.4. Rapproche systématiquement les données sur les accidents de la circulation, auxquels le matériel roulant de l'entreprise a participé, et les violations des règles de circulation avec l'inspection nationale de la circulation.

4.1.5. Élabore ou participe à l'élaboration de projets d'arrêtés et d'autres documents de l'entreprise sur les questions de sécurité routière.

4.1.6. Organise un travail d'agitation de masse sur la sécurité routière dans l'équipe (conférences, rapports, conversations, concours, consultations, projection de films spéciaux, utilisation de la propagande visuelle, etc.).

4.1.7. Informe régulièrement le personnel du conducteur, les ingénieurs et les techniciens, la direction de l'entreprise de l'état des accidents, des causes et des circonstances des accidents de la circulation.

4.1.8. Participe aux événements pansyndicaux, républicains et régionaux liés à la sécurité routière (revues pansyndicales de la sécurité routière, courses de propagande, concours, etc.).

4.1.9. Résume et diffuse l'expérience positive du travail sans accident des conducteurs, les meilleures brigades, colonnes (détachements).

4.1.10. En collaboration avec le service du personnel et d'autres services, prépare des documents sur l'attribution aux conducteurs distingués du badge "Pour un travail sans accident" et d'autres incitations et soumet à une organisation supérieure, et en ce qui concerne les conducteurs et autres employés qui violent les exigences de sécurité, des propositions pour le l'application de mesures disciplinaires.

4.1.11. Se rend sur les lieux où s'est produit l'accident de la circulation, commis par le conducteur de l'entreprise, et organise une enquête interne (AR "Règlement sur la conduite d'une enquête interne et l'analyse des accidents de la route"); prépare les documents et propositions pertinents pour la gestion de l'entreprise.

4.1.12. Organise dans l'équipe de l'entreprise l'analyse des accidents de la circulation commis par les conducteurs, les violations du code de la route et les règles de fonctionnement technique des véhicules.

4.1.13. Participe aux travaux des commissions du département des affaires intérieures de la ville (district) lors de l'examen de documents administratifs sur la violation du code de la route par les chauffeurs de l'entreprise.

4.1.14. Participe à la résolution des problèmes d'embauche des chauffeurs, en les transférant au travail d'une voiture d'une marque à une autre, d'un itinéraire d'autobus à un autre. Contrôle l'admission des chauffeurs à la conduite de véhicules conformément à l'AR "Lignes directrices pour vérifier la conformité des chauffeurs aux conditions et aux types de transport", AR "Instructions sur la procédure à suivre pour les chauffeurs en ligne", AR "Règlement sur la tenue de briefings avec le personnel du conducteur", AR "Règlement sur le développement professionnel et la formation des conducteurs", etc.

4.1.15. Effectue un contrôle sur le passage des examens médicaux avant et après le voyage par les conducteurs, sur le respect des conditions établies de réexamen médical.

4.1.16. Organise des briefings de conduite avec d'autres services (AR "Règlement sur la conduite de briefings de conduite"), et fournit également une assistance méthodologique aux services de l'entreprise dans la conduite de cours et de conversations.

4.1.17. Effectue un contrôle sur le fonctionnement des véhicules, le travail des conducteurs sur la ligne, le respect du régime de leur travail et de leur repos.

4.1.18. Effectue un contrôle sur la formation des conducteurs (AR "Règlement sur la formation continue et la formation des conducteurs"), le travail des conducteurs-instructeurs pour la sélection des conducteurs-mentors.

4.1.19. En collaboration avec d'autres services, organise des cours pour les employés de l'entreprise afin d'étudier le code de la route, les directives de sécurité routière et d'autres documents liés aux problèmes de sécurité routière, et teste également la connaissance de ces documents.

4.1.20. Organise le travail du cabinet de sécurité routière selon le plan approuvé par le chef d'entreprise et fait des propositions à l'administration de l'entreprise sur l'équipement des cabinets de sécurité routière (AR "Règlement sur l'équipement et l'organisation du travail des cabinets de sécurité routière").

4.1.21. Participe aux travaux de la commission de qualification.

4.1.22. En collaboration avec le service d'exploitation, il organise une enquête sur les routes et les rues sur les itinéraires des transports de l'entreprise.

4.1.23. Participe aux travaux sur la prévention des accidents de la circulation et des violations des règles de circulation parmi les employés de l'entreprise, propriétaires individuels de voitures et de motos.

4.1.24. Reçoit des services techniques et autres de l'entreprise des documents sur le montant des dommages matériels résultant d'un accident de la circulation sur les structures routières, tous les véhicules de l'entreprise et la cargaison qu'ils transportent ; les soumet à l'association territoriale (organisation) et, sur demande, à l'inspection nationale de la circulation, à l'arbitrage et à d'autres organisations.

4.1.25. Informe immédiatement le chef d'entreprise et les organisations supérieures d'un accident de la circulation impliquant les véhicules de l'entreprise.

4.2. Le service de sécurité routière de l'entreprise a le droit de:

4.2.1. Effectuer des inspections du travail des services et divisions de l'entreprise dans la partie liée à la prévention des accidents de la route, exiger des employés concernés de l'entreprise le matériel nécessaire, les messages oraux et écrits.

4.2.2. Si nécessaire, vérifiez si les conducteurs de transport subordonné sur la ligne ont des certificats pour le droit de conduire des véhicules, des coupons pour eux, des feuilles de route (route), des documents pour les marchandises transportées, faites des entrées dans les feuilles de route (route) en cas de violation par les conducteurs du code de la route, les règles de fonctionnement sont détectées transport, si nécessaire, retour du matériel roulant à l'entreprise.

4.2.3. Soumettre des propositions conformément à la procédure établie par le ministère pour interdire la circulation des véhicules de l'entreprise dans les rues et les autoroutes si des défauts dans leur équipement ou leur entretien sont constatés qui menacent la sécurité routière.

4.2.4. Suspendre, conformément à la procédure établie par la loi, du travail les chauffeurs et autres employés du transport subalterne, dont l'état ou les actions menacent la sécurité routière, et exiger des responsables concernés qu'ils prennent les mesures nécessaires à leur encontre.

4.2.5. Interdire la libération du matériel roulant de l'entreprise sur la ligne ou le renvoyer de la ligne si des dysfonctionnements techniques menaçant la sécurité du trafic sont détectés.

4.2.6. Faire des propositions à la direction de l'entreprise pour la promotionemployés de l'entreprise pour la bonne organisation du travail et les résultats obtenus en matière de sécurité routière, ainsi que pour demander des poursuites contre les fonctionnaires qui ne garantissent pas le respect des exigences des documents réglementaires en matière de sécurité routière.

4.2.7. Examiner et donner des avis sur les projets de documents liés à la sécurité routière, préparés par les employés de l'entreprise.

4.2.8. Soumettre des propositions à l'examen de la direction de l'entreprise sur l'embauche et le licenciement d'employés du service de sécurité routière, en les encourageant et en leur imposant des sanctions disciplinaires.

4.2.9. Élaborer et soumettre pour approbation à la direction de l'entreprise des descriptions de poste pour les employés du service de la sécurité routière.

4.2.10. Au nom de la direction, représenter l'entreprise auprès des organisations étatiques et publiques locales sur les questions de sécurité routière.

5. Nombre, financement et soutien matériel du service de sécurité routière

5.1. Le nombre d'employés des unités de service de sécurité routière est déterminé en fonction du nombre de véhicules et de conducteurs, des spécificités du processus de transport, ainsi que d'autres facteurs affectant la quantité de travail pour assurer la sécurité routière.

5.2. La dotation en personnel des travailleurs de la sécurité routière au bureau central du ministère est établie dans les limites du nombre disponible et du fonds salarial approuvé pour le bureau central du ministère, et dans les associations républicaines et territoriales de transport routier, les entreprises et les organisations - au sein de la nombre établi et allocations maximales pour l'entretien de l'appareil de gestion.

5.3. Dans l'appareil du ministère, le nombre total de l'Office de l'auditeur en chef pour la sécurité routière est déterminé par le ministre selon la liste approximative des postes du personnel : chef de bureau, chef de bureau adjoint, chef de département, chef de Spécialiste, Ingénieur principal, Ingénieur supérieur, Ingénieur, Secrétaire-dactylographe.

5.4. Dans les associations républicaines, le nombre total de départements de l'auditeur pour la sécurité routière est déterminé par le chef de l'association en fonction de la liste approximative des postes du personnel: chef adjoint de la sécurité routière (chef de département), ingénieur en chef, ingénieur principal, ingénieur .

5.5. Dans les services de sécurité routière des collectivités territoriales, des services d'au moins 4 personnes sont introduits.

Le nombre de départements avec un nombre total de chauffeurs de 5 000 à 10 000 passe à un nombre d'au moins 5 unités de personnel ;

de 10 000 à 15 000 chauffeurs - au moins 7 postes d'état-major ;

au-delà de 15 000 chauffeurs, au moins 1 unité d'état-major pour 5 000 chauffeurs est introduite dans le tableau des effectifs.

5.6. Une liste approximative des postes à temps plein des unités du service de sécurité routière des associations territoriales: chef adjoint de l'association (chef de département), chef adjoint du département, ingénieur principal, ingénieur.

D'autres postes sont introduits avec l'autorisation des organisations supérieures.

Le poste de sous-directeur d'association est en cours d'introduction dans une association territoriale de plus de 4 000 chauffeurs.

Dans les associations de production des gares routières et des gares routières, des postes d'association de production adjointe pour la sécurité routière sont en cours d'introduction.

5.7. Dans le service de sécurité routière de l'entreprise, avec un nombre moyen allant jusqu'à 150 chauffeurs, une unité de personnel est créée;

Avec un nombre moyen de chauffeurs de 151 à 300 - 2 unités d'état-major ;

Avec un nombre moyen de chauffeurs de 301 à 450 - 3 unités de personnel.

Si le nombre moyen de chauffeurs dépasse 450, un département d'au moins 4 personnes est créé, et pour chaque groupe supplémentaire - de 1 à 250 chauffeurs, il est recommandé d'introduire une unité de personnel supplémentaire dans le tableau des effectifs.

Il est permis d'augmenter le nombre en présence de branches.

5.8. Une liste approximative des postes à temps plein des unités de service de sécurité d'entreprise: chef adjoint, chef de département, ingénieur principal, ingénieur.

Le poste de chef adjoint d'entreprise pour la sécurité routière est en cours d'introduction dans les entreprises et organisations comptant 200 conducteurs ou plus. Pour 100 chauffeurs employés par l'entreprise, un moniteur de conduite est affecté (Annexe ).

Lors du calcul des effectifs des services de sécurité routière des associations, entreprises et autres organisations exploitant des véhicules de tourisme (autobus, taxis de tourisme), ainsi que du transport régulier interurbain et international de marchandises, le nombre total de conducteurs est déterminé en augmentant leur moyenne nombre de 1,4 fois.

5.9. Pour contrôler le travail des conducteurs sur la ligne et se rendre sur les lieux des accidents de la circulation, les services de sécurité routière sont dotés de voitures et de bus de propagande.

En outre, les entreprises de transport motorisé allouent des véhicules de formation en quantité suffisante pour répondre aux besoins de formation des conducteurs.

ANNEXE 1

POSITION
à propos du conducteur-instructeur pour la sécurité routière d'une entreprise de transport automobile

1. Dispositions générales

1. Conducteur-instructeur pour la sécurité routière d'une entreprise de transport automobile *) effectue un transport particulièrement responsable de passagers et de marchandises, nécessitant des compétences professionnelles élevées dans la conduite de véhicules (lors du développement d'itinéraires nouvellement ouverts pour la circulation des bus, lors du transport de masse d'enfants et d'adolescents aux camps de pionniers, aux camps de travail et de loisirs, lors du transport de marchandises dans des conditions routières et météorologiques difficiles, etc.).

___________

* ) Ci-après dénommé le « Conducteur-Instructeur ».

2. Le conducteur-instructeur améliore les compétences professionnelles des conducteurs qui lui sont assignés dans la conduite de véhicules directement sur la ligne afin de prévenir les accidents dans des conditions extrêmes et de leur inculquer un sens de la haute responsabilité pour assurer la sécurité du transport des passagers et marchandises et respect de la discipline des transports.

3. Pour 100 conducteurs travaillant dans l'entreprise, un conducteur-instructeur est nommé parmi les conducteurs les plus formés, les plus expérimentés et les plus disciplinés avec la qualification de la 1ère ou de la 2ème classe, qui n'ont pas enfreint le code de la route et les accidents de la circulation par leur faute.

4. La nomination d'un chauffeur-instructeur et l'affectation d'une colonne (détachement) ou d'une brigade à celui-ci sont effectuées par ordre du chef de l'entreprise de transport automobile.

5. Avant d'être nommé, le conducteur-instructeur doit suivre une formation spéciale conformément au programme approuvé par le ministère dans un centre de formation (école de conduite) avec une interruption de la production, réussir les tests et recevoir un certificat approprié.

6. Le conducteur-instructeur relève directement du chef du service de sécurité routière de l'entreprise. Il est recommandé de présenter le chauffeur-instructeur au Conseil des brigadiers.

Responsabilités

1. Le chauffeur-instructeur contrôle directement sur la ligne l'utilisation des chauffeurs qui lui sont affectés professionnellement bons trucs la conduite des véhicules, leur conformité au Règlement pour le transport de personnes et de marchandises, au Code de la route établi par les annexes modes de vitesse mouvement et leur apporte une aide méthodologique et pratique efficace.

2. Le conducteur-instructeur exerce un contrôle sur le déroulement et la qualité du stage des conducteurs qui lui sont confiés, après quoi il participe à la passation d'une épreuve pratique auprès du stagiaire (y compris l'essai de conduite), ainsi qu'à la conduite périodique et briefings saisonniers conducteurs sur les caractéristiques du travail sur la ligne dans des conditions routières et climatiques spécifiques.

3. Le conducteur-instructeur doit connaître les particularités des conditions routières et les caractéristiques des sections dangereuses sur les itinéraires du matériel roulant de l'entreprise, ainsi que les causes des accidents de la circulation, sur lesquelles informer en détail les conducteurs qui lui sont affectés .

4. Le chauffeur-instructeur étudie les qualités professionnelles et personnelles, ainsi que d'autres caractéristiques des chauffeurs qui lui sont confiés et donne des recommandations sur la pertinence de leur utilisation dans certains types de transport, tout en diffusant les meilleures pratiques des meilleurs chauffeurs et équipes qui assurent un fonctionnement sans problème et une forte culture de service à la population et à l'économie nationale.

5. Le conducteur-instructeur tient un registre quotidien de son travail dans un journal spécial indiquant les activités prévues pour le mois et les délais de leur mise en œuvre, approuvé par le chef du service de la base de données de l'entreprise.

Droits

Le conducteur-instructeur a le droit de faire des suggestions :

A propos de la modification de l'itinéraire de travail permanent ou du transfert des chauffeurs qui y sont affectés vers une autre marque de voiture, en tenant compte de leurs qualités professionnelles et personnelles ;

Sur la prolongation de la période de stage ou sur le retrait du stage des chauffeurs dont le niveau professionnel ne permet pas d'assurer le transport sécuritaire des passagers ;

À propos de récompenser ou de punir les conducteurs individuels pour leur travail en matière de sécurité routière ;

Sur la réduction de classe pour les conducteurs individuels dont les qualités professionnelles et personnelles ne répondent pas aux exigences de qualification pertinentes.

Un salaire

La rémunération du chauffeur-moniteur se fait selon le système de prime temporaire avec versement d'une prime de classe. Horaire taux tarifaire en même temps, il est établi en fonction de la marque de voiture prévalant dans la colonne (détachement).

Lors de la détermination de la durée congé annuel conducteur-instructeur devrait être guidé par les dispositions régissant la durée du congé annuel des conducteurs des véhicules concernés.

Annexe 2

FAIRE DÉFILER
documentation qui doit être conservée dans une entreprise de transport automobile par le service de la sécurité routière

1. Plans d'action pour la prévention des accidents de la circulation, documents sur la mise en œuvre de ces plans.

2. Registre des infractions au code de la route, aux règles d'exploitation technique et aux autres règles de transport liées à la sécurité routière, commises par les chauffeurs de l'entreprise.

3. Journal des accidents de la circulation.

4. Documents d'enquêtes de bureau sur les accidents de la circulation.

5. Documents sur les résultats de l'inspection des services, responsables de l'entreprise sur les questions de sécurité routière.

6. Matériel pour attribuer aux conducteurs des badges "Pour un travail sans accident".

7. Arrêtés et instructions du ministère, de l'association, de l'entreprise en matière de sécurité routière.

8. Journal de comptabilité pour le travail du conducteur-instructeur.

9. Cartes personnelles des conducteurs (conducteur-instructeur).

10. Rapports et documents de l'analyse des accidents de la circulation et des violations du code de la route.